* JESUS REVIENT *

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Parole du Jour


prière c’est la santé ! ( Bob Gass )

« Priez sans cesse » 1 Thessaloniciens 5.17

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L’époque où les théologiens frileux s’inclinaient devant le dieu « science » est révolue. Des scientifiques sérieux affirment aujourd’hui que Dieu est ingénieux et que ses principes tiennent la route à la lumière de l’examen scientifique. Andrew Newberg, qui étudie la relation entre le spirituel et le cerveau, a démontré que nous avons été conçus pour communiquer avec le divin. Il existe dans l’encéphale des centres qui réagissent positivement à la prière, à la lecture et à la méditation des textes sacrés, aux célébrations communes, au chant et à l’empathie. Newberg est convaincu que la pratique d’une foi religieuse personnelle permet de maintenir un cerveau sain. Le lobe frontal est le centre de l’attention, la pensée rationnelle et la prise de décision. Il réagit à la prière et à la méditation, réduit le stress, renforce le système immunitaire, améliore la mémoire et augmente l’aptitude à la compassion. Il préserve la santé du cerveau et allonge l’espérance de vie ! Newberg démontre que prier au moins douze minutes par jour ralentit le déclin cérébral. On inhibe également les zones associées à la colère, la culpabilité, l’anxiété, la dépression, la peur et l’amertume. Bref, la science d’aujourd’hui a fini par rejoindre les textes anciens pour faire écho aux paroles du Psalmiste : « Seigneur, merci d’avoir fait de mon corps une aussi grande merveille. Ce que tu réalises est prodigieux » (Ps 139.14, BFC). Peut-il y avoir meilleure raison pour « que la parole du Christ habite en vous avec sa richesse » (Col 3.16) ?


09/02/2022
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LA MAÎTRISE DE SOI (Bob Gass )

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« UNE VILLE FORCÉE ET SANS MURAILLES, TEL EST L'HOMME QUI N'EST POINT MAÎTRE DE LUI-MÊME » PROVERBES 25.28
Les épreuves, les personnes désagréables et les circonstances frustrantes sont potentiellement pénibles. Il en sera toujours ainsi. Mais, ce n’est pas notre problème ! Ce n'est pas ce qui nous arrive qui détermine notre humeur, mais ce qui se passe en nous ! On pense que la vie irait en s’améliorant si on pouvait changer les gens et les circonstances. Mais il y aura toujours de nouvelles personnes et de nouvelles circonstances à gérer. Salomon avait raison : il ne s'agit pas de contrôler le monde extérieur, mais notre for intérieur. Les Proverbes le disent : « Une ville forcée et sans murailles, tel est l'homme qui n'est point maître de lui-même ». En d’autres termes, il est une ville vulnérable aux attaques. La seule façon de garantir notre sécurité est de cesser de contrôler les gens et les choses, et de nous concentrer sur l’entretien de nos murs de protection. Vous dites : « Mais les gens et les circonstances me font me sentir inadapté(e) et vulnérable. » La Bible nous dit que « Dieu résiste aux orgueilleux mais donne sa grâce aux humbles » (1P 5.5). Pour arriver à la plénitude, nous devons : 1) reconnaître nos propres insuffisances. 2) accepter que Dieu seul peut nous donner la maîtrise de soi (voir Ph 2.13). 3) réaliser que la maîtrise de soi ne vient pas parce qu’on serre les dents ; c'est un fruit de l'Esprit (voir Ga 5.22-23). Lorsque nous nous soumettons à l'Esprit qui vit en nous, il renforcera nos murs et nous donnera les moyens de résister à l'Ennemi.

09/02/2022
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Comment réduire son anxiété (2) ( Bob Gass )

« Ne vous inquiétez donc pas du lendemain » Matthieu 6.34

 

