Deutéronome 28.12 "L’Eternel t’ouvrira son bon trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps et pour bénir tout le travail de tes mains…"
Xavier Lavie
Le message de la colombe ( Xavier Lavie )
Genèse 8/1 à 12: " Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l'arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s'apaisèrent. Les sources de l'abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel.
Les eaux se retirèrent de dessus la terre, s'en allant et s'éloignant, et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours.
Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l'arche s'arrêta sur les montagnes d'Ararat.
Les eaux allèrent en diminuant jusqu'au dixième mois. Le dixième mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes.
Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu'il avait faite à l'arche.
Il lâcha le corbeau, qui sortit, partant et revenant, jusqu'à ce que les eaux aient séché sur la terre.
Il lâcha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre.
Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son pied, et elle revint à lui dans l'arche, car il y avait des eaux à la surface de toute la terre. Il avança la main, la prit, et la fit rentrer auprès de lui dans l'arche. Il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l'arche.
La colombe revint à lui sur le soir; et voici, une feuille d'olivier arrachée était dans son bec. Noé connut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre. Il attendit encore sept autres jours; et il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui.
Introduction:
"Dieu se souvint de Noé". Cela faisait maintenant 5 mois que Noé était entré dans l'arche avec sa famille.
La pluie qui était tombée pendant 40 jours et 40 nuits sans discontinuer et l'eau recouvrait maintenant la surface terre jusqu'au plus hautes montagnes.
Le châtiment de Dieu venait de tomber sur une génération dont les pensées de leurs cœurs se portaient chaque jour uniquement vers le mal.
Au milieu d'une génération corrompue et remplie de violence, Noé fut le seul qui trouva grâce aux yeux de Dieu. Le témoignage qui est rendu de lui le définit comme un homme juste, intègre et qui marchait avec Dieu.
Sa consécration fut récompensée par la révélation qu'il reçut de construire l'arche salutaire.
Mais le voilà maintenant prisonnier d'un navire de bois voguant çà et là au milieu d'un océan sans fin avec sa famille et un zoo flottant.
Les jours et les mois se sont écoulés forçant l'organisation à bord de l'arche.
Mais Noé prenait conscience, peu à peu que le temps passait, qu'il devenait urgent de quitter le navire.
Les réserves de nourritures s'épuisaient comme neige au soleil et la situation ne pouvait être que transitoire.
Êtes-vous en paix lorsque vous vous retrouvez dans des périodes transitoires?
Tous nous connaissons, pour les avoir expérimentés, ces temps inconfortables qu'il faut traverser pour aller vers une autre destinée. Vers quelque chose de meilleur mais que nous ne connaissons pas encore.
Dans ces moments, on se sent comme étriqué, prisonnier sous le poids des responsabilités qui reposent sur nous. Devant assurer un quotidien qui n'est plus d'actualité car le cœur est déjà ailleurs et angoissé par un avenir inconnu qu'on ne maîtrise pas et dans lequel il va falloir s'inscrire.
Noé dont le nom signifie repos et tranquillité va devoir donner un sens à son nom.
Esaïe 30/15: "C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C'est dans le calme et la confiance que sera votre force."
Dieu n'avait pas mis en place ce plan de sauvetage pour les laisser mourir dans une caisse de bois! Cette pensée semblait impossible pour celui qui marchait avec Dieu. Le secours de Dieu était certain et la pluie en témoignait. Mais Dieu nous a peut-être oublié?
Pensez-vous que Dieu ait pu, ne serrait-ce qu'un instant, oublié Noé, sa famille et tous les animaux?
Cinq long mois d'attente fut le "timing" de Dieu qui fit souffler sur la terre un vent dispersant l'amas des nuages et commençant le processus d'assèchement.
Nous pouvons nous décourager au cœur de nos circonstances et même parfois avoir l'impression que Dieu nous a oublié.
Ressentir la pression qui augmente sans voir aucune solution se présenter à l'horizon.
Sachez qu'au-delà de vos ressentis, de vos pensées, de votre analyse, il y a Dieu qui œuvre, qui contrôle tout et met en place chaque chose pour qu'elles concourent à votre bien.
Lorsqu'il ordonne au vent de l'Esprit de souffler: il ouvre le ciel, il chasse au loin les menaces et il rétablit le calme.
Le temps était venu d'ouvrir la seule fenêtre dont l'arche disposait faisant entrer par là même, la clarté du jour et les premiers rayons du soleil éblouissant les occupants habitués à la pénombre.
Une bouffée d'air entra dans l'arche revivifiant et purifiant l'atmosphère qui était devenue irrespirable.
Les tensions dues à la promiscuité du lieu s'apaisaient peu à peu car l'espérance renaissait dans le cœur de chacun: des hommes et des animaux.
