MIRACLE OU CHANCE ?
Le 29 janvier 2015, Gentside rapportait, un fait lié à un monstrueux carambolage survenu le 17 janvier sur une autoroute de l’Orégon. En raison du brouillard et du verglas, vingt-six véhicules se sont percutés de façon impressionnante. Au milieu de ce carambolage, le pick-up d’un homme de 27 ans nommé Kaleb Whitby s’est trouvé littéralement compressé entre un camion et un semi-remorque, ce qui ne pouvaient que broyer le corps du chauffeur.
Les photos du véhicule accidenté ressemblent à un amas de tôles où l’on ne distingue plus rien de reconnaissable hormis les roues .
Une des photos prises au moment du secours permet de distinguer sa tête au sein de ce ramassis de tôles dont on l’a pourtant tiré pratiquement indemne.
On comprend pourquoi la présentation de la vidéo dit : « C’est un miracle. Impossible de croire qu’il pouvait sortir vivant de ce terrible accident. »
Mais… voilà que dans le commentaire qui suit, après : « véritable miraculé de la route, cet homme a cru voir sa dernière heure venue lors d’un accident dont d’ordinaire on ne ressort pas indemne… » je lis avec surprise : « Il ne doit sa survie qu’à la chance. »
De là mon billet d’humeur !
Miracle ou chance ? Est-ce qu’il ne faudrait pas choisir ? Et même aller plus loin, car le chauffeur témoigne ainsi : « J’ai fermé les yeux et j’ai prié pour que tout soit OK. C’est tout ce que je pouvais faire. » Une ecchymose et quelques égratignures… c’est tout. Il ajoute : « Dieu merci, je suis encore en vie. Maintenant, reste à savoir pourquoi. »
Monsieur Whitby, papa d’un petit garçon de 2 ans, lui, n’a pas hésité. Il sait que, miracle ou non, Dieu a répondu à sa prière éclair. Et il a la remarquable sagesse de se poser la plus légitime des questions, celle de savoir pourquoi sa vie a été préservée. Je suis prêt à parier que Dieu lui donnera la réponse.
L’apôtre Paul, lui, écrivait aux Romains (14.7, : Nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même. Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur.
Avons-nous besoin d’être à deux doigts de la mort pour le comprendre ?
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