* JESUS REVIENT *

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Témoignage - Conversion


LE TÉMOIGNAGE DE BEN, et de Carine, la « kickstarteuse »

Envoyé par Nicolas Ciarapica, qui a mis par écrit le témoignage de Carine (pioneer school).

Ajoutée le 23 juin 2016

«  En se rendant à un festival pour s’amuser, Ben ne s’attendait pas à s’y faire baptiser ! C’est pourtant ce qui s’est passé, car avec Dieu les surprises ne manquent pas. Lors de son baptême, Ben se trouve momentanément paralysé et fait ainsi une expérience marquante de la puissance de Dieu. Ben nous partage également son parcours de la foi, de son enfer personnel à sa reconstruction avec Jésus. Il adresse un message d’espoir pour tous, et particulièrement pour les jeunes. Juste après son baptême, c’est un Ben sincère, ému et touchant qui nous offre ce partage. » 

 

Témoignage de Carine, la « kickstarteuse » .

J’ai baptisé une première fois il y a un mois. J’ai regardé les vidéos de Torben à partir de la parution du film The Last Reformation The Beginning en février, mais j’avais déjà conscience que l’on pouvait baptiser par soi-même et prévu de baptiser un ami lorsqu’il se sentirait prêt. Mais les enseignements de Torben m’ont permis d’aller plus loin, avec la notion de baptiser comme dans le Livre des Actes, c’est-à-dire tout de suite après que les personnes aient manifesté leur désir de tourner leur coeur vers Jésus et de marcher dans ses voies. Et également avec toute la compréhension de ce qui se passe durant le baptême, à savoir comment l’on change alors totalement de nature, passant d’une nature humaine soumise à la loi du péché et de la mort, à une nature sanctifiée, je dirais même à un ADN divin, celui du Christ, de Dieu venu à notre rencontre.

Le week-end dernier, j’étais à un grand festival rassemblant des milliers de personnes. J’étais venue avec quelques amis et, sur la route, un ami m’a demandé de le baptiser, profitant du fait qu’il y aurait une rivière à portée de main. Et puis, durant le festival, on a commencé à proposer aux gens de prier pour eux, et parfois même pour qu’ils reçoivent le Saint Esprit. Certaines personnes nous ont témoigné avoir rencontré Dieu plus ou moins récemment, mais sentir qu’il leur manquait quelque chose… Ces personnes avaient souvent été baptisées soit étant enfant, soit n’étaient pas encore baptisées. J’ai commencé à leur parler du baptême et ces personnes sont revenues me voir le lendemain pour dire qu’elles aimeraient être baptisées avant leur départ, c’est-à-dire le lendemain car d’autres amies avaient proposé à d’autres personnes de les baptiser le lendemain. J’ai aussi un ami qui nous a rejoint et qui n’a prié que pour une seule personne, car avec son épouse ils devaient ensuite repartir. Cet ami a eu une parole de connaissance très précise pour la femme pour qui il a prié et il lui a proposé de donner sa vie à Jésus et de se faire baptiser, soit le lendemain, soit avec lui le soir même. La femme a tout de suite voulu se faire baptiser, bien qu’elle n’avait pas d’habits de rechange et qu’il ne fasse pas très chaud ce jour là. Elle a vraiment été bénie et est revenue le lendemain pour assister aux autres baptêmes.

Le jour J, nous devions baptiser 4 personnes. Finalement, c’est 14 personnes que nous avons baptisées, car le nombre ne cessait de croître ! Pour commencer, mon amie a partagé le message de l’Evangile comme le fait Torben, avec des verres… Ensuite elle a demandé qui voulait se faire baptiser et il y avait déjà de nouvelles personnes intéressées.

