* JESUS REVIENT *

Quand je dirai au méchant : Tu mourras ! Si tu ne l’avertis pas, si tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa mauvaise voie et pour lui sauver la vie, ce méchant mourra dans son iniquité, et je te redemanderai son sang.

Ézéchiel 3.18

 

 

Samedi dernier, je vous proposais mes réflexions sous le titre « Si nous nous laissions avertir ». Et voici que je vous invite aujourd’hui aux au chapitres trois d’Ezéchiel. Ici, c’est notre responsabilité de témoins qu’il nous faut entendre. « Si je dis… et que tu n’avertisses pas… ! »

La mode est à ce qu’on appelle la tolérance. « Chacun croit ce qu’il veut, vit comme il veut… Nous devons respecter tous les choix. »

Comme s’il n’y avait ni Dieu ni révélation de ce qu’Il veut ; comme si chacun n’avait de compte à rendre qu’à soi-même.

N’est-ce pas comme si nous voyions une voiture pleine de joyeux drilles foncer à toute allure vers un pont qui vient de s’écrouler et que nous les regardions passer passivement sous prétexte que chacun fait ce qu’il veut et qu’il faut respecter la liberté de tous ?

Non, le chrétien, sous prétexte qu’il ne fait pas de politique, ne peut impunément se taire face aux lois iniques de l’Etat. Non, il ne peut se taire devant un collègue, un voisin qui vit dans le désordre moral… parce que cela ne le regarde pas.

C’est une question de vie et de mort… éternelle. Et même nos lois humaines condamne la « non assistance à personne en danger de mort ».

Dieu nous avertit, Lui : Si tu n’avertis pas, il mourra , et je te redemanderai son sang. Combien de sang mes silences ne mettent-ils pas sur ma conscience ? Ne trouvez-vous pas cette parole redoutable ? Il y a tant d’occasion d’avertir que nous ne saisissons pas ! Que Dieu pardonne, mais qu’Il nous donne l’amour, la hardiesse et la meilleure manière d’avertir !