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Dépravation des moeurs et des lois News


« QUAND LE GOUVERNEMENT VIOLE LES DROITS DU PEUPLE, L’INSURRECTION EST LE PLUS SACRÉ DES DROITS », PAR MANUEL GOMEZ

 

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Note MAV: Notre mission n’est certes pas de faire appel à l’insurrection, mais à l’intercession. Mais il s’agit de vérités fondamentales, et la révolte actuelle de la police est un signe précurseur de ce que beaucouop annoncent: une guerre civile. Une guerre où l’armée ne serait plus aux ordres d’un Gouvernement corrompu, mais au côté du peuple qu’elle a mission de défendre. Cet article nous rappelle une fois de plus l’urgence d’intercéder pour notre pays, afin que sa destruction programmée s’arrête.

Article :

L’armée n’est pas au service d’un gouvernement, de parlementaires et de sénateurs, elle est exclusivement au service de la Nation, du pays.

 

 

L’armée doit suivre, puis accompagner, la révolte du peuple et non pas la provoquer, mais elle a le droit, et même le devoir, de le mettre en garde contre les dangers qui le menace.

Aucun politicien n’a le droit, ni le pouvoir, de la réduire au silence, de la faire taire.

N’est-ce pas, Alain Juppé ?:

« Un militaire, c’est comme un ministre : ça ferme sa gueule ou ça s’en va ! »

Réponse du général Henri Pinard-Lagny, président de l’ASAF :

« Non. Un militaire a le devoir de s’exprimer, de dire la vérité et, surtout, contrairement à un ministre, d’éviter de mentir ». 

L’armée n’est pas tenue d’obéir aveuglément au pouvoir en place, quand celui-ci trahit la Nation et le peuple.

« Un peuple qui ne réagit pas n’est pas victime, il est complice ».

Le peuple ne peut pas gagner sans le soutien de l’armée et l’armée ne peut pas gagner sans le soutien du peuple, mais il n’est pas facile, quelquefois, de soutenir un peuple de lâches !

Le pouvoir peut se prendre en quelques heures, en quelques jours, avec très peu de volontaires, mais la difficulté est de l’y installer durablement, sans la participation du peuple.

Souvenons-nous du coup d’État organisé par de Gaulle, soutenu par l’armée et par le peuple, le 13 mai 1958 : il a réussi pleinement.

Souvenons-nous du putsch des généraux, en Algérie, le 21 avril 1961, contre la trahison et les mensonges de ce même de Gaulle, soutenu par une partie de l’armée, mais lâché par le peuple de métropole : il a échoué.

⇒Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

2014 — Les quatre chefs d’état-major des armées menacent de démissionner si le président de la République ne revient pas sur sa décision de réduire de 6 milliards le budget de la Défense.

>Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées.

>Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de terre.

>Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air.

>Amiral Bernard Rogel, marine nationale.

Plus une vingtaine d’officiers généraux.

Le pouvoir a reculé.

L’arrestation musclée du général Piquemal, lors d’une manifestation à Calais, la mise au placard du général Bertrand Soubelet, de la gendarmerie nationale, après son témoignage devant la commission parlementaire de lutte contre l’insécurité, la déclaration du général Antoine Martinez contre l’idéologie multiculturelle et la faiblesse du gouvernement, la présence annoncée du général Didier Tauzin, lors de la présidentielle 2017, contre l’indignité de François Hollande, son incapacité à diriger le pays, un régime à l’agonie et une guerre religieuse qui menace (à laquelle, paraît-il, l’armée se prépare) et les quelques livres qui ont permis à certains généraux de la Grande Muette de s’exprimer librement, sont autant de signes avant-coureurs d’un malaise persistant et grandissant.

Combien, parmi les plus de 5 000 officiers généraux maintenus en activité par leur appartenance à la 2e section, sont également prêts à se rebeller ?