J’avais dit à un homme pour qui j’avais prié pour qu’il reçoive le Saint Esprit et qui avait vécu quelque chose de très intense que je le baptiserai moi-même. J’ai donc commencé par lui et, une fois qu’il est sorti de l’eau, j’ai prié pour que son ancienne nature parte définitivement dans l’eau, que tout ce qui ne soit pas de Christ parte, et j’ai posé la main sur sa tête pour qu’il reçoive le Saint Esprit dans toute sa dimension. Il est tout de suite tombé dans le repos de l’Esprit. Ensuite, j’ai prié en langues pour qu’il reçoive le parler en langues. Rapidement, mon parler en langues s’est emballé et je priais avec autorité. Jusqu’à crier ! Et pendant ce temps, la personne que je baptisais a commencé à manifester, puis à crier elle aussi, et dès qu’elle a été libérée, elle a balbutié quelques mots en langues. C’était la première fois que j’expérimentais pleinement cette dimension du baptême. C’était extraordinaire d’être témoin de ces merveilles que Dieu peut faire pour rendre ses enfants libres et les revêtir pleinement de son Esprit !

Pour la troisième personne que j’ai baptisé ce jour-là, à peine l’ai-je plongée dans l’eau qu’elle est restée sans bouger, inerte. Je l’ai prise dans mes bras et il m’a dit qu’il ne pouvait plus bouger. Ses doigts étaient tout recroquevillés comme s’il avait de l’arthrose. J’ai ordonné à tout esprit, toute malédiction et toute puissance de le quitter et ça a duré comme ça un certain moment. Etonnamment, il ne grelottait pas du tout. J’ai finalement appelé en renfort un ami qui était sur la berge et nous avons prié tous les deux. Mon ami l’a immergé à nouveau dans l’eau. Il est vrai que la première fois, le jeune homme avait légèrement résisté. On a à nouveau prié brièvement et il a pu sortir de l’eau. Sur la berge, mon ami a continué à prier pour lui car il avait encore une gêne au poignet. Je crois que j’étais restée 20 minutes dans l’eau avec lui, donc de mon côté je commençais à être un peu fatiguée. Un peu après, j’ai baptisé une dernière personne, une femme qui m’a dit avoir une appréhension car elle était très frileuse et de constitution faible, donc elle avait peur d’être tétanisée, frigorifiée ou de faire un malaise. Eh bien, Dieu est vraiment bon car elle n’a pas grelotté du tout, elle a même ressenti une douce chaleur et c’est la seule des 4 que j’ai baptisée à avoir pu rester debout alors que je priais pour qu’elle reçoive le Saint Esprit ! Et j’ai senti le Saint Esprit venir sur elle avec grande douceur, c’était un bel instant de grâce.

Après les baptêmes, mes amies ont eu l’excellente idée de « kickstarter » tous les nouveaux baptisés en leur permettant de prier les uns pour les autres.

Ces baptêmes m’ont beaucoup appris. Notamment qu’il faut accomplir le processus jusqu’au bout, et ne rien lâcher tant que la personne n’est pas totalement libérée et qu’elle n’a pas reçu le Saint Esprit. Cela m’a également montré à nouveau qu’il ne fallait pas avoir peur de « se mouiller » pour Christ !

Je pense aussi qu’il faut, dans la mesure du possible, persévérer jusqu’à ce que la personne reçoive le parler en langues.

Qui plus est, ce qui a été formidable a été de voir les visages des personnes baptisées, comme ils étaient radieux, et comme ils ont montré une soif ardente d’aller plus loin, de rester en contact les uns avec les autres (alors qu’à la base ils ne se connaissaient pas), ainsi qu’avec nous, d’être enseignés pour devenir des disciples, et souvent d’être guidés pour être mis en contact avec des personnes ou églises de leur ville…

J’ai juste eu un regret : nous aurions pu kickstarter certains baptisés à baptiser eux-mêmes une autre personne, en les accompagnant pour cela.

Tout cela m’évoque beaucoup de choses. Tout d’abord, baptiser est simple et j’ai aimé voir des enfants évoluer naturellement autour de nous. Baptiser fait partie de la vie « normale » des croyants ! C’est un ordre que Jésus nous a donné, mais c’est lui qui agit et, je le redis, c’est simple. Et pourtant ô combien puissant !

Par ailleurs, nombreux sont les personnes dans la foi à avoir peur quand ils entendent dire que n’importe quel vrai chrétien peut baptiser. Ce qui est simple peut faire peur, mais en outre les gens ont peur que les nouveaux croyants partent ensuite dans la nature et déforment l’Evangile. C’est en effet possible, ça arrive d’ailleurs pour les personnes baptisées tel qu’on le fait généralement dans les églises, et ça arrive tellement souvent pour les personnes n’ayant fait que la prière de repentance !