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Si l’avenir vous inquiète, rappelez-vous ce que Dieu proclame : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin » (Ap 22.13). Où que vous alliez, Dieu y est déjà ! Jésus a dit : « Les brebis entendent sa voix […] il marche devant elles ; et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix » (Jn 10.3–4). Comment les brebis reconnaissent-elles la voix du berger ? En passant du temps avec lui ! Notez bien : « il marche devant elles ». Ça veut dire que tant que l’on avance, il nous guide. À chaque point de rupture, c’est comme un test : soit on abandonne, soit on persévère jusqu’à la victoire. Lorsque les coureurs de fond atteignent leurs limites et ont envie de s’arrêter, ils savent qu’en résistant à la douleur, ils trouveront un second souffle qui leur permettra de franchir la ligne d’arrivée. Prenez-vous des charges qui ne sont pas les vôtres ? Apprenez à établir des limites saines pour votre propre bien et celui de ceux qui dépendent de vous. Si vous n’êtes pas sûr(e) de vous, demandez à Dieu de vous montrer jusqu’à quel point il faut vous impliquer dans la vie de vos amis et de votre famille. Si ce n’est pas votre fardeau, déposez-le. S’il est trop lourd, laissez Dieu le porter ! Appuyez-vous sur sa promesse : « Il n’a ni mépris ni dédain pour les peines du malheureux, et il ne lui cache pas sa face ; mais il l’écoute quand il crie à lui » (Ps 22.25). En résumé : plus la confiance en Dieu augmente, plus l’anxiété diminue.


07/02/2022
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Comment réduire son anxiété (1) ( Bob Gass )

« Remets ton sort à l'Éternel » Psaumes 55.23

 

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En cas de stress, les émotions négatives nous submergent. À moins de décharger son âme devant Dieu, on prend facilement de mauvaises décisions, on cède à de mauvaises pulsions, on prend la mauvaise direction et on s’en prend aux mauvaises personnes. Le Psalmiste l’exprime ainsi : « Remets ton sort à l’Éternel, et il te soutiendra ». Plus on s’appuie sur Dieu en tirant de lui sa force, plus le niveau d’anxiété diminue. Ce n’est pas un hasard si de nombreux psaumes commencent par un appel à l’aide de David et se terminent dans l’allégresse parce qu’il a exprimé ses frustrations à la bonne personne, Dieu ! En fait, la vie est constituée à 10 % de ce qui nous arrive et à 90 % de la façon dont on y réagit. Le travail, les finances, le mariage, les enfants, la santé et l’avenir sont autant de sources d’anxiété, de sorte qu’on ne sera jamais totalement libéré de l’angoisse. Mais on peut réduire son niveau d’anxiété en suivant les conseils de Paul : « Louons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père riche en bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion ! Il nous réconforte dans toutes nos détresses, afin que nous puissions réconforter ceux qui passent par toutes sortes de détresses en leur apportant le réconfort que nous avons nous-mêmes reçu de lui. De même en effet que nous avons abondamment part aux souffrances du Christ, de même nous recevons aussi un grand réconfort par le Christ » (2 Co 1.3–5, BFC). Un pasteur a dit : « Plus on prie, moins on panique. Plus on adore, moins on s’inquiète. »


07/02/2022
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Surmonter le rejet ( Bob Gass )

« Voyez, quel amour le Père nous a donné » 1 Jean 3.1

 

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Le sentiment de rejet se manifeste de diverses manières. 1) On recherche la perfection. Mais ça ne fonctionne pas, car les besoins et les attentes des autres sont tellement divers qu’il est impossible de tous les satisfaire. 2) On n’attend rien. On supporte l’abandon et les violences parce qu’on pense que c’est ce qu’on mérite ou que c’est sa seule chance d’être aimé(e). 3) On devient agressif. On ressent le rejet comme une agression, ce qui n’est pas le cas. Alors on sort ses griffes et on passe à l’attaque. 4) On fait bonne figure et on se dit : « Je gère. De toute façon, je n’ai pas besoin des autres. » Par conséquent, on s’isole. Les besoins physiques, spirituels et émotionnels ne sont pas satisfaits et on se sent seul. 5) On se promet de ne plus jamais laisser personne s’approcher assez pour nous blesser. Mais si on met des barrières, on s’enferme et les relations en souffrent. 6) On attire les mauvaises personnes si on se mésestime. En réalité, si sa propre-estime est basée sur une opinion autre que celle de Dieu, on sera toujours vulnérable au rejet. La critique nous diminue, l’échec nous empêche de ressayer, et pire encore, on ne découvrira jamais la personne unique et merveilleuse que Dieu a fait de nous. Alors, quelle est la réponse ? Jean nous dit : « Voyez, quel amour le Père nous a donné, puisque nous sommes appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes ». Pour surmonter le rejet, il faut réaliser et accepter à quel point Dieu nous aime et nous valorise.


01/02/2022
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