* JESUS REVIENT *

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Palestine, Palestiniens


L’IMPOSTURE DU « PEUPLE PALESTINIEN ». RÉVÉLATION…

[Vidéo] Révélation du ministre de l’intérieur du Hamas qui dévoile la vérité sur l’origine des « Palestiniens » : « La moitié sont égyptiens et l’autre moitié sont saoudiens ». Il dévoile l’imposture du « peuple palestinien »

 

 

Il dévoile ainsi l’imposture du « peuple palestinien » inventé de toute pièce.

 Transmis par Françoise Grard

05/07/2016
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HALLEL ASSASSINÉE ! PASTEUR GÉRALD FRUHINSHOLZ

Silhouette of a man with a knife about to stab.

De Jérusalem,

Hallel Yaffa Ariel, 13 ans, a été poignardée, assassinée dans son lit !

Alors que beaucoup d’Occidentaux vont partir en vacances, Hallel voit sa vie achevée dans la douleur d’une blessure mortelle, tuée par les coups de couteau d’un jeune Arabe de 17 ans… Hallel, la fierté de ses parents, passionnée de danse, vivait à Hébron ; sa vie prenait son essor…

 

« La jeune fille poignardée ce matin à Kyriat Arba est morte de ses blessures au Centre Médical Shaare Tsedek. Elle a été emmenée à l’hôpital dans un état critique après avoir combattu pour sa vie, mais les médecins ont confirmé sa mort. Cette attaque a également blessé un homme de 31 ans qui se trouve dans un état grave. Le terroriste est entrée dans une maison et a poignardée la fillette de 13 ans » –Alyaexpress-news.com.

 

Avec Hallel, c’est la louange qu’on assassine, c’est la joie pour Israël de vivre dans le pays donné par Dieu.

Un ami belge, pasteur, venu pour la première fois avec son épouse fêter 50 ans de vie commune, disait combien il était frappé par la beauté du peuple juif, par la vitalité de sa jeunesse. Il voyait l’accomplissement de la prophétie de Jérémie (31:4) : « Tu auras encore les tambourins pour parure, et tu sortiras au milieu des danses joyeuses… »

 

Hébron, ou Kyriat Arba (Gen 14:14), c’est la ville que Caleb a conquise de ses mains… Il y a 4000 ans, à Hébron, Abram habitait près des chênes de Mamré (Gen 13:18) et bâtit un autel ; A Hébron, il acheta une terre pour y être enterré… Mais Hébron c’est aussi des massacres pour les Juifs : en 1929, avant tout problème d' »occupation », la ville vécut l’enfer d’un pogrom sanglant – du 23 au 29 août 1929, 133 Juifs furent tués par les Arabes et 339 autres blessés. Hébron a été la capitale d’Israël pendant 7 ans, avec le roi David (2Sam 5:5). Hébron, c’est le coeur d’Israël, tout comme la Judée-Samarie.

 

Qui colporte et laisse colporter cette haine ?…

« La mère de l’assassin qui a poignardé 30 fois Hallel Yaffa appelle son tueur de fils un héros et encourage d’autres jeunes à rejoindre le Djihad contre les Juifs » (Olivier Rafowicz). D’où provient cette haine ?…

– Premièrement de l’islam, cette religion criminelle que personne n’ose nommer.

Et l’Occident, et l’Europe ne sont-ils pas complices ?…

L’Europe est hypocrite : elle a écouté sans réagir Mahmoud Abbas du haut de la chaire de l’ONU accuser des rabbins d’empoisonner l’eau des puits, ressortant une vieille accusation moyenâgeuse, et continuant de déblatérer contre Israël. Voit-on en cet homme un homme de paix ?… Qu’attend l’ONU pour condamner de tels propos encourageant les Musulmans à tuer les Juifs et les chrétiens ?…

Israël, l’Horloge de Dieu

 

Et l’Eglise ?… Elle ne dit rien, mais n’est-elle pas responsable ? Qui ne dit rien consent…

– Eglise, en te taisant, en ne prenant pas position, tu coupes la branche sur laquelle tu te tiens, car c’est Israël la racine qui te porte (Rom 11:18).

– Eglise, réveille-toi, l’orage gronde, et les torrents d’eau et de boue n’ont pas fini de se déverser. Sache de quel côté tu te positionnes.

 

Pour Hallel Yaffa, nous voulons citer le Psaume 150 – Hallelou Yah :

« Louez l’Eternel ! Louez Dieu dans son sanctuaire ! Louez-le dans l’étendue, où éclate sa puissance! Louez-le pour ses hauts faits! Louez-le selon l’immensité de sa grandeur !

Louez-le au son de la trompette! Louez-le avec le luth et la harpe !

Louez-le avec le tambourin et avec des danses! Louez-le avec les instruments à cordes et le chalumeau ! Louez-le avec les cymbales sonores ! Louez-le avec les cymbales retentissantes !

Que tout ce qui respire loue l’Eternel ! Louez l’Eternel ! »

 

Que la consolation du Dieu de Jacob soit avec les parents de Hallel, ses deux petites soeurs et sa communauté,

de Gérald & Sophie et l’équipe de Shalom Israël


02/07/2016
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ACTES DE « PAIX » DES PALESTINIENS PAR GUY MILLIÈRE « PRESQUE PERSONNE N’OSE TRADUIRE LES PROPOS SANGUINAIRES QU’ABBAS TIENT EN ARABE »

Transmis par Françoise Grard

Mahmoud-Abbas⊕ Parce que les actions terroristes perpétrées contre les Israéliens ne sont presque jamais décrits comme des actes terroristes, Israël est le seul pays qui est reconnu coupable de se défendre contre le terrorisme. Israël est le seul pays vivant à côté d’une entité terroriste, et à qui il est demandé de ne pas traiter cette dernière comme une entité terroriste. 

 

⊕ L’illusion des Accords d’Oslo était que l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) pourrait devenir respectable, avec un gouvernement respectueux de la loi, renonçant à la violence, et respectant un accord. Les mensonges des Accords d’Oslo étaient que l’OLP, représentant les « peuple palestinien », était prête à échanger «la terre contre la paix » et souhaitait, dans les faits, créer un Etat vivant en paix côte à côte avec Israël.

⊕ Beaucoup d’Européens sont en train de tomber dans le piège de la formule attribuée à Joseph Goebbels : «Si vous dites un mensonge assez gros et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire ». Israël est maintenant – uniquement du fait de la propagande et de la falsification de l’histoire – peut-être la nation la plus injustement diabolisé dans l’histoire.

⊕ Israël est le seul pays qui est toujours censé faire « plus de concessions » aux ennemis qui ne cachent même pas leurs intentions destructrices.

Le Parlement grec, le 22 Décembre, 2015, a voté à l’unanimité une motion demandant au Premier Ministre Alexis Tsipras  de reconnaître «l’État de Palestine ».

