Islam-Palestine, Palestiniens Terrorisme
LE TEMPS DE LA RÉALITÉ Par François Celier
En complément à la remarquable synthèse d’un article qui m’a été adressé (1), nous sommes en processus avancé d’une guerre de religion provoquée par l’Islam contre la chrétienté européenne. C’est la raison pour laquelle je m’adresse ouvertement aux dizaines de millions chrétiens européens, aux hommes « justes » du continent et aux judéo-chrétiens-sionistes.
J’adresse au petit nombre de ces derniers, immergés parmi les 350 millions d’européens, une invitation à avoir le courage de se faire connaître comme tels, ce qui n’est en rien infamant, bien au contraire selon Jésus et « pour l’amour de Sion ». Il est grand temps.
En tant qu’ancien écrivain athée devenu tardivement Pasteur par une conversion providentielle, qui me mit KO à terre et me releva en pleurs de joie, comment et combien de disciples de Jésus voient la réalité de la France spirituelle et combative ? Hélas, peu nombreux me semble-t-il.
Or, innombrables sont ceux qui s’avouent chrétiens de bonne foi (parfois du bout des lèvres) que je qualifierais de « traditionalistes ».
En fait, par coutume et conditionnement séculaire, ces derniers relèvent d’une religion décriée de nos jours, qui en fait n’est en rien de l’ordre de l’esprit que Jésus enseigna.
Il ne demanda à ses disciples que d’êtres semblables à lui-même, et non de former une multitude de paroissiens structurés en systèmes d’églises multi-formes et confessionnelles.
Par ces quelques mots ci-dessus, je pourrais être lynché par nombre de personnes portant la croix en pendentif. Or, il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que le mot « chrétien » ne veut plus dire grand chose en vérité, si ce n’est d’être vaguement distingué des mécréants athée et des musulmans qui s’en accommodent avec avidité sous condition de les soumettre et d’en tuer les récalcitrants, selon leur stratégie de conquête.
En paraphrasant une sentence de Saint-Augustin, je dirais qu’à force d’être matraqué par des experts patentés en anesthésie religieuse, des laïcs es-ecclésiastes et des maîtres menteurs médiatiques, un grand nombre de paroissiens finissent par s’y habituer, jusqu’à la pure addiction.
A force d’être serinés et de s’habituer à la relativité du faux-vrai et du vrai-faux, ils renoncent à vérifier quoi que ce soit, pour tout admettre comme « parole d’évangile » catholico-cathodique et protesto-palimpsestive.
Les informations les plus fausses et aberrantes sont répétées en boucles sur tous les réseaux de l’audiovisuel et de la presse écrite, jusqu’à devenir vérités indéniables. A force d’être harcelés, de s’accoutumer à les considérer incontrôlables, un grand nombre se résigne à tout accepter. Quotidiennement, par radio-tv-bassinées, quiconque s’y habitue admet de fallacieuses évidences infiniment répétées. Mis à part un léger malaise intime, la plupart finissent par les gober sans état d’âme et se soumettre à plus fort qu’eux, à savoir l’Islam. C’est ainsi qu’est sabordé le courage de chacun, entraînant de facto le déclin de l’Occident chrétien.
Tout est écrit dans le coran et les hadiths utilisés par les envahisseurs djihadistes.
Par delà le bien et du mal dont ils n’ont qu’ignorance et mépris, les imams ne peuvent contredire les paroles de leur Dieu sous peine d’enfer illico presto. Par ailleurs, ils n’y a pas d’Islam modéré, ce qui commence enfin à ce savoir, mais ils ont Mahomet, « le plus beau des modèles » de croyance en un dieu pré-islamique, choisi parmi d’autres… Imams, chefs de guerres jihadistes et terroristes n’éprouvent aucune gêne ou scrupule à le décrire, à partir du « livre incréé » coranique et des récits hadithiques criminogènes. Le dernier et le plus grand des prophètes (sic) Mahomet im-self, y est décrit comme un narcissique, un égorgeur, un obsédé sexuel, un mégalomane, un violeur orgiaque et un pillard très compétent. Ces hauts faits de fierté communautaire, fondés sur leurs propres textes, décrivent en détail sa vie rocambolesque, à partir des témoignages des brigands de Médine qui l’accompagnaient dans ses guets-apens, ses turpitudes, et les relataient ensuite en pieux disciples…
Par exemple, la fameuse tuerie de la tribu juive des Qurayza à Médine en 627 dans laquelle Mahomet fut un acteur zélé de leurs décapitations.