Comme il est bon d'ouvrir une fenêtre dans nos vies! Une fenêtre dirigée vers le ciel qui laisse entrer la lumière de Dieu!
Beaucoup de chrétiens ont connu ou connaissent encore des moments d'enfermement, ou la seule attitude salutaire est le repli sur soi. Ils sont comme confinés dans une gangue protectrice en attendant que les circonstances s'apaisent à l'extérieur.
Pour toutes ces personnes, Dieu désire faire passer sur leur vie le vent de l'Esprit afin qu'il puisse ouvrir la fenêtre de leurs âmes et recevoir la puissance régénératrice du Seigneur.
Un cœur, une âme fermée depuis trop longtemps à besoin d'être renouvelé. Les pensées ressassées comme des rengaines ont fini par créer une atmosphère irrespirable, les sentiments étouffés ont créés des blessures avec ceux et celles qui nous entourent.
Le temps d'ouvrir la fenêtre est venu pour tous ceux et celles qui aspirent à reconstruire une nouvelle vie avec le Seigneur Jésus.
1. Lâcher le corbeau
Par sa fenêtre ouverte Noé fit sortir en premier le corbeau qui ne faisait que d'aller et venir jusqu'à ce que les eaux aient séché sur la terre.
Cette oiseau noir se nourrissant de charogne est la représentation des pensées les plus obscures de notre vie qui ne font que d'aller et venir se nourrissants des ordures d'un monde en putréfaction.
Les corbeaux sont aussi des oiseaux de mauvais augure pour certains superstitieux!
Laissez sortir les corbeaux de votre âme, demandez à Dieu de vous aider à purifier vos pensées. Sortez de vos cœurs les oiseaux de mauvais augure, les mauvais présages, les superstitions, les fausses croyances.
Nous devons nous dépouiller du vieil homme et de ses oeuvres, et revêtir l'homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l'image de celui qui l'a créé. (Colossiens3/9&10)
2. Lâcher la Colombe
Noé lâcha aussi la colombe...
La colombe était dans l'arche pendant tout ce temps, elle ne s'était pas enfuie en prétextant que sa blancheur et sa pureté ne pouvait cohabiter avec les autres passagers. Elle resta silencieuse perchée dans un coin du bateau spectatrice de tout ce qui se faisait et dans l'attente qu'on lui donne la possibilité de pouvoir remplir son rôle.
Le saint-Esprit, la colombe de Dieu est dans nos cœurs.
Peut-être s'est-elle tue depuis quelque temps et n'est plus que la spectatrice d'une vie malmenée par des circonstances difficiles. Néanmoins, elle est là dans le cœur, présente et prête à agir au moment voulu.
Il est important que nous puissions l'utiliser comme Noé l'a fait.
Même si vous n'êtes pas des colombophiles vous savez que les colombes sont des oiseaux utilisés pour transporter des messages et qu'ils sont capables de parcourir de grandes distances.
Au premier lâché, la colombe de Noé ne trouva aucun lieu où poser la plante de son pied et elle revint dans l'arche. Il faut noter l'attitude de Noé qui avança la main, la prit et la fit rentrer auprès de lui dans l'arche.
Il est important que chaque chrétien vive dans une proximité, une communion, une intimité avec l'Esprit-Saint.
Vous est-il arrivé vous aussi de demander à la colombe de l'Esprit de vous ramener une bonne nouvelle et qu'elle soit revenu à vide?
Ne cédez pas au désespoir et faites comme Noé: prenez la auprès de vous (sa présence à elle seule est un merveilleux gage d'espoir) et relâchez la de nouveau.
"Et il lâcha de nouveau la colombe hors de l'arche. La colombe revint à lui sur le soir; et voici, une feuille d'olivier arrachée était dans son bec."
Où était-elle allée pendant toute cette journée?
Elle a parcouru la terre cherchant quelque chose capable de réconforter le cœur de Noé. Mais rien de ce qu'elle vit sur la terre ne pouvait lui servir de bonne nouvelle. Elle vola jusqu'à Jérusalem et se posa dans un jardin d'oliviers noirs.
Au milieu de ce jardin, un homme était à genou priant et suppliant Dieu que cette heure s'éloigne de lui. Il avait des grumeaux de sang sur son front à cause l'angoisse qu'il endurait.
Et dans ce jardin il prononça cette phrase qui reste pour tous les hommes la bonne nouvelle que nous attendions: "Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne." (Luc 22/42)
Le Seigneur s'avançant vers la blanche colombe, il coupa un rameau d'olivier le plaça dans son bec et la renvoya vers son colombier.
Noé connut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre, que la malédiction de Dieu était passée et qu'il fallaitreprendre courage, recommencer, reconstruire.