Le Président de l’Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas, qui était en visite officielle à Athènes, a eu l’occasion de dire que l’Autorité palestinienne ne saurait plus accepter d’être appelé par un autre nom que «l’État de Palestine », et que les passeports avec «État de Palestine» serait publié avec Ce nom.

Le ministre adjoint des Affaires étrangères d’Israël, Tzipi Hotevely, a répondu en disant que Mahmoud Abbas suivait une «voie erronée qui le mènera nulle part ». L’ancien Ambassadeur d’Israël au Canada, Alan Baker, dans un rapport pour le Centre de Jérusalem pour les Affaires publiques (JCPA – Jerusalem Center for Public Affairs), a noté que cela était une «violation claire et flagrante des accords d’Oslo ».

Abbas pourrait bien avoir choisi une «voie erronée », mais il semble aller de l’avant avec celle-ci, espérant sans doute d’augmenter le nombre de pays qui reconnaissent l’inexistant «État de Palestine ».

Abbas continue aussi de violer les Accords d’Oslo, qui furent autre fois annoncés à grande pompe – mais c’est le cas depuis le début. Dans les faits, ils n’ont jamais existé. Ils étaient basés sur une illusion, sur des mensonges.

L’illusion était que l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) pourrait devenir un gouvernement respectueux de la loi,  qui renonce à la violence, et respecte un accord.

Les mensonges étaient que l’OLP, représentant le « peuple palestinien », était prête à échanger des « territoires pour la paix » et effectivement désireuse de créer un Etat vivant en paix côte à côte avec Israël.

L’illusion a été rapidement brisée. En 1993, dès que les accords d’Oslo ont été signé, Président de l’OLP : Yasser Arafat, lors d’une visite à Johannesburg, a comparé les accord d’Oslo à la trêve de Hudaibiya, un accord temporaire que Mahomet a signé avec la tribu Qurayesh en 628 Après JC. Selon les termes de la trêve, Mahomet avait promis de ne pas attaquer la tribu pendant dix ans; mais deux ans après, quand il avait réuni plus de troupes, il a rompu la trêve, a attaqué de plein fouet, et massacra la tribu Qurayesh.

Quand Arafat est devenu Président de l’Autorité palestinienne quelques jours plus tard, il n’a pas perdu de temps pour montrer que l’Autorité palestinienne était encore l’OLP et qu’il n’avait renoncé absolument à rien.

Des attaques meurtrières ont frappé Israël depuis lors. Elles n’ont diminué qu’à partir du moment où Israël a construit une barrière de sécurité défensive.

Dans la décennie qui a suivi Oslo, 1400 Israéliens ont été tués dans des attaques terroristes; des milliers d’autres ont été blessés mais ont survécu, restant  mutilé.

En 2000, les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa est devenue – l’aile « militaire » du parti «modéré» de l’Autorité palestinienne au pouvoir, le Fatah. Pendant que  les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa organisait des attentats-suicides et posait des bombes, d’autres groupes terroristes islamistes ont également gagné en importance, notamment le Hamas et le Jihad islamique palestinien.

Dès le début, l’Autorité palestinienne a créé des médias anti-israéliens et anti-juifs. Les écoles de l’AP ont été mises en place et ont immédiatement commencé à enseigner  la haine des Juifs .

Les dirigeants de l’Autorité palestinienne ont négociés avec Israël, mais l’Autorité palestinienne ne reconnaîtra jamais Israël comme un Etat pour le peuple juif.

L’Autorité palestinienne n’a jamais cessé d’exiger, apparemment en toute innocence, des concessions « mortifères » qui auraient signifié la destruction d’Israël. Cela incluait le « droit au retour », potentiellement pour presque autant de Palestiniens que la population d’Israël. Cette demande a été une constante qui aurait submergé démographiquement les Juifs avec les Palestiniens – comme si l’on avait demandé à la France d’absorber 60 millions de musulmans.

Malheureusement, les Palestiniens n’ont pas cessé  d’augmenter leur violence. Il y a eu plus de 11 000 attaques à la roquette sur un pays pas plus grand que la Bretagne. Mais la plupart des dirigeants politiques et des journalistes de l’Ouest refusent obstinément de le voir de cette façon.

Les gouvernements israéliens successifs ont été incités à se comporter comme si ils ne pouvaient pas voir la série d’attaques ininterrompue qui leur arrivait. Il a été dit aux Israéliens qu’ils devaient se comporter  comme si ils avaient devant eux des gens avec lesquels ils pourraient effectivement trouver un accord. Ce serait comme si l’on ordonnait à la France de parvenir à un accord avec Al-Qaïda.

La devise de l’ancien Premier ministre Yitzhak Rabin, selon laquelle Israël doit «négocier comme si il n’y avait pas de terrorisme », leur a été répété pour les sans cesse, comme si les meurtres terroristes n’arrivaient pas quotidiennement tout autour d’eux.

Certains gouvernements israéliens avaient offert de céder presque tout aux Palestiniens. Ehud Olmert en 2008 est allé jusqu’à proposer un retrait total de la Judée et la Samarie (la totalité de la Cisjordanie), et d’abandonner le contrôle d’Israël sur la Vieille Ville de Jérusalem; de nombreux dirigeants politiques et militaires israéliens lui ont dit un tel retrait était une proposition suicidaire. Les Palestiniens l’ont rejeté, sans même une contre-proposition.

Au fil du temps, les mensonges gagnent du terrain. Les actes terroristes des palestiniens ne sont souvent plus décrits comme des actes terroristes, mais comme des «actes de résistance» contre «l’occupation ».

L’Autorité palestinienne essaie maintenant d’être reconnue comme «État de Palestine» dans l’espoir que les mots vont le réaliser, ce, malgré son propre engagement signé, au processus de négociation. Faisant croire que cela pourrait apporter quelque chose, peut-être un terme à l’incitation à l’incitation à la haine (ce qui est déjà convenu sous Oslo, mais jamais mis en œuvre); la fin du conflit, peut-être la reconnaissance d’Israël.

L’Autorité palestinienne est maintenant un « Etat observateur » à l’ONU. Abbas, maintenant dans la onzième année de son mandat de quatre ans, est reçu partout comme un Président légitime. Il ne dit pas – ni personne d’autre – qu’il ne serait pas en vie aujourd’hui si Israël ne le protégeait pas. Le Hamas a longtemps essayé de le tuer et de renverser son gouvernement.

Presque personne n’ose traduire en anglais les propos sanguinaires qu’Abbas tient  en arabe.

Les dirigeants palestiniens réécrivent l’histoire, et de nombreux Européens sont preneurs de cette réécriture. Beaucoup croient maintenant que le peuple palestinien existait depuis les «temps anciens», et sont l’un des peuples les plus «opprimés» sur la terre.