Et pourtant, lors du baptême dans sa pleine dimension libératrice, les gens sont réellement transformés, ils le sentent, c’est une expérience qui les bouleverse car c’est Christ qui vit désormais en eux et ils vont pouvoir être enseignés par le Saint Esprit, qui est le meilleur enseignant de tout l’univers ! Et si ces personnes ne se mettent pas à fréquenter des églises ni à continuer de rester en contact avec d’autres chrétiens qui vont pouvoir les édifier, je suis sûre que notre Père sera assez bon pour leur envoyer d’autres personnes. Je pense qu’il faut avoir confiance en le Saint Esprit, c’est le meilleur des leaders, comme dit Torben.

Il y a un ou deux ans, j’avais été marquée par la lecture du livre de Danny Silk, Aimer nos enfants intentionnellement. Il parlait de toute la différence entre vouloir contrôler et entre choisir d’aimer et donc de faire confiance. Et ce, à la lumière de la Parole de Dieu, bien évidemment. Je pense qu’il faut agir de la sorte avec le peuple de Dieu. Lorsque l’on fait confiance à quelqu’un, on l’honore et cela le rend plus apte à vouloir préserver ce cadeau intact…

Pour finir, j’aimerais faire un autre parallèle avec l’éducation des enfants. J’ai personnellement élevé mes enfants à la maison durant un temps, c’est-à-dire en ne les envoyant pas à l’école, en ne déléguant pas à des « personnes formées spécialement pour cela » la responsabilité de leur apprentissage. Pourquoi ? Parce que j’ai choisi de ne pas leur imposer de cadre et de leur faire confiance : les enfants ont naturellement une soif d’apprendre qui les pousse, qui les presse. Parfois les institutions peuvent casser cet élan et tiédir leur enthousiasme, pour ne pas dire l’éteindre dans certains cas. Pour autant, je ne dis pas que l’on doit se passer des institutions et que tout le monde devrait faire l’école à la maison, loin de là ! Eh bien je pense que c’est ainsi avec les « jeunes » chrétiens : on peut les enseigner à être des disciples dans les institutions tout autant que dans un cadre plus « familial » et souvent plus souple. La forme n’est en réalité pas du tout le plus important, tant que le chemin et la destination restent la même : Jésus ! Et que les enfants de Dieu conservent leur feu intact et produisent du fruit !

Alors oui, c’est vrai, dans les églises comme en dehors de ce cadre, on peut parfois perdre des personnes en chemin. Jésus lui-même en a parlé dans la parabole du semeur, soulignant que, si des graines peuvent être semées en vain, l’important reste avant tout d’investir sur les bons terrains, ceux qui permettront à la moisson de se multiplier !ben

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28/06/2016
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ARRÊTEZ DE FAIRE SEMBLANT D’ÊTRE CHRÉTIEN!!!

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Commentaire de la vidéo: « Il est possible de FAIRE SEMBLANT d’être chrétien devant les hommes mais chacun de nous sait ce qu’il en est dans son cœur. Toi seul(e) peut savoir si tu as adhérer à la morale chrétienne et donc agis en étant religieusement correct(e) ou si tu as connu la nouvelle naissance en JÉSUS CHRIST.

 

Dans un cas comme dans l’autre, les fruits qui émanent de nous confirmeront ou infirmeront notre profession de foi. Celui qui est né de nouveau AIME DIEU, il ne se force pas pour agir comme un chrétien mais il EST devenu comme CHRIST : il aime la justice de DIEU et hait le péché, il prie PAR AMOUR, médite la Parole de DIEU PAR AMOUR et non pas par obligation. Enfin, le chrétien véritable n’a pas honte de parler de JÉSUS : qu’en est-il de toi?

Ecoute ce témoignage et ensuite demande toi si tu fais ou on semblant d’être chrétien(e).

Pour finir, ouvrir l’Ecriture/la Bible qui est la PAROLE DE DIEU pour y voir ce que DIEU dit de Ses disciples, des chrétiens. Lis par exemple Galates chapitre 5 qui parle des fruits de la chair et de l’ESPRIT DE DIEU.

