* JESUS REVIENT *

ROMAINS 6.16‑23

On n’obéit pas d’instinct avec passion à Dieu. Après notre conversion, nous pourrions souhaiter lui plaire, mais le désir de lui être fidèle ne grandit que si nous acquérons plus de connaissances spirituelles, de foi et de dévouement.

Jusqu’à ce qu’ils découvrent de meilleures raisons de suivre Dieu, les nouveaux croyants lui obéissent souvent pour éviter de subir les conséquences de leur désobéissance. Au fil de leur croissance spirituelle, la peur fait place à une reconnaissance de la souveraineté de Dieu et du besoin de se soumettre à sa sagesse.

Avec le temps, nous nous préoccupons moins des répercussions de notre désobéissance que des bénédictions inhérentes à l’obéissance. Quand nous goûtons la bonté du Seigneur, nous comprenons qu’il réserve le meilleur à ceux qui se soumettent à lui et que, lorsque nous en faisons à notre tête, nous en souffrons. Ce principe immuable est évident dans les histoires de la Bible, de même que dans notre quotidien. Plus nous l’observons, mieux nous comprenons que la volonté de Dieu est toujours la meilleure.

Si toutes les bénédictions du monde ne sauraient convaincre un chrétien de suivre Dieu dans une situation dangereuse, son amour nous contraint cependant à lui obéir, à n’importe quel prix.