Souvent, les dirigeants palestiniens déclarent – sans même être contredit par l’Eglise! – que Jésus était un Palestinien. Ils nient qu’il est né Juif dans une famille juive. Ils ont demandé, (et obtenu!) de l’UNESCO (dans laquelle « la Palestine » est devenu un membre à part entière depuis 2011) que les sites juifs antiques soient renommés islamique. Selon une résolution adoptée le 21 Octobre 2015 à la conférence générale de l’UNESCO, le Tombeau de Rachel est maintenant « La Mosquée Bilal bin Rabah » et le Caveau des Patriarches à Hébron est la « Mosquée Ibrahimi ».

Dans la plupart des médias occidentaux, Judée et Samarie sont présentés comme des « territoires palestiniens occupés » et Israël est décrit comme la «puissance occupante».

La présence de Juifs en Cisjordanie – le foyer des Juifs pendant près de 4000 années – est présentée comme une «intrusion illégale ». Pourtant, les gens qui défaillent à la seule pensée d’un nettoyage ethnique n’importe où dans le monde, ne semblent avoir aucun problème à l’idée que tous les Juifs fussent expulsés de Judée et Samarie pour un futur «État de Palestine ».

Ces mensonges ont placé Israël dans une situation dangereuse.

Israël dispose d’une armée puissante et d’une économie prospère et dynamique. Mais Israël, un très petit pays, est peut-être la nation la plus menacée dans le monde. Et parce que les actes terroristes contre les Israéliens ne sont presque jamais décrits comme des actes terroristes, Israël est le seul pays qui est reconnu coupable de se défendre contre le terrorisme. Israël est aussi le seul pays vivre à côté d’une entité terroriste, et on lui demande de ne pas la traiter comme telle.

Beaucoup d’Européens sont en train de tomber dans le piège de la formule attribuée à Joseph Goebbels : «Si vous dites un mensonge assez gros et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire ». Israël est maintenant – uniquement du fait de la propagande et de la falsification de l’histoire – peut-être la nation la plus injustement diabolisé dans l’histoire.

Israël est un pays soumis à d’incessantes offensives diplomatiques menées par ses ennemis, et même par des personnes – qui se disent « amis » – comme le New Israël Fund et J Street. Israël est le seul pays qui est toujours censé faire « plus de concessions » aux ennemis qui ne cachent même pas leurs intentions destructrices.

Les Accords d’Oslo ont été décrits comme un acte de paix. Ils étaient en fait – pour les Palestiniens – un acte de guerre.

C’était une grande victoire pour l’OLP, qui était en mesure d’avancer à partir de là vers d’autres victoires. Les Palestiniens avaient planifié, dans leur Charte jamais annulée, de prendre Israël par « étapes » dans leur « plan en dix points ».

Le gouvernement israélien actuel, comme ceux qui l’ont précédé, adopte une attitude défensive, et semble gérer le statu quo.

Les attaques malveillantes continuent de la part d’anti-juifs bien-pensants, qui prétendent qu’ils détestent seulement Israël. Le mouvement BDS continue d’essayer de trouver de l’influence. Heureusement, Israël a élargi sa sphère commerciale à l’Extrême-Orient, qui est en plein essor. L’Union européenne a récemment décidé de demander aux pays membres de mettre des étiquettes discriminatoires sur les produits fabriqués par les entreprises juives situées au-delà des «frontières de 1967», qui étaient seulement des lignes d’armistice (à la demande des Arabes) – et n’ont jamais été des frontières. Les campagnes de diffamation contre Israël se développent et diffusent leur venin.

En Israël, la ministre de la Justice Ayelet Shaked a proposé une loi exigeant que les organisations non-gouvernementales (ONG) opérant en Israël déclarent tout financement provenant de gouvernements étrangers. « L’intervention flagrante des pays étrangers dans les affaires internes de l’État d’Israël à travers ces financements est un phénomène sans précédent qui viole toutes les règles et normes des relations entre les pays démocratiques », a-t-elle déclaré.

La proposition est un pas dans la bonne direction: aux États-Unis, les organisations financées de l’étranger sont soumises à des contraintes sévères.

Plus doit être fait. A l’intérieur d’Israël, diverses ONG, sous le prétexte de la «liberté d’expression», font circuler de la propagande séditieuse anti-israélienne. Ce sont des ennemis intérieurs. Ils fabriquent des fausses preuves et les envoient aux pays qui veulent traîner Israël – mais aucun autre pays – à la Cour pénale internationale. Ces ONG devraient être traitées comme les ennemis intérieurs qu’ils sont.

Pendant les dernières années de sa vie, parce qu’il a encouragé les attentats-suicides et des enfants incités à chercher la mort en martyrs, le gouvernement israélien a limité la liberté de mouvement du Président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat à la Muqata, son complexe présidentiel à Ramallah.

Parce que Mahmoud Abbas, le leader palestinien actuel, a accusé les Juifs israéliens de « profaner » de la mosquée Al Aqsa avec leurs «pieds sales», et a ajouté que «le sang versé dans la défense du site sacré est pur», il porte la responsabilité directe de la vague actuelle de meurtres de Juifs israéliens. Le gouvernement israélien pourrait l’enfermer dans sa Muqata, comme ils le faisaient avec Arafat, et d’expliquer honnêtement qu’un homme qui est coupable d’incitation au meurtre de civils innocents qui vaquent à leur vie quotidienne ne doit pas être autorisé à se déplacer librement.

Le gouvernement israélien pourrait aussi dire honnêtement qu’aucune négociation n’est possible avec une organisation qui soutient le terrorisme, et apprend aux enfants à haïr les Juifs.

Le gouvernement israélien pourrait aller encore plus loin, et d’expliquer au monde que l’Autorité palestinienne elle-même est toujours une organisation terroriste, et de couper toutes les relations politiques, économiques et financières avec elle.

Le monde occidental doit demander à Israël de cesser de soutenir une organisation, l’Autorité palestinienne, qui soutient quotidiennement le terrorisme; et Israël doit exiger du monde occidental d’arrêter de soutenir une organisation, l’Autorité palestinienne, qui soutient le terrorisme et qui est sur la voie de la création d’un autre Etat terroriste – en particulier à un moment où la menace terroriste internationale est si intense et répandue.

Bien sûr, de nombreux dirigeants européens répondraient probablement qu’ils ne voient qu’un Etat terroriste: Israël. Surréaliste, un tribunal de l’UE en Décembre 2014, a même retiré le Hamas de la liste des organisations terroristes interdites UE.

Pour l’instant, pendant que le chaos gagne du terrain au Moyen-Orient, la «question palestinienne» est loin d’être une préoccupation centrale pour les pays musulmans de la région. L’objectif principal de l’Arabie Saoudite est de survivre aux tentatives de la déstabiliser en provenance de l’Iran. Certains dirigeants saoudiens pourraient maintenant encore considérer Israël comme un allié.

En Egypte, la priorité de son président, Abdel Fatah al-Sissi, est de gérer un conflit meurtrier dans le Sinaï.