En t’examinant au regard de la Parole de DIEU rappelle toi toujours qu’IL veut te SAUVER et non te condamner alors saisis Sa main : « Car QUICONQUE invoquera le nom de JÉSUS sera sauvé » : demande au SAUVEUR JÉSUS CHRIST de te sauver si tu réalises que profession de foi n’est pas une histoire de cœur mais plus d’apparence.

JÉSUS T’AIME DE MANIÈRE INCONDITIONNEL : tourne toi vers LUI de tout ton cœur pour recevoir Son amour et pour être pardonné(e) de tes péchés. »


22/03/2016
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DE LA RELIGION CATHOLIQUE À JÉSUS-CHRIST – (TÉMOIGNAGE DE SYLVAIN)

Transmis par Armande


24/02/2016
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Je meurs à minuit, Témoignage d’Ernest Gaither, condamné à mort

 

Transmis par Elisabeth777

Hands of death row inmate in cell of Pontiac Correctional Institution, Pontiac, Illinois, USA.

Quand vous lirez ceci, je serai mort. Nous sommes le 9 septembre, un mardi, à minuit. Je suis condamné à mort comme criminel. Depuis que je suis dans ma cellule, j’ai eu le temps de beaucoup penser. Quelques-unes de mes pensées – un avertissement aux criminels – furent publiées aujourd’hui dans le journal de Chicago (Chicago Tribune) dans un article adressé aux « plus durs des endurcis »…

J’ai 23 ans seulement, mais je suis prêt à mourir. Savez-vous pourquoi? Parce que je suis prêt à rencontrer Dieu et j’en suis heureux. Cette semaine, j’ai fait un rêve que j’emporterai avec moi à la chaise électrique. J’étais sur le chemin du ciel, Jésus marchait avec moi, mais je faisais quatre pas tandis qu’il en faisait deux. Il me demanda pourquoi j’allais si vite et je Lui répondis que j’étais pressé d’arriver à la maison. Puis là-haut, je fus tout environné d’anges. Quelques-uns penseront que c’est bien étrange pour un homme qui est entré athée à la prison, mais c’est exactement ce qui s’est passé, et vous comprendrez mieux quand je vous aurai dit comment j’ai rencontré Dieu, un matin de bonne heure.

 

Tout d’abord, jetez un regard sur mon passé. Il y a sept ans, j’étais un type qui se faisait valoir, chef de mon propre « gang » des « plus durs des endurcis »… Nous étions huit. L’un était EarI Parks surnommé « Risette », car il vous aurait tué le sourire aux lèvres. Un autre était Charles Jones, connu sous le nom de « Beau gosse », car il avait l’allure d’un joli garçon. Les autres étaient: Herbert Liggins, connu sous le nom de « Patte folle », car il traînait une jambe, William Lee était appelé « BilI le Sauvage », et Charles Hill s’appelait « Colorado Kid »; Clyde Bradford, lui, était si noir que nous l’appelions « Tout bleu ». Le « timonier » était Percy Beilmar. Nous l’avions surnommé ainsi parce qu’il était bon chauffeur; mon timonier numéro 1.

 

Tous sont en prison sauf Parks qui a été exécuté. Ils m’appelaient « Nénesse, le Gaspilleur et le Coureur de femmes ». J’essayais d’agir comme un « caid », sortant toujours de ma poche une « brique », quelquefois deux ou trois.Quand j’ai commencé à faire tous ces tours, j’étais encore un gosse. Ma famille cherchait à m’envoyer à l’école du dimanche et à l’église. Plus d’une fois, ils m’ont donné de l’argent pour que j’y accompagne mes jeunes soeurs, mais je n’y suis jamais allé. Je faisais promettre à celles-ci de ne rien dire, et pendant ce temps je courais au cinéma.

Je disais à mes parents que j’étais allé à l’église, et ils ne s’apercevaient de rien. Le crime était en moi, et les films que je voyais m’aidaient à concrétiser mes idées. J’y apprenais quelques trucs qui m’instruisaient sur la « façon de s’y prendre ». Je me souviens du jour où J’ai vu le film « J’ai volé un million ». J’étais là, désirant être le gars qui possédait le million.