Prenez de nouveau votre colombe et demandez lui de vous rapporter le message de paix pour votre vie.
Lorsque le Saint-Esprit nous communique un message du Seigneur, nous sommes remplis de joie, d'espérance et d'amour et nous retrouvons le courage de poursuivre le combat.
Avec cette colombe que le Seigneur vous a envoyé vous avez une responsabilité: Actes1/8: " Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre."
Mais attention, Noé ne se contenta pas de ce que la colombe lui avait rapporté. Il décida de la renvoyer à nouveau. "il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui."
Un chrétien qui ne se contente pas de ce que le Saint-Esprit veut lui donner finira tôt ou tard par se couper de son activité et de tout ce qu'il est appelé à déverser dans son coeur.
Le Saint-Esprit est le seul qui connaisse le chemin de la maison de Dieu comme une colombe son colombier.
La Bible, la parole de Dieu dit que: " l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu" (1 Corinthiens 2/10)
C'est par l'Esprit que nous connaissons le cœur de Dieu et que nous perçons et percevons la profondeur du message de l'évangile de Jésus-Christ.
La colombe a pour toi un message d'espoir et de recommencement possible, un encouragement pour ta vie, un message rédigé par le Christ lui-même: Une parole de vie qui donne la vie.
Mais n'oublie pas que la colombe ne peut demeurer que sur la tête d'un agneau.
Matthieu 3/16: "Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau. Et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui."
Si nous voulons voir l'Esprit reposer sur nous; revêtons nous du caractère de l'agneau et laissons pénétrer notre âme et notre esprit par sa présence.
Le cantique de cantique nous parle d'une colombe qui se tient dans la fente du rocher et qui se cache dans les parois escarpées et je ne peux m'empêcher de penser à l'Esprit du Dieu qui au lieu de trouver un magnifique colombier dans notre vie ne trouve qu'un cœur dur comme un rocher, abrupte comme une paroi escarpée.
CHRÉTIEN DE PLEINE MER OU CHRÉTIEN DU PORT...? ( Pasteur Xavier Lavie )
Thomas d'Aquin a dit que "Si le but suprême d'un capitaine était de préserver son navire, il resterait dans le port pour toujours."
A cette affirmation juste, nous pouvons nous poser la question suivante: quel est le but de ma vie?
La préservation et le confort ou l'expérimentation et l'investissement?
Votre réponse déterminera votre manière d'envisager la vie et encore plus particulièrement votre vie spirituelle.
Quel type de chrétien suis-je...?
- Un chrétien d'étagère (si vous me permettez cette analogie) qui évite les zones de risques et de remises en questions en pensant qu'il vaut mieux travailler à la préservation même si cela entrave la progression...
- Un chrétien de terrain, pratique et engagé qui s'expose en prenant le risque de sortir de sa zone de confort pour espérer, avec foi, entrer dans le champ de son appel véritable...
Beaucoup à ce stade diront qu'il est préférable et plus spirituel d'être un chrétien de terrain, pratique et engagé..... Mais, s'il fallait supprimer tous les ports, où accosteraient les navires et comment seraient-ils chargés de leurs cargaisons ou même réparés de leurs avaries...?
Le but d'un navire est de naviguer mais le port est une étape nécessaire à la navigation. Le danger serait de ne jamais sortir du port mais le danger existe de ne jamais y retourner..!
Pour la vie chrétienne c'est identique, nous devons entrer dans notre appel sans oublier de toujours revenir au port: l'église (si vous me permettez encore cette analogie) afin d'y recevoir notre mission (cargaison) et nos réparations ( enseignements, cure d'âme).
Ne faites pas l'abstraction de l'un par rapport à l'autre...!
Si, nous sommes fait pour naviguer, il ne faut pas oublier pour autant de revenir au port, autrement la navigation ne serait que de la plaisance....jusqu'à l'avarie qui causera votre naufrage...!
Juges 5.17 " Pourquoi Dan s’est-il tenu sur les navires? Aser s’est assis sur le rivage de la mer, et s’est reposé dans ses ports."
Pasteur Xavier LAVIE
Le vrai trésor ( Pasteur Xavier Lavie )
Deutéronome 28.12 "L’Eternel t’ouvrira son bon trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps et pour bénir tout le travail de tes mains…"
LA LOI ET LA GRÂCE... ( Pasteur Xavier Lavie )
Sous prétexte que nous vivons sous la grâce découlant de la Nouvelle Alliance, devons nous dire pour autant que la loi de Dieu que l'on trouve dans l'Ancien Testament n'est pas bonne, devenue caduque ou est désormais inutile...?
A tord, beaucoup de chrétiens pensent de cette manière...!
