Amen !Amen !
Matthieu 18.11-13 Car le Fils de l'homme est venu pour sauver ce qui était perdu. Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et qu'il y en ait une égarée, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf sur les montagnes, pour s'en aller chercher celle qui s'est égarée? Et s'il arrive qu'il la trouve, je vous dis en vérité qu'il en a plus de joie, que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont point égarées.
Être une brebis du Seigneur, faire partie de Sa bergerie, n'est-ce pas une condition merveilleuse? N'est-Il pas le bon Berger, Celui qui donne Sa vie pour Ses brebis? Assurément, il n'est pas de place plus enviable que celle-ci. Rien n'est demandé aux brebis si ce n'est de se rendre attentives à la voix du Berger qui les fait paître avec amour et qui se met en peine de chacune d'entre elles individuellement. Notre Seigneur Jésus-Christ a déclaré que nul ne pourrait ravir ne serait-ce qu'une seule brebis de Sa main. A Ses côtés, elles sont parfaitement en sécurité. Par conséquent, vouloir suivre sa propre voie en délaissant le troupeau et en s'écartant du giron du Berger serait une véritable folie. Ne serions-nous pas alors en proie aux loups ravisseurs qui n'ont aucun scrupule à prendre pour cible les brebis qui sont sans aucune défense. "Ta houlette et ton bâton me rassurent" a écrit le psalmiste. Cette bienheureuse sécurité qui vaut même lorsque nous traversons la vallée de l'ombre de la mort est le partage de tous ceux qui suivent fidèlement le Fils de Dieu. Pourquoi ne serions-nous pas comptés parmi eux?
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