Puis j’ai décidé d’apprendre la boxe, pensant que j’étais « costaud » et qu’ainsi je pourrais me défendre à l’occasion. Je pensais aussi que ça pourrait cogner dur un jour. Je fus le meilleur de ma classe pendant un moment, puis devins « pro » et combattis comme poids moyen pendant cinq ans. Je terminai comme poids mi-lourd; le seul homme à me mettre k.o. fut Jimmy Bovins. A 18 ans, je me trouvais dans une maison de correction dans l’état de l’illinois, pour vol à main armée. En octobre, huit d’entre nous s’échappèrent, mais le mois suivant je me retrouvais au pénitencier « Joliet ». J’avais été capturé pour meurtre dans un parc de Chicago, mais fus libéré sur parole en juin. lI semblait que cela dût être une leçon pour moi, mais il n’en fut rien.

Six mois plus jard, j’étais chef d’un nouveau « gang »; cela dura jusqu’au 9 février dernier. Ce soir-là, trois d’entre nous attaquèrent Max Barren, 49 ans, dans son bar situé à l’ouest de Chicago. Barren essaya de saisir un pistolet; je bondis sur lui, mais il était décidé à tirer. Je compris aussitôt que ce serait lui ou nous, alors je tirai à bout portant et le tuai. Nous déguerpîmes avec l’argent, 300 Dollars en tout, que je donnai plus tard aux autres gars. Je m’enfuis à NewYork, puis à Atlanta, où la police m’arrêta. Quelques semaines plus tard je comparus devant la cour de Chicago.

« Reconnu coupable », ainsi retentit le verdict. « Vous êtes condamné à mort … » dit le juge sévèrement. Ainsi j’entrai à Death Row, le « sentier de la mort ». Il n’y avait pas très longtemps que j’étais derrière les barreaux, le 23 mars dernier, quand une femme de ma race – Mme Flora Jones, de l’Eglise Baptiste d’Olivet – vint m’inviter à assister au service religieux pour les détenus. J’étais en train de jouer aux cartes avec d’autres copains et lui ris au nez.

  • – « Pourquoi faire? » lui dis-je, « je ne pense même pas qu’il y ait un Dieu »;
  • Mais tandis que je jouais, la femme insistait. Je me sentais si pécheur, qu’en réalité je ne voulais rien savoir de Dieu, ni même s’Il existait. Ainsi, J’ignorai cette femme. Tout-à-coup, ce qu’elle dit attira mon attention. « Si vous ne croyez pas en Dieu », cria-t-elle de l’autre côté des barreaux, « essayez seulement cette petite expérience: ce soir, avant de vous endormir, demandez-Lui de vous réveiller à une certaine heure; puis demandez-Lui de vous pardonner vos péchés. »

Elle avait une telle foi que j’en fus saisi. Je n’ai pas assisté au service ce soir-là, mais je décidai de faire l’expérience. Allongé sur ma paillasse, je murmurai: « Mon Dieu, si Tu existes, réveille-moi à 2 heures 45. » Dehors, c’était l’hiver, et les fenêtres se givraient à l’intérieur. Pendant les premières heures de la nuit, je dormis profondément, puis mon sommeil devint plus léger; finalement, je m’éveillai complètement. J’avais chaud et transpirais quoique la cellule fût froide. Tout était calme, sauf le bruit régulier de la respiration de quelques détenus et le ronflement d’un voisin. J’entendis des pas au dehors; c’était un gardien qui faisait sa tournée réglementaire. Quand Il passa, Je l’arrêtai et lui demandai l’heure. Il regarda sa montre et dit: « Trois heures moins le quart. »

 

  • – « C’est la même chose que 2 heures 45, dites-voir? »

Tandis que je posais cette question, mon coeur se mit soudain à battre violemment dans ma poitrine. Le gardien grogna et s’éloigna; il ne me vit pas glisser au pied de ma paillasse et tomber à genoux. Je ne me souviens pas de ce que je dis à Dieu, mais je sais que je Lui demandai d’avoir pitié de moi, un assassin et un pécheur. Il m’a sauvé cette nuit-là, je le sais, et depuis, j’ai toujours cru en Son Fils Jésus. J’avais promis une « rossée » à un autre détenu pour le jour suivant. Le matin, quand j’allai vers lui, il recula et me dit: « Je n’ai pas envie de lutter avec toi, car tu t’y connais dans la boxe. » –