Concernant la vie et la personnalité de Jésus, nul n’ignore plus ce qu’elle représente comme grandeur d’âme, de vérité et de force d’amour pour l’humanité. Aussi, je laisse à tout un chacun de tenter une comparaison en lisant le récit vécu des disciples de Jésus.
Cette « armée de l’ombre » pour laquelle je prie, existe belle et bien, éparpillée çà et là de part le monde, et même en France. Dès lors, comment atteindre ses conscrits de la foi ?
Succédant aux désastres sanguinaires du Moyen Orient, d’horribles conflits de masse se préparent en Europe et en France. La vigilance de tous doit être maximale et constante!
Comment galvaniser et entrainer des disciples aux combats de demain ? Les grands médias sont fermés et hostiles à la foi en Dieu, de même que les autorités politiques et religieuses patentées et pleutres. Néanmoins, les disciples de Jésus disposent du modèle de la « plaidoirie » du patriarche Abraham devant l’Eternel:
(adaptée Hic et nunc ) :
« Seigneur, combien sommes-nous, animés d’un même esprit, pour nous battre ? Comment nous concerter les uns les autres, d’une ville à l’autre, d’une nation à l’autre et nous organiser en une Armée de l’ombre supplétive aux forces de défense conventionnelle ? Par quels canaux ouverts parvenir à susciter une immense chaîne de « bouches à oreilles ». Eternel, donnes-nous l’arme absolue des songes et des visions, car tu nous les as promis dans ta Parole. Ces révélations nous appartiennent en puissance ! Nous les réclamons, avec instance et crainte respectueuse »
Ou encore, pratiquer la dangereuse prière de défie du prophète Daniel, face à la puissance de l’empereur Perse, se mettant à genoux, fenêtre grande ouverte à tous les vents de la communication publique,
au risque de la moquerie ou des menaces de mort quand à sa vie !
« Seigneur, comment lancer un mouvement de prières, avec pour seul message, clamé ou chuchoté: levez-vous d’entre les morts, frères humains qui avec nous croyez… Eternel, permets que tous soyons revêtus des armes de l’Esprit, et qu’il en soit même des « Justes en vérité » à nos côtés, parmi les nations ! »
Hommes et femmes de foi, à votre insu, vous formez un Quartier Général opérationnel, des cadres de commandements et des stratèges inspirés. Certains d’entre-vous sont aptes à organiser des Divisions, d’autres des Centuries, des Sections de résistants, des franc-tireurs et autres supplétifs. Vous représentez un grand nombre de conscrits en potentialité et puissance. Sans les voir, vous êtes néanmoins associés à un grand nombre de Justes, animés d’une intime conviction d’éthique et de vérité. D’os, de chair, de nerfs et d’esprit, vous êtes déjà un grand corps de guerre en phase d’unification, invisiblement alliés aux anges de l’Eternel.
Personnellement, disciple de Jésus depuis 45 ans, porteur de son message d’espérance et de salut dans près de 140 pays, voilà qu’à 77 ans, je suis plus que jamais mobilisé dans une « Armée de l’ombre » en gestation…
François Celier, Pasteur iconoclaste
(1) « LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT FRANÇAIS, AUX DÉPUTÉS, AUX SÉNATEURS, ET PLUS PARTICULIÈREMENT À FRANÇOIS HOLLANDE ET EMMANUEL VALLS », de Michelle d’Astier de la Vigerie.
UNE TACHE DE BARBARIE À LA SURFACE DE LA TERRE, SAMI EL SOUDI, JOURNALISTE PALESTINIEN – ET AUTRES RÉFLEXIONS (PH. DE VILLIERS)
Tranmis par Françoise Grard – Source : http://www.menapress.org/une-tache-de-barbarie-la-surface-de-la-terre-info-010502-16.html
(Ces hommes dont la tête a été recouverte d’un sac en papier vont être exécutés sans jugement en pleine rue à GazaIls sont soupçonnés d’avoir communiqué avec l’ennemi)
Il y a maintenant plusieurs années de cela, le magazine français Télérama, appartenant au groupe Le Monde, se moquait de la Ména parce qu’elle me comptait dans ses rangs et que j’étais un improbable « Palestinien pro-israélien ! ».
Le public a sans doute eu le temps de se demander, depuis, qui d’une terroriste de treize ans poignardant un Juif ou de Sari Nusseibeh, universitaire qui œuvre avec des Israéliens à la recherche d’une solution applicable du différend israélo-palestinien est le plus efficace pour faire avancer notre cause. Et qui, d’Ismaïl Hanya, dirigeant du Hamas, qui prône l’éradication de l’Etat hébreu et qui construit des chars d’assaut en bois, ou de Salam Fayyad, ex-Premier ministre de l’Autorité Palestinienne, qui a tenté de nous doter de structures et d’infrastructures étatiques en évitant la confrontation avec Israël, pose un réel problème politique pour la coalition Netanyahu.