Mais jamais l'apôtre Paul n'a dit une telle chose car pour lui l'évangile n'est pas le rejet de la Loi....! Paul n'est pas antinomiste!
Au contraire, il a écrit dans :
Romains 7.7 "Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Jamais de la vie !"
Romains 7.12 "De la sorte, la Loi est sainte, et le commandement saint, juste et bon"
Romains 7.14 "Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle"
Paul annonce clairement l'utilité de la Loi qui révèle la sainteté de Dieu afin de nous montrer ce que nous devons vivre de cette sainteté. La Loi est sans conteste la norme de Dieu appliquée à l'homme.
En réalité le problème ne se situe pas dans la Loi qui est bonne mais plutôt dans notre incapacité à vivre selon la Loi ou selon les critères de la norme de Dieu...!
Le problème n’est donc pas la Loi en elle même, mais ce que le péché en fait.
Le péché accomplit son oeuvre au travers de ce qui est bon et il est a se point pervers qu'il peut parvenir à s'attacher à la Loi de Dieu pour en arriver à ses fins.
Il est à ce point tenace et puissant qu'il parvient à corrompre même ce qui est bon (la Loi étant l'expression de la bonté de Dieu) et à le mettre à son service.
En finalité, le péché s’empare de la Loi pour produire la mort comme le décrit Paul dans: Romains 7.13 "C’est le péché qui, pour se manifester comme tel, a produit en moi la mort par le bien, afin que, par le commandement, le péché apparaisse dans toute sa puissance de péché"
Romains 7.10 "Ainsi, le commandement qui mène à la vie se trouva pour moi mener à la mort"
Voilà précisément où la grâce prend tout son sens et prouve toute son efficacité.
Car, la Loi de Dieu ne nous aide qu'à comprendre notre état véritable aux yeux de Dieu, afin que nous réalisions combien nous sommes charnels et perdus.
Mais, jamais la Loi, ne pourra nous faire sortir de l'esclavage du péché.
Le but de la Loi est uniquement de nous conduire à désespérer de nous-mêmes.
C’est ce qu’elle peut faire de mieux et elle le fait très bien....!
C'est alors que nous pouvons pousser ce cri avec Paul:
"Grâce soit rendue à Dieu par Jésus-Christ, notre Seigneur!" (Romains 7.25)
Le désespoir que produit la Loi est en réalité une victoire car cela nous tourne enfin vers le Sauveur, le seul qui puisse nous faire grâce.
La grâce devient alors incontournable, devant nécessairement prendre place dans notre quotidien, si nous voulons échapper au jugement divin qui condamne tous ceux qui pèchent.
Nous sommes donc appelés à satisfaire la Loi divine, non en accomplissant la Loi à la lettre (ce qui nous est impossible) mais en confrontant la Loi pour parvenir à Christ qui nous accorde sa grâce par la justification.
Galates 3.24 "Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi."
Notre Ami ( Xavier la Vie )
Nous sommes nombreux à avoir été abandonnés par les autres au moment où nous avions le plus besoin d’eux. Il s’agissait peut-être d’un conjoint qui s’est retranché dans le mutisme, d’un collègue qui nous a ignoré ou d’un ami intime qui était trop occupé pour nous aider. L’apôtre Paul nous enseigne comment éviter le découragement dans de telles situations.
1. Souvenons-nous que le Seigneur est toujours avec nous.
Quand Jésus devient notre Sauveur, nous amorçons une relation avec lui, et son Esprit vient demeurer en nous. Par son entremise, Jésus est avec nous en tout temps, quelles que soient nos circonstances. Il est notre ami; il ne nous abandonnera jamais. Son amitié est la plus importante à nous avoir été offerte.
La lecture de la Bible nous le rappellera.
2. Tirons notre force de Dieu. Par le Saint-Esprit, nous avons accès à la puissance divine à chaque instant. Quand nous remettons les commandes au Seigneur et que nous dépendons de lui, nous pouvons puiser notre force à sa source. Si nos amis ou nos proches nous blessent, sa présence nous réconfortera et nous aidera à leur pardonner.
3. Attendons la délivrance avec espoir. Paul affirme que le Seigneur l’a délivré et qu’il continuerait de le tirer de tout mauvais pas. L’apôtre savait pouvoir compter sur Dieu en tout temps.
Paul a souvent affronté des épreuves pénibles sans le soutien de ses amis.
Vers la fin de sa vie, ceux qui se souciaient de lui étaient dispersés un peu partout. Il n’a pourtant pas perdu courage parce que Christ était son ami de tous les instants. Connaissez-vous le Sauveur? Permettez-lui de marcher avec vous au quotidien et faites l’expérience de la joie que procure son amitié.
Magazine en Contact