  • « Je ne veux pas boxer », lui dis-je, « je viens seulement pour te voir. »

Plusieurs s’étaient réunis pour nous voir lutter, mais ils furent désappointés. Dieu m’avait délivré de mon péché et je n’avais plus aucune envie de me battre. Plus tard, le bruit courut que je méditais quelque tour pour éviter d’aller à la chaise électrique.

Mon cas passa devant la Cour suprême de l’illinois qui maintint la sentence de mort. Cela me « fit un coup », mais je ne perdis pas la foi en Dieu. – Je sais maintenant qu’Il ira avec moi; ainsi, vous voyez, je n’ai vraiment pas peur. Avant de mourir, je veux laisser un message pour les autres jeunes:Commencez à servir le Seigneur pendant que vous êtes jeunes, avancez sur ce chemin, et Il vous gardera dans la droite ligne. Quand on commence à tuer, on est vaincu et il est difficile d’en sortir. C’est exactement comme pour l’habitude de fumer ou de boire, on en est esclave, on ne peut pas s’arrêter. Oui, je serai mort quand vous lirez ceci, mais écoutez mon conseil: « … le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur », dit la Bible. J’ai découvert que c’était vrai.Aujourd’hui 22 octobre, le directeur Frank Sain m’a dit que le gouverneur Green m’accordait un délai d’exécution jusqu’au 24 octobre. Je suis toujours heureux et ne crains rien. Je mourrai demain, à minuit. Ernest Gaither

Peter Tanis, missionnaire des prisons a accompagné Ernest Gaither à la chaise électrique. Voici la description des derniers moments du détenu: J’ai été autorisé à entrer dans la cellule d’Ernest à peu près une heure avant minuit. L’atmosphère était lourde, les gardiens se tenaient autour de la cellule, bavardant pour détourner sa pensée « du voyage de minuit ». Mais leur conversation était forcée, et ce qu’ils disaient n’avait aucun sens. Lorsque je suis entré dans sa cellule, Emest sourit et me salua. Un aumônier noir était en train de lire la Bible avec lui. Il me donna le Saint Livre et me demanda de lire. Ernest se pencha en avant et écouta attentivement tandis que je lisais:

« Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain… je suis pressé des deux côtés: j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur »

Il reçut un grand réconfort de ce verset:

 

« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi ».

Quand l’horloge sonna la dernière heure de sa vie, il cita ce verset par coeur. Dehors, les gardiens écoutaient sans rien dire, certains avaient les larmes aux yeux. A 11 heures et demie environ, nous eûmes une réunion pendant laquelle nous chantâmes des cantiques. Ernest voulut chanter: « Quand l’appel de Dieu retentira, je serai là. » Tandis que les derniers sons d’un autre cantique « Quelques mots avec Jésus » se faisaient entendre, les gardiens vinrent avec une tondeuse pour couper les cheveux de l’homme à la voix de ténor. Juste avant minuit, Ernest pria: « Seigneur », dit-il à voix basse, « quand je suis entré ici, je haïssais ces gardiens; mais maintenant, je les aime, Seigneur. O Dieu, j’aime tous les hommes. » Puis il pria pour ceux auxquels il avait fait de la peine, pour sa mère, demandant au Seigneur de la bénir; et Il conclut en disant: « Je ne vais pas mourir par électrocution, je vais seulement m’assoir sur la chaise et m’endormir. »

Quelques minutes plus tard, une cagoule noire fut posée sur sa tète, et il commença à parcourir les derniers mètres. De chaque côté de la chaise se tenaient des gardiens qui paraissaient visiblement nerveux. Ernest le sentit et leur dit: « Pourquoi tremblez-vous ainsi? Je n’ai pas peur. » Soixante-quinze témoins étaient présents quand le condamné fut attaché par des mains fébriles sur la grande chaise noire que faisait ressortir un plancher d’acier sans tâche. A minuit et trois minutes, le premier des trois chocs électriques passait à travers le corps d’Ernest. A minuit et quart, cinq docteurs en tenue confirmèrent la mort, l’un après l’autre. Mais je savais que le vrai Ernest Gaither était encore vivant et que son corps seulement était mort. En quittant la prison, je pensais au verset qu’il aimait tant: « Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain.«