Je suis un Arabe et un Palestinien athée, né dans une famille sunnite. Mon père, qui se rendait à la mosquée plusieurs fois par jour, avait appris à ses enfants à respecter tout le monde, à commencer par les chrétiens et les Juifs, à ne pas avoir de préjugés basés sur l’origine des personnes, à prendre le temps de discerner nos objectifs personnels ainsi que la manière de les atteindre, et à bien réfléchir avant de nous exprimer.
C’est l’héritage précieux qu’il nous a légué. J’ai tourné le dos depuis longtemps à la religion mais je sais qu’il existe des dizaines de millions de mahométans paisibles qui ne demandent qu’à vivre leur vie en laissant les autres poursuivre la leur. Je connais personnellement aussi des dizaines d’agnostiques arabes, et je crois qu’il en existe quelques millions parmi le milliard et demi de musulmans vivant actuellement sur Terre. Ils sont contraints de dissimuler leurs opinions car ils vivent au sein d’une culture dans laquelle il est interdit de ne pas croire.
Depuis l’éclatement de l’Intifada des couteaux, je traverse une déprime intellectuelle profonde. Non pas une dépression psychologique, mais une remise en question de ma motivation ainsi que de mes finalités. Je ne chôme pas pour autant, essayant de me trouver au plus près des milieux de poignardeurs pour comprendre ce qui les pousse à agir, des autorités de l’AP, pour observer leurs réactions, des sympathisants islamistes connus en Cisjordanie, ainsi que des familles des terroristes-assassins, afin de mesurer les intentions des foules lors des enterrements, ce qui m’aide à me figurer la voie vers laquelle se dirige la cause palestinienne. Une cause pour laquelle j’avais décidé de consacrer mon existence, allant jusqu’à suivre Yasser Arafat au Liban, puis dans son exil tunisien, avant de le quitter alors qu’il occupait la Moukata de Ramallah, horrifié par sa pédophilie étalée aux yeux de tous, et par ses agissements qui nous conduisaient droit à l’apocalypse plutôt qu’à la paix.
Cette semaine, alors que j’assistais aux obsèques d’un homme qui avait tué une jeune israélienne, j’ai entendu les participants hurler qu’il était désormais temps d’utiliser des armes automatiques pour éliminer les Juifs.
Je n’ai pas discerné la moindre expression de regret ou d’humanité. La moindre trace d’intelligence ou de désir construit d’édifier l’Etat de Palestine.
Je n’ai vu que bave et rage, que besoin de tuer ; en fermant les yeux j’avais l’impression d’être entouré de morts-vivants en train d’avancer, tels qu’on les voit dans les films d’horreur.
J’ai ressenti instinctivement qu’il était temps pour moi de faire un pas de retrait et de réflexion pour envisager la poursuite de mes combats politiques. Je l’écris comme je le pense : non seulement je ne parviens pas à me reconnaître au milieu de ces individus déshumanisés, mais je me surprends à n’avoir plus rien en commun avec eux. Et je me demande si je pourrais vivre dans l’Etat de Palestine en leur compagnie et aussi, si j’en ai l’envie, mais j’éprouve en réponse l’inverse d’une certitude.
La question n’est cependant pas à l’ordre du jour, puisque l’écrasante majorité de mon peuple a pris un chemin qui ne mène pas à l’émancipation mais à la destruction et au suicide. Ces gens baignent dans un environnement mental hétéroclite, fait d’une bonne dose d’islamisme, même si je doute que la plupart d’entre eux entende quoi que ce soit à la religion, de nationalisme arabe, du remord de n’être pas en train de combattre en Syrie et en Irak, de délabrement matériel autant que mental, nourri par une vie de promesses infondées et donc inévitablement pas tenues, et d’une poussée de monoculturalisme assorti de son lot de racisme, de xénophobie et d’antisémitisme.
Le pire étant que je suis convaincu – parce que je leur parle autant que faire se peut, ce qui est délicat, car raisonner les irrite rapidement – qu’aucun de ceux que je vois s’agiter autour de la dépouille du terroriste n’est intellectuellement capable d’assimiler le contenu du paragraphe précédent. Ils sont comme une potion médicamenteuse dont on ignorerait les ingrédients mais qui s’intitulerait « Aliénation mortelle ».