Quand l’armée gronde, y compris la gendarmerie, et que les policiers excédés manifestent, souvenez-vous, messieurs les politiciens, de cette menace, prononcée en d’autres circonstances, il y a 2 000 ans, par le centurion Marcus Flavinius :

« Que l’on prenne garde à la colère des Légions ».

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

 


26/10/2016
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ÊTES-VOUS COMME MOI PERDU DANS CE MONDE ? UN CHANT …

Pas besoin de comprendre l’anglais pour regarder ceci:

Êtes vous comme moi perdu dans ce monde ? « Are You Lost in the World Like Me ? ». C’est le cri d’alerte lancé par Moby & The Void Pacific Choir dans son dernier titre, issu de l’album « These Systems Are Failing », « Ces systèmes sont défaillants ».

 

Le clip nous plonge dans un univers glaçant, au travers d’un film d’animation signé du studio Fleischer, inspiré des dessins animés des années 30. Glaçant parce que la fiction décrite est si proche de nos pratiques actuelles, que nous oscillons entre la prise de conscience et la culpabilité de nous laisser à ce point absorber par nos écrans.

Pour Moby, notre dépendance toujours croissante aux technologies inhibe nos interactions et handicapent nos relations.

Les personnages sont comme anesthésiés par le téléphone mobile, devenant insensible et centré sur eux, ils courent sans s’en en être conscient vers un abîme.

Les paroles sont également très fortes :

Êtes-vous perdus dans le monde tout comme moi ?
Si les systèmes sont tombés en panne ?
Êtes-vous libres ?
Toutes les choses, toutes les pertes,
Les voyez-vous ?

… lire la suite


25/10/2016
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MALAISE DANS LA CIVILISATION : CRISE DE LA POLICE, PAR SIDNEY TOUATI

 

 

manifestation-contre-la-haine-anti-flics-des-incidents-a-paris-deux-policiers-blessesLes policiers sont mécontents. Ils descendent dans la rue pour exprimer leur frustration, leur colère, leur désarroi. 

Il y a longtemps que le feu couve sous la cendre. Mais responsables syndicaux et politiques n’appréhendent la situation que sous l’angle matériel, celui des effectifs, « des gommes et des crayons ».  Les paramètres qualitatifs ne sont pas évoqués.

 

Pourquoi la police ne peut plus remplir sa mission ? Pourquoi brûle-t-on des policiers dans une voiture ?… Les questions de fond ne sont pas posées.

Crise de l’autorité


En premier lieu, l’action de la police est minée par la crise de l’autorité. Cette notion fondamentale au bon fonctionnement de l’Etat, a été au fil des réformes successives, vidée de tout contenu.


En second lieu, la police est confrontée à une forme nouvelle de violence qu’il est interdit de nommer.


On fait comme si le malaise des « banlieues » était dû au chômage des « jeunes », à la délinquance et à la criminalité classique. Sans nier ces aspects importants du problème, celui-ci prend une dimension nouvelle en raison de l’émergence de l’Islam.


La délinquance, la criminalité, fonctionnent de plus en plus dans une problématique politico-religieuse islamique qui heurte de plein fouet la société civile.


La police et la justice sont à la jointure de cette ligne, de cette profonde fracture qui menace de faire imploser la société tout entière.


Cette réalité fait l’objet d’un déni de la part des autorités. Le véritable martyr des policiers, livrés sans défense à ce cocktail de haines, est l’expression de ce déni des réalités.

Exit l’idéologie guerrière


La France est en guerre mais il est rigoureusement interdit d’être un guerrier. 

Il est hors de question d’attaquer. Compte tenu des conditions extrêmes de sa mise en application, la légitime défense n’est quasiment plus praticable. En clair, il est interdit de se défendre si on est la victime d’une agression. On valorise systématiquement les attitudes passives. Ainsi, un policier est décoré pour s’être laissé tirer dessus à bout portant. Dans cette logique du policier « cible passive », le ministre de l’Intérieur promet des gilets pare-balles. La logique « Ligne Maginot » est prise comme modèle. On attend. On tente vaguement de se protéger. On a peur. 