Dans le même temps, l’Iran est occupé à : propager le terrorisme ; et continuer sa course vers la capacité nucléaire, ainsi que les missiles balistiques intercontinentaux capable de la porter. L’Iran est également occupé à battre des records d’exécution de ses propres citoyens; la détention de prisonniers politiques sur de fausses accusations; sauver ce qui reste du régime Assad en Syrie et, avec la Russie, renforcer la puissance du groupe terroriste Hezbollah au Liban.

L’Iran et l’État islamique ne cachent pas leurs intentions génocidaires envers Israël. Récemment l’ayatollah Ali Khamenei, de l’Iran « Guide suprême », a dévoilé ses plans pour la destruction d’Israël.

Au milieu de tout cela, John Kerry a dit récemment quelque chose de bien: « Les circonstances » mènent « à envisager sérieusement la possibilité de l’effondrement de l’Autorité palestinienne ».

La vague de meurtres déclenchés par Abbas au début de Septembre a eu des effets catastrophiques sur les finances de l’Autorité palestinienne. Après que Mahmoud Abbas aura quitté la scène politique, une tentative de prise de contrôle par le Hamas ou ISIS est pratiquement inévitable.

Kerry a correctement ajouté que «plusieurs ministres israéliens ont clairement exprimé leur opposition à un Etat palestinien ». Il serait plus précis de dire que plusieurs ministres israéliens semblent penser que la création d’un Etat destiné à devenir un Etat terroriste serait une très mauvaise idée.

Il y a quelques jours, le Premier ministre Binyamin Netanyahu d’Israël dit à des responsables gouvernementaux de haut niveau qu’Israël doit «empêcher l’effondrement de l’Autorité palestinienne, mais être prêt au cas où l’effondrement se produit».

Les sondages d’opinion montrent que plus de 75% des Arabes israéliens se définissent comme israéliens, et que plus de 60% d’entre eux sans réserve définissent Israël comme un pays juif. Les sondages montrent aussi que 18% des Arabes israéliens soutiennent la violence contre les Juifs.

Depuis deux décennies, les Arabes israéliens et les Arabes vivant en Judée et Samarie ont été empoisonnés par la propagande de l’Autorité palestinienne – des manuels scolaires; des déclarations officielles telles que des stades, des rues et les places publiques portant le nom des terroristes; et des médias contrôlés par le gouvernement de l’AP. Le peuple palestinien mérite un meilleur leadership que cela. Leur leadership actuel, destructeur, et la direction encore plus destructrice qui pourrait bien succéder, ne devraient pas être encouragés – par les Européens perfides ou toute autre personne.

Guy Millière, professeur à l’Université de Paris, a publié 27 livres.

Source: Gateston Institute


03/02/2016
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La Véritable Histoire de la « Palestine » et des « Palestiniens », par Elishean

 

Envoyé par Michèle H – source: http://www.elishean.fr/?p=34669

MAV : LECTURE FORTEMENT RECOMMANDÉE À CEUX QUI NE COMPRENNENT RIEN À CE QUI SE PASSE AUTOUR D’ISRAËL, QUI SONT INTOXIQUÉS PAR LA DÉSINFORMATION MÉDIATIQUE ET SON VOCABULAIRE VOLONTAIREMENT ANTISÉMITE, COMME « COLONS », TERRITOIRES « OCCUPÉS », ETC.

Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien…

Jusqu’en 1890, la Palestine était un désert abandonné, les Juifs l’ont fait fleurir

palestine désert

L’empire ottoman qui était le maître du «territoire palestinien» depuis de nombreux siècles n’a jamais porté le moindre intérêt à ce couloir désertique qui servait de passage aux nomades.

 

 

 

 

Oui, un désert s’était bel et bien substitué à cette terre dépeuplée qui abritait autrefois les jardins et les palais de Salomon et qui nourrissait tout un monde laborieux et grouillant des temps bibliques ; les vignes en terrasses laissées sans soins s’étaient effondrées, les collines étaient érodées, les citernes et les aqueducs étaient envasés, les marécages infestés de moustiques porteurs de malaria avaient envahi la plupart des vallées en Galilée.

Lire les témoignages de Chateaubriand, Churchill ou de Mark Twain, entre autres, qui ont visité cette terre de désolation avant l’arrivée des sionistes et des “Palestiniens”, il s’agissait d’un désert incapable de soutenir une population.

« Une contrée désolée dont le sol est assez riche… Il y a une désolation ici que même l’imagination ne peut rendre l’éclat de la vie et de l’action….Nous n’avons pas vu un être humain sur tout le trajet … On rencontrait à peine un arbre ou un arbuste. Même l’olivier et le cactus, les amis rapides du sol sans valeur, avaient presque déserté le pays.” – Mark Twain, The Innocents Abroad. London 1881.

« Dans cette contrée, devenue la proie du fer et de la flamme, les champs incultes ont perdu la fécondité qu’ils devaient aux sueurs de l’homme; les sources ont été ensevelies sous des éboulements; la terre des montagnes, n’étant plus soutenue par l’industrie du vigneron, a été entraînée au fond des vallées, et les collines, jadis couvertes de bois de sycomores, n’ont plus offert que des sommets arides….

…. On a observé que les Juifs étrangers qui se fixent à Jérusalem vivent peu de temps. Quant à ceux de la Palestine, ils sont si pauvres, qu’ils envoient chaque année faire des quêtes parmi leurs frères en Egypte et en Barbarie….

…. J’avais commencé d’assez longues recherches sur l’état des Juifs à Jérusalem depuis la ruine de cette ville par Titus jusqu’à nos jours; j’étais entré dans une discussion importante touchant la fertilité de la Judée » – Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem.

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Comme le montrent les statistiques concernant les mouvements migratoires sur ce reliquat de l’ancien territoire sous mandat britannique (amputé des trois-quarts pour la création de la Jordanie) et qui devait devenir l’Etat d’Israël, l’émigration arabe n’a vraiment commencé que dans les années 1920, c’est-à-dire après l’arrivée de la deuxième vague d’immigrants sionistes.

Les nouveaux arrivants musulmans, désireux d’améliorer leur niveau de vie, venaient des pays arabes voisins, de Syrie, d’Egypte, d’Irak, de Jordanie, d’Arabie saoudite même, comme le souligne la vidéo ci-dessous :

Le rapport de Henri-Michel Moyal, PhD, publié il y a quelques temps par Dreuz, fournit d’autres indications pertinentes et documentées à ce sujet.

Et pour votre information, les «Palestiniens» n’ont jamais été chassés d’une terre sur laquelle ils ne résidaient pour la plupart que depuis une vingtaine d’années.

Au contraire, les dirigeants israéliens les ont supplié de rester chez eux en 1948 (cf. l’appel radio de Golda Meier), mais la plupart ont choisi d’obéir aux exhortations mensongères de leurs imams et leaders : partez maintenant, vous reviendrez une fois la victoire acquise sur les Juifs pour vous partager leurs dépouilles, sinon les Juifs vont vous massacrer, violer les femmes (cf. le mythe de Deir Yassin), etc… .