Ils ne cherchent nullement à remporter un quelconque combat, mais uniquement à tuer des ennemis et à mourir ensuite pour atteindre le ciel et les vierges qui s’y prélassent en les y attendant. Ils en sont à ce point persuadés qu’ils le crient en chœur à la moindre occasion.
Ils ne sont responsables de rien, ils sont irresponsables, la vie terrestre n’a aucune valeur à leurs yeux, la mépriser, c’est se rapprocher d’Allah, tout est la faute de l’autre, et l’autre le plus proche est l’Israélien. Donc ils se jettent sur les Israéliens pour les tuer.
Leur « détermination », en fait leur délire, impressionne les journalistes et les gouvernements des Etats industrialisés qui ne s’intéressent pas vraiment à la situation que je décris. Cela les pousse à s’auto-flageller et à leur montrer de la compassion au détriment des Israéliens. Au point que l’un des membres de notre rédaction a écrit cette semaine sur Facebook que « si ce sont des terroristes », comme la Ména l’écrit, « ce sont des monstres. Mais si ceux qui commettent ces crimes sont des Palestiniens », comme le rapportent les media occidentaux, « alors les Palestiniens sont des monstres ».
Ce n’est pas tout de l’aveuglement du monde chrétien : la situation que je décris en Cisjordanie est la même que celle qui ravage actuellement la presque-totalité du monde musulman. Or face à une violence inouïe qui les effraye, les Occidentaux ont perdu leurs repères, et, partant, l’énergie nécessaire à se protéger.
Au prétexte d’éviter l’islamophobie et l’amalgame, ils ont abandonné leur sens critique et ne discernent plus le phénomène abominable qui se déroule pourtant sous leurs yeux.
C’est donc moi, un Arabe, pétri de honte et de repentir, pour sauver l’honneur des quelques-uns, à l’instar de ceux que j’ai déjà cités et d’esprits supérieurs à l’image de l’écrivain Boualem Sansal, qui vais leur proposer un petit récapitulatif.
Actuellement, sur l’ensemble du globe, de manière systématique et au nom de l’Islam :
Seuls des musulmans participent à des guerres.
Seuls des musulmans tranchent les têtes de leurs adversaires.
Seuls des musulmans les brûlent vifs.
Seuls des musulmans les noient.
Seuls des musulmans pendent leurs détracteurs.
Seuls des musulmans procèdent à la pendaison par étouffement.
Seuls des musulmans condamnent des gens à la décapitation par le sabre.
Seuls des musulmans procèdent à la crucifixion.
Seuls des musulmans précipitent des condamnés depuis le toit des immeubles.
Seuls des musulmans condamnent les homosexuels à mort.
Seuls des musulmans ont recours à la lapidation.
Seuls des musulmans réalisent l’ablation punitive de certaines parties du corps.
Seuls des musulmans condamnent des gens à recevoir des centaines de coups de fouet.
Seuls des musulmans pratiquent le terrorisme, tant dans leurs régions que dans les pays étrangers.
Seuls des musulmans assassinent sans discernement des êtres humains, sans les avoir identifiés autrement que par leur supposée identité nationale ou religieuse.
Seuls des musulmans pratiquent des assassinats-suicides
Seuls des musulmans pratiquent des assassinats à la voiture tueuse.
Seuls des musulmans assassinent des journalistes dans leur rédaction.
Seuls des musulmans assassinent des gens attablés dans des restaurants.
Seuls des musulmans assassinent des gens assistant à des spectacles.
Seuls des musulmans assassinent des Juifs, y compris des enfants, dans des écoles.
Seuls des musulmans assassinent des Juifs dans des supermarchés casher.
Seuls des musulmans assassinent des innocents dans des gares et des stations de métro.
Seuls des musulmans assassinent des Juifs dans des musées.
Seuls des musulmans ont assassiné 2 500 innocents n’ayant jamais offensé l’islam (le 11 septembre 2001 aux Etats Unis) en une seule journée.
Seuls des musulmans détruisent des lieux de culte d’autres religions.
Seuls des musulmans détruisent des vestiges historiques appartenant au patrimoine de l’humanité.
Seuls des musulmans invoquent le nom de Dieu lorsqu’ils assassinent.
Seuls des musulmans réduisent des êtres humains à l’esclavage et à l’esclavage sexuel.
Seuls des musulmans œuvrent en faveur d’une doctrine visant à soumettre le monde à leur croyance.
Seuls des musulmans épousent des enfants impubères. [1/3 des mariages célébrés en Turquie le sont avec des mineurs. Source : Fonds des Nations Unies pour la Population. Ndlr.].
Seuls des musulmans condamnent à mort les femmes prétendument infidèles.