Les victimes d’actes terroristes sont invitées à pleurer, à gémir. 

On fait le culte du martyr. On enseigne l’art de subir, de supporter. Comme s’il n’existait pas d’autre solution que de se laisser massacrer. Comme si les Français n’avaient plus d’Etat. Pire. Comme si l’Etat (ou ce qu’il en reste, les bureaucraties protéiformes) était contre la Nation, contre les citoyens. 

Israël est critiqué, diabolisé, parce que l’Etat ose défendre ses citoyens. On l’accuse de faire un usage disproportionné de la force. 

Plus de 250 morts cette année en France. Des dizaines de milliers de victimes. 

La République en Etat d’urgence permanent. On voit où cette politique de la soumission et du déni des réalités a conduit le pays. 

Les policiers sont envoyés, désarmés, tant au plan physique, qu’idéologique, sur ce drôle de front intérieur. Ils ne peuvent lutter. Ils sont face à un ennemi qu’ils ne peuvent ni nommer, ni combattre : l’Islam conquérant.

Une société malade


La société française est malade. Très gravement malade. 

Ses soubassements civilisationnels sont rongés par une culture politico-religieuse inassimilable. Les dirigeants contraignent la société civile à avaler cette amère potion qu’elle ne peut digérer. Les policiers sont les victimes expiatoires de ce processus morbide (ils ne sont pas les seuls, mais sont les plus exposés), de cet empoisonnement programmé du corps social.

 


Eric Zemmour, dans un ouvrage célèbre qualifiait ce processus de « Suicide Français* ». Ce journaliste lucide et courageux se trompe sur le diagnostic.

Il ne s’agit pas d’un suicide mais d’une exécution en règle. Le peuple Français est massacré par ses « élites » et ce dans tous les domaines : culturel, social, économique. 

Le sacrifice des policiers auquel on assiste depuis de nombreuses années et qui va crescendo, n’est que la face visible du processus sacrificiel du peuple lui-même.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.


25/10/2016
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UN ACTEUR PRO-VIE, JIM CAVIEZEL, PAR PIERRE-ALAIN DEPAUW

 

 

L’acteur Jim Caviezel, (héros de la série Person of Interest mais surtout resté mémorable dans le rôle de Jésus dans le film La Passion du Christ de Mel Gibson), prend publiquement la défense des droits de l’enfant à naître et a assuré que le grand «mal de l’Amérique et du monde est sans aucun doute l’avortement ». 

Jim Caviezel, qui professe ouvertement sa foi, combine son travail en tant qu’acteur avec un véritable engagement au service de la défense de la vie en intervenant dans des conférences et événements pro-vie et pro-famille. 

Le message que l’acteur veut transmettre est que «nous sommes tous complices si nous permettons que l’avortement soit pratiqué librement et volontairement dans notre société« . 

Au cours d’une de ses conférences à Boston, il a affirmé qu »aux Etats-Unis et dans le monde, nous sommes responsables de la mort de millions d’enfants avant leur naissance et le pire est que chaque année, le nombre augmente. Nous sommes tous responsables de permettre l’avortement dans notre société « . 

« Quand je pense aux femmes qui ont avorté, je pense toujours que l’enfant aurait pu être un grand médecin, un grand musicien ou aurait pu sauver la vie de quelqu’un. Perdre quelqu’un de son sang est une expérience horrible » . 

« Vous avez peut-être avorté, ou vous avez été témoin d’un avortement dans votre famille ou même peut-être vous avez contribué financièrement à l’entreprise de l’avortement. Beaucoup de gens sont témoins de ce mal. Plus de 50 millions d’enfants sont tués dans le monde sans avoir encore eu l’occasion de vivre, mais le pardon est pour tout le monde et l’amour est pour tout le monde. « 

Jim Caviezel a critiqué les liens entre le géant de l’avortement Planned Parenthood et la candidate à la présidence des États-Unis, Hillary Clinton. 