Les moins malhonnêtes parmi ces leaders l’ont admis par la suite :

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Atikva pour Dreuz.info.

QU’EST-CE QUE LA PALESTINE ?

PalestineMap

Un article de Luc HAFNER

C’est un territoire qui historiquement s’étend depuis les rives de la Méditerranée jusqu’au désert d’Arabie. Les 4/5èmes de la Palestine sont situés à l’Est du Jourdain.

Le territoire auquel on donne le nom de Palestine aujourd’hui n’est que 1/5ème de ce territoire et est situé entre les rives de la Méditerranée et le Jourdain.

Aujourd’hui, ce territoire comprend l’Etat souverain d’Israël, les territoires non attribués donc contestés de Gaza et de Cisjordanie, également appelés Samarie et Judée.

Beaucoup de tribus et populations ont vécu et passé par ce territoire à travers les siècles. Le nom vient d’un peuple égéen, les Philistins, installé au 12ème siècle avant J.C.. Puis sont venues s’installer les 12 Tribus d’Israël qui ont constitué un royaume dont la capitale fut Jérusalem.

Puis vint l’occupation romaine, puis au 7ème siècle, l’occupation arabe et ensuite celle des Ottomans. L’Arabe est devenu la langue dominante dès le 7ème siècle.

Les historiens arabes et les gouvernements arabes ont toujours considéré que la Palestine n’était pas une entité politique. Au mieux, la Palestine pouvait être une province du sud de la Syrie.

Le représentant du Haut Comité Arabe aux Nations Unies a soumis en mai 1947 une déclaration à l’assemblée générale selon laquelle : « La Palestine faisait partie de la province de Syrie » et que « politiquement, les Arabes de Palestine n’étaient pas indépendants dans ce sens qu’ils ne constituaient pas une entité politique distincte. ».

Quelques années après, Ahmad Shuqeiri, futur Président de l’OLP, déclara au Conseil de sécurité : 

« Il est de notoriété publique que la Palestine n’est rien d’autre que la Syrie du Sud. ».

Au moment où les autorités britanniques ont reçu le mandat de la Société des Nations le 24 juillet 1922, après le vote de 52 Etats membres, la Palestine comprenait encore tout le territoire entre la Méditerranée et le désert d’Arabie.

Après avoir reçu le mandat, les Britanniques ont créé la Transjordanie avec les 4/5ème de ce qui était le territoire de la Palestine, soit à l’Est du Jourdain. Ce pays s’appelle aujourd’hui la Jordanie.

Ensuite, en 1948, la Transjordanie, ayant envahi la partie située entre Jérusalem et le Jourdain, a nommé cette région la Cisjordanie.

Ce nom est resté. Le reste du territoire est aujourd’hui Israël. La Cisjordanie est un territoire disputé de même que Gaza.

La Palestine n’a jamais été un Etat, c’était une simple subdivision administrative des empires arabes ou ottomans, sauf pendant les périodes où les tribus juives dominaient la région.

Jérusalem

Jérusalem est une ville sainte pour les juifs, les chrétiens et les musulmans. Elle n’a jamais été une capitale sauf lorsque la région était sous le contrôle de populations juives.

Sa destinée de capitale l’a donc été uniquement comme capitale d’un état juif.

Pour les deux autres religions, elle n’était qu’une ville sainte parmi d’autres mais ne joue aucun rôle politique.

Droit international

Le Droit International public est une série de normes qui sont reconnues universellement ou en tout cas par un grand nombre d’Etats. Ce sont des notions fluctuantes. Il n’y a pas de véritables tribunaux pour définir ces notions, ni pour appliquer le droit international.

La Cour Internationale de Justice de La Haye n’a pas de pouvoir sur les Etats sauf si ceux-ci y consentent.

Elle ne donne que des avis non contraignants pour les Etats. De même, il n’y a pas de force publique pour appliquer le DI public, sauf les forces armées des Etats qui souhaitent l’appliquer à un moment ou un autre.

Ainsi, personne n’a entièrement raison et personne n’a entièrement tort en DI public.

Tout de même, un principe existe, il s’agit de la définition d’un Etat. Les conditions sont les suivantes :
1. un peuple
2. un territoire
3. un gouvernement
4. une reconnaissance par un nombre important d’Etats et le couronnement étant une reconnaissance par l’ONU.

Israël – Palestine

Le peuplement par les immigrants juifs a surtout pris de l’ampleur vers 1880.

Il s’agissait d’achat de terres à des propriétaires qui vivaient surtout à Beyrouth et à Damas. Les juifs vivaient sur tout le territoire de la Palestine, y compris dans ce qui est aujourd’hui la Cisjordanie et dans la zone de Gaza.

1ère guerre mondiale

Les Palestiniens soutiennent pendant cette guerre les Turcs contre les Anglais et les Saoudiens. Les populations juives se joignent aux Anglais.

A la suite de ce soutien, est faite la déclaration Balfour en 1917 pour la création d’un foyer national juif en Palestine.

Ensuite, le 24 juillet 1922, les 52 Etats membres de la Société des Nations ont donné mandat aux autorités britanniques de gérer la Palestine et « de s’efforcer par tous les moyens de faciliter l’immigration juive, d’encourager l’établissement des juifs sur la terre et de garantir le foyer national juif. »

Nulle part il n’est fait mention d’un foyer national arabe, les populations arabes de cette région étant considérées comme faisant partie de la Syrie.

Il s’agit donc là d’une obligation internationale et d’un droit des juifs de s’installer en Palestine. Il ne s’agit donc ni d’une colonisation, ni d’une entrée par la force des juifs en Palestine.

D’autre part, les juifs ont toujours procédé par l’achat de terres.

Au moment de l’immigration juive, il n’y avait que 250 000 Arabes en Palestine.

La présence juive est donc basée sur des accords internationaux

Vient alors la création de la Transjordanie, aujourd’hui la Jordanie, en violation du mandat de la Société des Nations.

Ce pays a pris pour la première fois une décision d’interdire la présence de juifs en Transjordanie.

2ème guerre mondiale

Puis vient la 2ème guerre mondiale. Les Palestiniens choisissent de nouveau le mauvais camp. Ils deviennent des supporters de Hitler, surtout par l’intermédiaire du grand Moufti de Jérusalem.

A la fin de cette guerre, il y a un grand afflux des survivants de la Shoah.

L’assemblée générale des Nations Unies décide le 29 novembre 1947 la résolution 181 contre l’avis des pays arabes. Cette décision autorisait les populations juives et arabes (on ne parlait pas de Palestiniens) à former chacun un Etat. A la suite de cette décision de l’ONU, les juifs déclarent leur indépendance le 14 mai 1948.

Dès la fin de 1947 mais surtout début 1948, les pays arabes (l’Egypte, la Syrie, la Jordanie, le Liban et l’Irak) attaquent Israël, ayant refusé l’existence d’un Etat arabe et de l’Etat d’Israël.

