* JESUS REVIENT *

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Le Dieu du Ciel s'est fait Homme (1)

Jésus t’Aime ❤️
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Il est en effet vital que l’Église affirme, comme elle l’a fait au cours des siècles, que Jésus qui « a été conçu par le Saint-Esprit, est né de la vierge Marie », car les Évangiles l’enseignent si clairement. Il est essentiel de croire à la conception virginale, comme il est essentiel de croire à tout ce que Dieu nous dit. Il aurait pu mettre son Fils au monde d’une autre manière, mais il ne l’a pas fait – et il nous a dit comment il l’a fait. Ferons-nous semblant de crier « Seigneur, Seigneur » sans croire ce qu’il dit ?
Le Symbole des Apôtres confesse : « Je crois en Dieu, le Père Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur ; qui a été conçu du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie. »
Le Symbole des Apôtres confesse : « Nous croyons en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu par le Saint-Esprit et est né de la vierge Marie. » Ce que Jésus est (selon les Écritures, et saisi dans ce résumé minutieux et éprouvé par le temps de l’Église primitive) n’est pas déconnecté ou sans rapport avec la conception virginale. Pourtant, avant d’en arriver à sa naissance, le credo fait trois affirmations massives sur Jésus qui peuvent sembler si familières que nous sommes enclins à négliger leur signification. Considérez la simplicité et la profondeur de la confession de l’Église selon laquelle Jésus est « Christ, son Fils unique, notre Seigneur ».
Jésus, le Christ :
« Jésus Christ » – son nom de naissance et son titre messianique sont associés si étroitement depuis maintenant deux millénaires que nous les connaissons peut-on dire comme son prénom et son nom de famille. « Christ », bien sûr, désigne en grec l’oint (le Messie en hébreu). Pendant mille ans avant la naissance du Messie, le peuple de Dieu a attendu la venue du Messie – le Christ – qui accomplirait les promesses faites par Dieu au grand roi David et par son intermédiaire.
Par l’intermédiaire du prophète Nathan, Dieu a annoncé à David : « Ta maison et ton règne seront assurés pour toujours après toi, ton trône sera affermi pour toujours » (2 Samuel 7. 16). Le Trône de David établi pour toujours signifiait soit une descendance après l’autre, la dynastie ne se terminant jamais, soit un descendant unique dans la lignée de David régnant pour toujours. David, sous la conduite de Dieu, en est venu à considérer cette dernière possibilité, et a même parlé d’un descendant qui serait son supérieur, son seigneur, à qui Dieu lui-même dirait : « Assieds-toi à ma droite » (Psaume 110. 1). Dieu fera de ce descendant non seulement un roi sans fin, mais aussi, chose étonnante, « un prêtre pour toujours » (Psaume 110. 4).
Par l’intermédiaire d’Ésaïe et des prophètes, le peuple de Dieu a grandi dans son anticipation et son désir de voir naître ce grand enfant, ce fils qui lui sera donné, sur l’épaule duquel reposera la souveraineté et que le peuple appellera, de façon remarquable, « Merveilleux conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Ésaïe 9. 5).
Étendre la souveraineté, donner une paix sans fin au trône de David et à son royaume, l’affermir et le soutenir par le droit et par la justice, dès maintenant et pour toujours : voilà ce que fera le zèle de l’Éternel, le maître de l’univers. (Ésaïe 9. 7)
PLEINEMENT HUMAIN
Et c’est ainsi que Jésus était. Il n’était pas un esprit prétendant ou semblant être humain. Comme le dit si bien l’Évangile de Jean : « La Parole s’est faite chair » (Jean 1. 14). Il était humain, jusqu’au bout. Né d’une mère humaine, il a été emmailloté comme un frêle nourrisson, exposé au danger dans ce monde déchu, il a grandi en force, en sagesse et en stature (Luc 2. 40, 52), et « a appris l’obéissance par ce qu’il a souffert » (Hébreux 5. 8 ). Il a mangé, bu et dormi – s’est fatigué (Jean 4. 6), a eu soif (Jean 19. 28) et faim (Matthieu 4. 2) et a connu la faiblesse physique (Matthieu 4. 11 ; Luc 23. 26). Il est mort (Luc 23. 46). Et il est ressuscité avec un corps véritablement humain, maintenant glorifié (Luc 24. 39 ; Jean 20. 20, 27).
Mais Jésus n’est pas seulement humain dans son corps, il l’est aussi dans son âme. Il a manifestement fait preuve d’émotions humaines, s’émerveillant (Matthieu 8. 10), étant troublé (Jean 11. 33-35 ; 12. 27 ; 13. 21), et étant « triste à en mourir » (Matthieu 26.38). Jésus a également fait preuve d’un esprit humain puisqu’il a grandi en sagesse (Luc 2. 52) et reconnu qu’il ne savait pas certaines choses (Marc 13. 32) – et d’une volonté humaine dans sa soumission permanente à celle de son Père (Jean 6. 38), qui a culminé à Gethsémané (Matthieu 26. 39).
La véritable et pleine humanité du Christ n’a jamais été remise en question pour ses disciples et ceux qui ont marché avec lui dans les rues de Galilée et de Jérusalem. Ils l’ont vu, l’ont entendu, l’ont touché (1 Jean 1.1). Il n’était rien de moins qu’humain. Pourtant, les monothéistes les plus stricts, qui allaient finir par vénérer cet homme, ont fini par comprendre, avec le temps, qu’il était davantage.
Jésus, le Fils unique de Dieu
Le Christ est une chose, le « Fils unique » de Dieu en est une autre. L’Église a fini par confesser que ce Jésus n’est pas seulement véritablement un homme, mais aussi véritablement Dieu.
Lorsque Jésus, véritable homme, est ressuscité des morts, comme un fait objectif de l’histoire, avec plus de cinq cents témoins (1 Corinthiens 15.6), la pièce finale était maintenant en place. Des siècles de prophéties et une vie d’intimations et de révélations choquantes ont abouti au verdict : cet homme n’était pas seulement le Christ, mais véritablement Dieu, le Fils unique de Dieu.
A SUIVRE...


22/12/2021
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