17/10/2015
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LE SECRET DE PAUL WASHER

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Transmis par Armande


 

 

Si l’amour INCONDITIONNEL de DIEU ne nous motive pas suffisamment pour désirer L’aimer en vérité en VIVANT Sa Parole PAR AMOUR et non pour paraître devant les autres chrétiens alors nous n’avons JAMAIS connu Son amour.

Nous parlons de L’AMOUR DE DIEU, Son AMOUR QUI nous sauve pour ne plus que nous demeurions les -mêmes et pourtant nombreux disons avoir goutté à l’amour SALVATEUR de DIEU mais nous n’avons pas changé, nos affections quant aux choses qui attristent le coeur de L’ETERNEL sont toujours les mêmes et pire encore, nous n’avons pas toujours le désir que les choses changent.

L’amour de DIEU change la vie de l’homme/la femme qui l’accepte. L’amour de DIEU est INCONDITIONNEL c’est à dire que jamais DIEU nous aimera PLUS ou MOINS. Son amour pour nous est déjà à Son apogée/paroxysme.

Je t’en supplie ne trouve pas en la phrase précédente une justification pour ton style de vie qui est contraire à la Vérité de la Parole de DIEU, toi qui dit LE connaître.

Hier je n’osais pas dire que DIEU nous aime d’un amour qui jamais ne change car je me disais que cela encouragerait quelqu’un à ne pas changer. J’ai pensé cela jusqu’à ce qu’un jour après des jours, des semaines, des mois d’errance loin de DIEU, période pendant laquelle j’étais retournée au péché que j’avais vomi, je commence à goutter à l’amour de DIEU pour comprendre qu’un tel amour SI PUR ne peut que pousser un coeur sincère à davantage aimer DIEU et à se repentir.

Or si c’est le contraire qui se produit alors peut-être, très probablement que nous n’avons jamais approché l’amour de DIEU.

Ô chers amis, l’amour de DIEU nous CHANGE, nous SAUVE afin que nous ne soyons plus esclaves des œuvres des ténèbres. Nous ne pouvons pas continuer à être les mêmes et dire que nous avons un jour approché DIEU.

Nous parlons de YHWH LE TOUT PUISSANT QUI transforme les cœurs en nous faisant HAÏR le péché que nous aimions autrefois et en nous faisant AIMER Sa JUSTICE que nous haïssions autrefois. Oui DIEU est AMOUR mais Son amour nous CHANGE et nous TRANSFORME jour après jour.

Si tu te dis chrétien = COMME CHRIST mais qu’en vérité il n’y a dans ton coeur AUCUNE crainte respectueuse de DIEU, AUCUN amour pour Sa justice et Sa Vérité contenue dans la Bible, que tu mènes toujours la même vie qu’avant dans le secret, que tu cherches toujours à justifier ton péché en remettant en cause la Parole de DIEU alors il est temps que tu t’arrêtes sincèrement et que tu te poses la seule véritable question qui importe : SUIS-JE SAUVE(E)???

C’est ici et maintenant qu’il nous faut nous poser cette question car une fois morts il sera TROP TARD et nul ne connaît ni le jour de sa mort ni le jour du retour du SEIGNEUR YEHOSHUA.

NB : Il y a en enfer des hommes et des femmes que DIEU aime tout autant que nous car DIEU a tant aimé LE MONDE = TOUS LES HOMMES alors VEILLONS à ne pas nous méprendre quant à l’amour de DIEU pour penser que nous pouvons continuer de FAIRE SEMBLANT de L’aimer et vivre en flirtant avec le monde et le péché.

Si tel est notre cas alors REPENTONS-NOUS, avouons à YHWH notre état sans faire semblant dans la mesure où IL voit les actes secrets que nous cachons aux hommes.

A QUOI BON FAIRE SEMBLANT DEVANT L’ETERNEL?????


13/07/2015
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