Les armées arabes sont défaites par les Israéliens, une partie de la population arabe s’enfuit dans les pays arabes limitrophes et la guerre amène une partition différente de celle qui était prévue par l’ONU.

Les frontières sont plus arrondies et se créent alors ce qu’on appelle les lignes d’armistice.

A cette époque toujours, les pays arabes considèrent que la Palestine (ce qui en reste après la création de la Transjordanie) comme une province du sud de la Syrie.

La Samarie et Judée est occupée et annexée par la Jordanie et s’appelle dorénavant la Cisjordanie. Seule la Grande-Bretagne et le Pakistan ont reconnu cette annexion.

Il n’y a donc jamais eu de souveraineté internationale de la Jordanie sur cette Cisjordanie.

Après la guerre de 1967, lorsque la Jordanie a commencé les hostilités contre Israël, cette partie a été occupée par les troupes israéliennes.

A la suite de cette guerre, le Conseil de sécurité a pris la résolution 242 qui règle toujours les principes de l’occupation israélienne et de la manière de résoudre le conflit. La résolution appelle « au retrait des forces armées israéliennes de territoires occupés lors du récent conflit. »

Les pays arabes voulaient ajouter « les » territoires ou « tous les » territoires ou « ces » territoires. Le Conseil de sécurité a refusé.

Le délégué soviétique disait que si on ne mettait pas « ces » territoires, cela permettrait aux Israéliens de conserver une partie des territoires.

Le représentant britannique a effectivement expliqué qu’il n’était pas concevable qu’Israël rende tous les territoires car, disait également la résolution : « cessation de toutes assertions ou de tous états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région et de leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues à l’abri de menaces ou d’actes de force.»

Les représentants du Conseil de Sécurité ont donc considéré, comme le faisait l’Ambassadeur américain, que des ajustements territoriaux devaient intervenir dans leur règlement de paix lequel n’implique donc pas un retrait complet des forces israéliennes des territoires qu’il occupe, dans la mesure où les frontières antérieures avaient démontré qu’elles étaient particulièrement peu sûres.

Les Etats arabes avaient d’ailleurs protesté contre la mention de « frontière sûres et reconnues ». A l’époque, ils refusaient de négocier avec Israël.

Le Conseil de sécurité reconnaissait donc l’occupation et le droit d’Israël à conserver une partie des territoires.

Ce sont d’ailleurs des territoires contestés car il n’y a pas d’Etat sur ces territoires. Ils n’ont jamais été constitués en un Etat.

Ces territoires devront être attribués en tenant compte des résultats des trois guerres défensives gagnées par Israël et des droits des habitants palestiniens.

Les lignes d’armistice doivent donc être discutées pour aboutir à des frontières sûres et reconnues. L’avis de droit de la Cour Internationale de Justice considérant la ligne d’armistice comme la frontière internationale d’Israël est juridiquement erroné et or de sa compétence, puisque ce point relève de décisions du Conseil de sécurité et est une décision politique. Tout est donc encore fluctuant.

La résolution prévoyait des zones démilitarisées pour garantir l’inviolabilité territoriale de chaque Etat de la région. Dans la résolution, il n’est pas fait mention d’un futur Etat palestinien, mais « d’Etats de la région ».

Peuplements juifs en Cisjordanie et à Gaza

Il faut tout d’abord rappeler que les Juifs ont eu le droit jusqu’en 1948 de s’établir en Cisjordanie et à Gaza.

Les Jordaniens ont passé une loi pour leur interdire un tel établissement entre 1948 et 1967. A noter que les Egyptiens qui ont occupé Gaza n’ont jamais passé une telle interdiction.

Les peuplements juifs ne sont pas une violation de la 4ème Convention de Genève ou du protocole additionnel II.

En effet, l’article 49 de la Convention interdit les transferts forcés en masse ou individuels, ainsi que les déportations de personnes protégées, hors du territoire occupé dans le territoire de la puissance occupante ou dans celui de tout autre Etat. Or, tel n’a pas été l’attitude de l’Etat d’Israël.

Les Palestiniens ne sont pas expulsés et les Israéliens ne sont pas amenés de force mais ont acheté les terres ou occupé les terres qui n’avaient pas de propriétaires.

L’article 17 du protocole II dit la même chose : « Le déplacement de la population civile ne pourra pas être ordonné pour des raisons ayant trait au conflit, sauf dans les cas où la sécurité des personnes civiles ou des raisons militaires impératives l’exigent. »

L’alinéa 2 prévoit : « Les personnes civiles ne pourront pas être forcées de quitter leur propre territoire pour des raisons ayant trait au conflit. ».

L’article 49 de la Convention prévoyait déjà que : « La puissance occupante pourra procéder à l’évacuation totale ou partielle d’une région occupée et déterminée, si la sécurité de la population ou d’impérieuses raisons militaires l’exigent. Les évacuations ne pourront entraîner le déplacement de personnes protégées qu’à l’intérieur du territoire occupé, sauf en cas d’impossibilité matérielle. ».

En droit international, Israël n’a donc pas violé ses obligations en autorisant l’installation d’Israéliens qui ont acquis leurs terres, soit en les achetant, soit par occupation de terres domaniales, c’est-à-dire n’appartenant à personne. Cependant le maintien de ces peuplements ne pourra se faire qu’avec l’accord du gouvernement du futur état arabe pour ceux qui seront situés sur son territoire.

Les réfugiés

Tout d’abord, mentionnons la résolution 242 qui parle des réfugiés et non pas des réfugiés arabes ou des réfugiés juifs.

Le Conseil de Sécurité avait à l’esprit le Règlement des deux cas puisqu’il y a des réfugiés juifs qui sont venus des pays arabes et qu’il y a des réfugiés arabes qui viennent du territoire qui est aujourd’hui Israël. Il faut d’abord se mettre d’accord sur la définition de ce qu’est un réfugié selon l’UNHCR.

C’est d’abord : (1951 + protocole 1967)
1. Une personne qui quitte un territoire sur la base de craintes bien fondées d’être persécutée.
2. Il a dû quitter le territoire, le pays de sa nationalité.
3. Il est incapable ou ne veut pas recevoir la protection de son pays ou ce pays. (Les descendants ne sont pas mentionnés).

Curieusement, pour le cas de la Palestine, les réfugiés ont reçu une autre définition de manière à grossir leur rang de façon immodérée.

En effet, selon l’UNRWA, est un réfugié :
1. Une personne qui avait sa résidence en Palestine entre juin 1946 et mai 1948.
2. Une personne qui a perdu sa maison ou son entreprise à la suite de la guerre de 1948.

De plus, sont également considérés comme réfugiés les descendants de réfugiés.

Il suffit donc de deux ans de séjour pour que quelqu’un puisse être considéré comme réfugié.

D’autre part, contrairement à l’habitude, une agence spéciale a été créée, l’UNRWA qui entretient les réfugiés plutôt que de les répartir dans les pays d’accueil.