La relation entre Hillary Clinton et le président de Planned Parenthood, Cecile Richards, est si étroite que l’organisation avorteuse semble être devenu un puissant lobby au sein du Parti démocrate. 

Le scandale du trafic d’organes des bébés avortés à travers le réseau de Planned Parenthood n’a pas porté atteinte à la puissance de Richards dans la politique américaine et a même donné des ailes à Clinton qui propose la modification de la loi afin de promouvoir l’avortement dans le monde entier en le finançant avec l’argent public des Américains. 

Jim Caviezel est l’une des rares personnalités publiques qui s’exprime contre ce projet, ce qui est particulièrement courageux quand on travaille à Hollywood, qui défend «le droit des femmes à se débarrasser de leurs enfants ». 

Caviezel déclare «Tant pis si être pro-vie nuit à ma carrière. Je ne peux pas garder le silence sur la mort de tant d’enfants « . 

http://www.medias-presse.info/jim-caviezel-tant-pis-si-etre-pro-vie-nuit-a-ma-carriere-je-ne-peux-pas-garder-le-silence-sur-la-mort-de-tant-denfants/60751

Transmis par Elisabeth777

 

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Cendres – un songe de Michelle d’Astier

 

Cette nuit j’ai encore fait un songe très dur. J’étais face à ce qui aurait du être une assemblée de milliers de personnes. De fait bien peu étaient debout et vivantes. Autour d’elles, il y avait un tel amas de cendres, sur une telle épaisseur, qu’on ne pouvait pratiquement pas bouger, ce qui expliquait aussi … Lire la suite deCendres – un songe de Michelle d’Astier


10/09/2016
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GPA : LA CEDH VALIDE L’ACHAT D’ENFANTS POUR TOUS

Source :  CPDH-Publication
 

Le 21 juillet 2016, la Cour européenne des droits de l’homme a rendu public un arrêt consternant dans les affaires Foulon et Bouvet contre France (nos9063/14 et 10410/14) mettant en cause le refus par les autorités françaises de transcrire la filiation établie en Inde d’enfants nés de GPA commerciale.

Appliquant sa jurisprudence établie dans les affaires Mennesson et Labasséede 2014, la Cour a conclu à la violation par la France du droit au respect de la vie privée des enfants, tout en rejetant l’allégation d’une violation de la vie familiale des adultes commanditaires.

 

Dans l’affaire Foulon, une fille est née le 31 juillet 2009 à la clinique Hiranandani spécialisée en GPA, à Mumbaï, en Inde. Son acte de naissance indique qu’elle a pour mère Minakshi Shirodkar, une indienne sans profession née en 1980, et pour père Didier Foulon, un architecte français né en 1971, vivant aux Etats-Unis. Le certificat médical de la clinique précise que cette fille est née par césarienne, ce qui est fréquent s’agissant d’enfants nés par GPA. En effet, les cliniques indiennes imposent souvent une césarienne sans raison médicale trois semaines avant terme, afin que le bébé ne soit pas marqué par la naissance, qu’il ait une tête bien ronde. Cela réduit aussi les frais d’entretien de la mère et permet à l’acquéreur de prendre à l’avance son billet d’avion à date fixe. Les mères ne reçoivent pas les soins adéquats après la naissance, entrainant un taux élevé de mortalité maternelle.

Un mois après la naissance, par un document écrit, Didier Foulon a déclaré « sur l’honneur prendre en charge les coûts financiers de la grossesse, des frais d’hôpitaux, du logement… De plus, avoir remis la somme de 100.000 roupies pour le meilleur confort de la mère et d’une bonne alimentation et qu’elle puisse engager des frais durant[son] absence ». 100.000 roupies (environ 1.300 €) correspondent à trois ans de salaire d’une ouvrière. De même, quelques jours après la naissance, il a versé 60.000 roupies à la clinique.

