* JESUS REVIENT *

Quand les Philistins se sont rassemblés pour combattre Israël avec 30 000 chars, 6 000 cavaliers et des soldats aussi nombreux que les grains de sable sur une plage, le roi Saül et les hommes d’Israël ont compris qu’ils étaient en danger et ont commencé à se cacher dans des cavernes et des grottes. L’Écriture dit que ceux qui ont suivi Saül à Guilgal tremblaient. Mais il en était un qui n’était pas rempli de crainte. Jonathan, fils de Saül, s’est tourné vers celui qui portait ses armes et lui dit : “Viens, et poussons jusqu’au poste de ces incirconcis. Peut-être l’Éternel agira-t-il pour nous, car rien n’empêche l’Éternel de sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre” (1 Samuel 14:6).

Jonathan n’avait pas peur d’affronter ses ennemis, même s’il n’était accompagné que de celui qui portait ses armes. Il comprenait que c’était la bataille du Seigneur et a donc déclaré avec confiance : “Monte après moi, car l’Éternel les livre entre les mains d’Israël” (14:12).

Jonathan et celui qui portait ses armes ont pris seulement la moitié d’un arpent de terre. Cela pourrait sembler une petite victoire insignifiante, mais quand ils ont pris cette moitié d’arpent, cela a envoyé un frisson de crainte dans les rangs de l’enfer. La Bible dit qu’un tremblement de terre et un grand frisson a ébranlé toute leur armée. Les Philistins ont tremblé parce que quelqu’un a finalement choisi de croire Dieu. Ils n’ont absoluement pas regardé cette victoire comme étant insignifiante !

De la même façon, nous pouvons tenir notre position dans n’importe quelle situation : “Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse” (2 Timothée 1:7).

Être libéré de la crainte vient quand tu te te souviens des raisons de l’opposition – quand tu te souviens que Dieu l’a permis dans ta vie afin de te soutenir et de te nourrir. Quand tu choisis d’affronter tes ennemis, c’est réellement une clé pour débloquer les provisions de Dieu pour ta vie et la vie de ceux qui t’entourent. Tu vois, la bataille n’est pas la tienne, c’est celle du Seigneur.