Les pays arabes ont interdit l’intégration de ces arabes dans leur pays pour les maintenir de force dans les camps.

Or, il faut bien constater que les Palestiniens qui ont quitté le territoire d’Israël ne peuvent pas être israéliens puisque les conditions pour l’être sont :
1. Présence sur le territoire israélien au moment de sa création en mai 1948 (il y a aujourd’hui 1 million d’Arabes qui remplissent cette condition puisque leurs parents étaient présents au moment de la création d’Israël)
2. Remplir les conditions juridiques actuelles selon la loi israélienne. Soit être juif, soit se naturaliser si l’on est d’une autre religion.

Seulement, pour pouvoir rentrer en Israël, il faut d’abord accepter de vivre en paix et reconnaître l’Etat d’Israël. Or, aucun des réfugiés actuels ne remplit ces conditions.

Cette situation se rapproche à celle des Allemands ayant quittés leurs terres ancestrales après la défaite allemande et qui sont passé sous la souveraineté polonaise ou belorus. Ils ne peuvent pas revenir et personne ne défend un tel droit. La comparaison est d’autant plus frappante que les Arabes de Palestine étaient les supporters des Allemands. Ils subissent le même sort qu’eux dans la défaite. Il est vrai que les Polonais ne sont pas juifs!

L’écoulement du temps enlève également la qualité de réfugié. Ceux qui sont nés à l’étranger ne peuvent pas se réclamer de cette qualité. La plupart des Palestiniens dans les camps n’ont jamais vécu en Israël.

En réalité, ce que les réfugiés ont droit, c’est à des indemnités aussi bien les Palestiniens que les Juifs.

Convention de Genève

Il y a la 4ème Convention qui s’occupe notamment de la protection des personnes civiles. D’abord, cette Convention s’applique entre Etats signataires. Israël a signé la convention mais pas les protocoles additionnels comme d’ailleurs d’autres pays comme les Etats-unis, la France et la Grande-Bretagne. Cependant, ces pays appliquent malgré tous ces protocoles et conventions à titre volontaire.

Théoriquement, les Palestiniens ne peuvent donc pas prétendre à l’application de ces conventions, n’étant pas un Etat.

D’autre part, selon l’article 6, ces conventions s’appliquent pendant le conflit. En territoire occupé, elles cesseront de s’appliquer à la fin des opérations militaires.

Néanmoins, la puissance occupante sera liée pour la durée de l’occupation pour autant que cette puissance exerce les fonctions de gouvernement dans le territoire en question. Or, actuellement, Israël n’exerce pas cette compétence qui a été déléguée à l’autorité palestinienne. Israël n’exerce que des activités militaires de sécurité.

Pour bénéficier de cette Convention, les civils ne doivent pas participer aux hostilités et ne doivent se livrer à aucun travail de caractère militaire.

Selon l’article 27, l’occupant a le droit de prendre à l’égard des personnes protégées les mesures de contrôle et de sécurité qui seront nécessaires du fait de la guerre.

Il peut se créer dans les zones occupées ou dans les zones d’opérations militaires des localités non défendues. Dès que ces zones existent, il est interdit aux militaires de les attaquer. Les conditions sont les suivantes :

1. Tous les combattants ainsi que les armes et le matériel militaire mobile devront avoir été évacués;
2. Il ne doit pas être fait un usage hostile des installations ou des établissements militaires fixes;
3. Les autorités et la population ne commettront pas d’actes d’hostilité;

Selon les lois de la guerre et selon les Conventions de Genève, il est parfaitement autorisé à tuer les combattants ennemis à moins qu’ils ne se soient rendus. Il est donc légitime de tuer les chefs ennemis militaires ou civils qui mènent le combat.

Protocole I et II

Il existe deux protocoles complémentaires à la Convention IV. Le protocole I est pour les conflits internationaux, c’est-à-dire entre deux Etats.

C’est douteux pour le cas entre Israël et les Palestiniens.

Admettons que s’applique le protocole I qui est moins restrictif que le II qui concerne les guerres intérieures.

Dès qu’une population devient hostile et participe aux combats en protégeant les combattants qui eux-mêmes n’ont pas de signes distinctifs, qu’il y a des lieux de fabrication de bombes ou d’armement ou de fusées, etc., les civils d’une telle région ne peuvent plus prétendre échapper aux combats en application des Conventions de Genève pendant les opérations militaires.

Ces opérations militaires sont autorisées pour autant qu’elles soient proportionnées par rapport à la menace et l’objectif poursuivi.

Il est évident que le genre de combats actuellement pratiqués dans cette région n’avaient pas été appréhendés par les rédacteurs des Conventions de Genève qui partaient de l’idée de combats classiques et corrects et n’avaient pas envisagé le terrorisme arme favorite des mouvements arabes bien qu’il soit interdit par les conventions internationales.

A l’époque, ils n’avaient pas encore envisagé les actions terroristes de gens qui ne respectent aucune règle. En fait, les terroristes n’ont droit à l’application d’aucune convention de Genève et peuvent être condamnés à mort ou à la prison à perpétuité lorsqu’ils sont pris car leur manière de combattre est considérée comme condamnable.

Conclusions

Israël existe en droit international et le peuplement juif de la Palestine est en conformité avec les décisions de droit international, déterminées d’abord par la Société des Nations et ensuite par l’ONU.

La non-reconnaissance d’Israël par les pays arabes est en fait une stupidité et une suite d’erreurs qui n’auront jamais permis d’aboutir. Ils n’ont jamais su reconnaître Israël lorsqu’il le fallait.

Le refus à Camp David en 2000 des propositions Clinton-Barak a été une erreur tragique d’Arafat.

Cela montre surtout son refus d’accepter l’existence d’Israël.

Les réfugiés n’ont pas un droit au retour, n’étant pas de nationalité israélienne et ne pouvant l’acquérir aujourd’hui, mais ont le droit d’être indemnisés, ce qu’Israël a toujours accepté.

Les dispositions des Conventions de Genève ne trouvent qu’une application restreinte tant que les palestiniens se soulèvent ou aident les terroristes.

Tuer les leaders du Hamas et d’autres groupes terroristes est légitime et autorisé par les lois de la guerre et n’est pas interdit pas les Conventions de Genève.

En fin de compte, beaucoup est une question de négociations en ce qui concerne les futures frontières de l’Etat d’Israël. Mais la position en droit international public d’Israël est solide. Celle des pays arabes est très faible.

Cependant, il ne faut pas oublier qu’à notre époque, notre civilisation ne découle pas de raisonnement rationnel mais relève de l’émotionnel et de l’irrationnel purs.

Il ne suffit donc pas d’avoir raison en droit ou d’être rationnel, il faut encore gagner la guerre de l’information et de la désinformation pour convaincre sur le plan politique des populations peu informées, peu intéressées et dans beaucoup de cas fondamentalement toujours antisémites.