Par un acte notarié, Mme Shirodkar, la mère, a ensuite renoncé à sa fille en autorisant M. Foulon à « emmener ma fille en France ». Interrogée par les services consulaires français, Minakshi Shirodkar a indiqué qu’elle ne savait ni l’âge, ni l’adresse de M. Foulon, ni même s’il était marié ou célibataire, et qu’elle n’avait pas le projet de garder des contacts avec lui. L’adresse des parents indiquée sur l’acte de naissance était celle de la clinique.

Dans l’affaire Bouvet, deux enfants sont nés le 26 avril 2010 dans la même clinique que la fille Foulon, à Mumbaï. Leurs actes de naissance indiquent qu’ils ont pour mère Pushpa Kharat, une indienne sans profession née en 1982, et pour père Philippe Bouvet, un Français, âgé alors de 45 ans. Les faits sont ainsi identiques à l’affaire Foulon, à la différence que M. Bouvet vivait en couple avec un autre homme ayant déjà employé la filière indienne pour obtenir des jumeaux.

MM. Foulon et Bouvet sont probablement les pères des enfants, et tout indique que Minakshi Shirodkar et Pushpa Kharat en sont aussi les mères génétiques, et pas seulement les mères porteuses. La clinique Hiranandani précise sur son site internet qu’elle pratique la GPA par insémination artificielle de sperme dans la mère porteuse et par implantation d’embryon après fécondation in vitro. Dans le premier cas, beaucoup moins onéreux, la mère « porteuse » est la véritable mère génétique de l’enfant : c’est vraiment son propre enfant qu’elle vend pour vivre. Les termes des renonciations des mères indiquent d’ailleurs qu’elles considèrent les enfants comme les leurs. Dans l’affaire Foulon, la Cour d’appel a d’ailleurs noté que « il ne s’agit pas seulement en l’espèce d’un contrat de mère porteuse prohibé par la loi française, mais encore d’un achat d’enfant, évidemment contraire à l’ordre public ».

Ce nouvel arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme marque une étape supplémentaire de la libéralisation de la GPA et de « l’achat d’enfant ».

Alors que par les affaires Mennesson et Labassée, la Cour avait donné droit à des couples hétérosexuels mariés ayant obtenu des enfants aux Etats-Unis, par l’arrêt Foulon et Bouvet elle donne à présent raison à des hommes célibataires ou homosexuels, ayant « loué une femme » pour obtenir des enfants en Inde.

Certes, il est de l’intérêt de ces enfants de voir établie leur filiation avec leurs parents biologiques, et donc a fortiori avec leur père, mais à aucun moment la Cour ne met en cause la moralité de la pratique de la GPA qui est pourtant contraire aux droits fondamentaux des enfants et des femmes. La Cour ne daigne pas davantage accorder la moindre attention aux circonstances de la naissance des enfants, à la honteuse et inhumaine exploitation de leurs mères.

Ce faisant, la Cour européenne, avec toute son autorité, entérine la « GPA low-cost » et la « GPA GAY » ; elle encourage de fait le recours aux mères porteuses pour toutes les personnes en mal d’enfant, et ouvre, qu’elle le veuille ou non, un « droit à l’enfant pour tous ».

Le plus triste est qu’à aucun moment la Cour ne s’interroge sur les faits en cause, sur la situation des mères porteuses, sur leur exploitation, et ce qu’il faut bien appeler le commerce des enfants. Elle ne s’interroge pas davantage sur les conséquences pour ces enfants d’avoir été commandés, payés, abandonnés par leurs mères, élevés par un homme seul ou en couple avec un autre homme. A moitié indiens, ils ne pourront pas oublier leur origine. Un jour, ces enfants  se révolteront, et ils auront raison.
L’aveuglement moral de la Cour, prisonnière de son idéologie libertaire, est pathétique.

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La France est condamnée à payer 45.000 euros de dommages, frais et dépens.

Grégor Puppinck 
Directeur

Lire la décision de la CEDH
Voir également l’étude : Quelle voies de droit international pour interndire la maternité de substitution

 
 

22/07/2016
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