Seuls des autorités d’Etats et d’entités étatiques musulmans honorent les terroristes pour les assassinats qu’ils ont commis.
Seuls des musulmans persécutent, chassent et massacrent les minorités qui vivent parmi eux, Yazidi, Kurdes, Coptes, chrétiens, zoroastriens, bahaïs, bouddhistes, etc.
En 1960, le Liban était un pays à majorité chrétienne ; les membres de cette communauté ne représentent plus aujourd’hui que vingt pour cent de la population.
En 1950, les chrétiens constituaient 85 % de la population de Bethlehem, ils sont aujourd’hui 35 %. Le même phénomène se retrouve partout en Cisjordanie, où des communautés entières ont émigré à l’étranger, notamment en Amérique du Sud.
Il reste 350 000 chrétiens en Irak, en 1980, ils étaient un million. Les chrétiens d’Irak sont en voie de disparition.
Seuls des Etats musulmans menacent d’autres Etats d’éradication.
Les seuls Etats à nier l’extermination industrielle des Juifs durant la Seconde Guerre Mondiale sont musulmans.
Le seul Etat dans lequel selon l’OMS plus de 90 % des femmes sont exclitorisées est musulman (l’Egypte).
Seuls des musulmans pratiquent le viol de masse.
Seuls des musulmans pratiquent le Crime d’honneur.
Seuls des musulmans masquent la totalité du corps des femmes y compris leurs yeux.
Seuls des musulmans punissent les femmes qui montrent leur visage.
Il n’existe qu’un seul Etat musulman réellement démocratique : la Tunisie.
Seuls des musulmans punissent les femmes qui se trouvent en compagnie d’hommes n’appartenant pas à leur famille.
Si j’ai mentionné le moindre crime exclusivement musulman par erreur ou pratiqué le moindre amalgame, je vous invite à le faire savoir à la rédaction et je m’engage à apporter les corrections nécessaires.
Si vous assimilez le fait d’établir la liste des crimes exclusivement pratiqués par des musulmans à de l’islamophobie, c’est que vous entendez museler l’expression de la réalité.
Ceux qui prétendent qu’une religion dont les membres s’adonnent aux genres de crimes figurant sur cette liste et dans les quantités où ils les perpètrent est une « religion de paix », devraient être invités à s’expliquer. En ce qui me concerne, je crois que le monde serait largement plus viable et paisible si cette croyance n’existait pas et qu’elle est un fléau pour les êtres humains et les nations, dont la mienne. Une tache de barbarie à la surface de la Terre.
J’ai honte.
(fin de l’article de Sami El Soudi)
Patrick m’envoie aussi un extrait d’un écrit de l’abbé Guy Pagès):
Musulmans, la haine et l’Enfer
Le Coran révèle que c’est seulement une fois arrivés dans le paradis d’Allah que celui-ci enlèvera de leur cœur la haine (Coran 7.43 ; 15.47)…
Un musulman devrait se poser quelques questions :
– Pourquoi Allah n’enlève-t-il pas maintenant la haine du cœur des musulmans ? Il ne le peut pas puisque c’est lui qui la met (Coran 5.64).
– Si la haine vient de Satan (Coran 5.91), qui est Allah ?…
– Puisque dans le Coran, qui est l’immuable parole d’Allah, il arrive néanmoins à Allah de changer d’avis… en sorte qu’il lui faille abroger ses propres versets. Qu’est-ce qui garantit au musulman que ce verset annonçant qu’Allah enlèvera la haine du cœur des musulmans, n’est pas abrogé, et que finalement les musulmans continueront à haïr… de sorte qu’ils se retrouveront en enfer ?
Imaginez un monde où tous les musulmans se mettraient à aimer leur prochain !… Mais hélas, ce ne peut être qu’un rêve, puisque tant qu’ils seront musulmans, Allah affirme qu’ils seront haineux. Oh, certes, il y a des musulmans qui ne sont pas haineux… mais c’est justement parce qu’ils ne sont pas de bons musulmans, et c’est pourquoi les islamistes les persécutent.
Allah qui leur inculque la haine, la haine de tout ce qui n’est pas musulman, ainsi que l’exprime ce verset du Coran : « Entre nous [musulmans] et vous [non-musulmans] c’est l’inimitié et la haine, à jamais, jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul ! » (Coran 60.4).
L’islam se nourrit de haine. Il n’est rien d’autre que la haine de ce qui n’est pas lui … Sans kafir, sans infidèle, il n’y a pas de musulman.
Extrait et adapté de « Musulmans, la haine et l’Enfer » par Abbé Guy Pagès