Cette question de l’antisémitisme reste extrêmement présente lorsque l’on discute de la question de l’existence de l’Etat d’Israël et de la question palestinienne. Beaucoup de gens ne prennent la position pro-palestinienne que parce qu’ils sont antisémites.

Une grande partie de l’anti-américanisme est également une partie de l’antisémitisme puisque beaucoup de gens considèrent que l’Amérique est l’alliée d’Israël parce que l’Amérique est gouvernée par les lobbies juifs !!

L’on rencontre cet amalgame même dans des cercles qui sont censés être cultivés et avec des gens qui ont des diplômes universitaires. Il est donc dès lors très difficile de discuter objectivement et calmement de la situation d’Israël devant le galimatias qui est présenté à une population européenne peu informée.

N’oublions pas que nous allons vers une société où l’image est essentielle (et fabriquée par ordinateur), l’écrit secondaire, où la plupart des élèves sortant de l’école secondaire ne sont pas capables de comprendre plus de 400 mots de leur langue maternelle.

Luc HAFNER – Avocat International Ancien 1er Président Tribunal Militaire d’Appel
Document produit par l’Association Suisse-Israël – Section Vaud.
http://www.nuitdorient.com/

Jérusalem ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint !

Jérusalem-mont-du-temple-Israel

Joseph Farah est journaliste Arabe Américain. Il nous explique que « la Palestine » est un mythe et que Jérusalem n’a jamais été une ville sainte de l’Islam…

La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?

Eh bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés.

Surpris ?

Alors comment expliquer qu’avant la guerre des Six Jours en 1967, il n’y eut aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne ?

« Avant 1967 ? » me direz-vous, « les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem » C’est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est.

Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non.

Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël avait gagné cette guerre ?

La vérité est que la Palestine est un Mythe !

Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins.

Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès.

La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire. Jamais !

Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale.

Dès 1917, avec la déclaration Balfour , les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain.

Il n’existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne.

Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens.

Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens ( la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques).

Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale ! Mais cela est encore trop pour les Arabes. Ils veulent TOUT. Et c’est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël.

Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas.

Qu’en est-il des lieux saints de l’Islam ?

Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’Islam », après la Mecque et Médine.

Eh bien, sachez que c’est faux !

En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem.

La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !).

Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem.

Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l’Islam ?

Les Musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée « le Voyage Nocturne »(1). Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit « du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte« .

Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’Islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe.

Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu’à l’époque du patriarche Abraham.

La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes.

Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?

Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ?

Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable.

Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité.

La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos.

Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs.

Joseph Farah est journaliste Arabe Américain au http://www.worldnetdaily.com

Note

(1) Les musulmans s’appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem, pourtant Jérusalem n’y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une « Mosquée la plus éloignée ». « Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée ». Mais existe-t-il une base solide qui prouverait qu’il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non !.

Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar. Durant cette période, il n’y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l’église byzantine de Sainte Marie. Vers l’an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l’église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l’incompréhensible sourate 17 du Coran.

Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu’elle n’exista que trois générations après sa mort. D’ailleurs Mahomet n’éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ces fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les juifs de se tourner vers l’islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l ‘interdiction de prier en direction de Jérusalem.

Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.
Francis NADIZI, islamologue
Source: Europe-Israël

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14/10/2015
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LA VRAIE HISTOIRE DE LA PALESTINE( Michèle d'Astier de la Vigerie )

 

Voici l’histoire réelle de ce que fut le territoire appelé aujourd’hui Israël par les uns et Palestine par les autres.

oeil-palestineElle se base sur les faits historiques tels qu’ils ont été écrit au cours des siècles par les historiens, les voyageurs qui traversèrent le pays, ou les représentants arabes eux mêmes dans leurs déclarations.
A lire et à faire lire, alors que toutes les nations (grand signe des temps selon Zacharie) se liguent contre Israël afin de diviser le territoire du pays et du peuple ressuscité.Rien ne remplacera jamais la vérité

. LES FAUSSES « RACINES ANCIENNES »

Les supporteurs de la « cause palestinienne » scandent à tour de bras que les Arabes « palestiniens » vivent depuis « des milliers d’années » en « Palestine ».

 

Des Arabes côtoient des Juifs dans cette région depuis des milliers d’années, ceci est vrai. Toutefois, ils n’ont jamais vécu en Terre d’Israël elle-même, ils étaient établis au sud et à l’est. Les Arabes en question sont les Nabatéens, une ancienne nation de chameliers-marchands.

Ces Arabes sont originaires de l’Arabie du Nord. Ils émigrèrent vers le territoire d’Édom (l’actuel désert du Néguev) 350 ans notre ère. Leur métropole fut Pétra, l’ancienne capitale des Édomites située à égale distance entre la Mer Morte et le Golfe d’Aqaba.

Peu à peu le Néguev fut connu sous le nom de Nabatène. Grâce à leurs caravanes allant d’un oasis à l’autre, ses habitants étendirent rapidement leur influence économique dans le Sinaï, l’est de la Jordanie actuelle, le sud de la Syrie actuelle et le nord-ouest de l’Arabie.

Voici une carte de la civilisation nabatéenne (prenez en compte que la partie en rouge ne correspond pas nécessairement à la région habitée par les Nabatéens, mais plutôt au centre de leurs activités commerciales).

La civilisation nabatéenne

La prochaine carte représente les routes commerciales terrestres des Nabatéens. Bien que leurs caravanes traversaient fréquemment la Terre d’Israël, celle-ci était habitée par les Juifs et les Samaritains.

Routes commerciales terrestres des Nabatéens

Au cours de la guerre des Juifs contre les Helléniques en 166-142 av. J.-C., Juifs et Nabatéens furent alliés.

Le royaume nabatéen pris fin en l’an 106 lorsque la Nabatène est conquise par les Romains qui en font une province de leur empire.

Pendant les 2e, 3e et 4e siècles, les Nabatéens se convertirent au christianisme.

Au cours de leur histoire, les Nabatéens ne remplacèrent jamais les Juifs en tant qu’habitants de la Terre d’Israël, mais ils coexistèrent à côté d’eux sur un territoire distinct. Voici d’autres cartes de la province romaine d’Arabie :

Les Nabatéens ne s'établirent jamais à l'ouest ou à côté du JourdainLes Nabatéens ne s'établirent jamais autour de la Jérusalem actuelle.

Comme visible sur les cartes, les Nabatéens ne s’établirent pas à l’ouest du Jourdain. Ils s’installèrent toutefois à l’est du Jourdain et de la Mer Morte. Les Juifs attaquèrent les Nabatéens vivant en Pérée et en Moab en 90 av. J.-C. et en convertirent (de force) beaucoup au Judaïsme. En 32-31 av. J.-C., les Juifs attaquèrent encore les Nabatéens, cette fois en Décapole et en Ammon.

Les Arabes « palestiniens » ne sont donc pas des habitants millénaires de la « Palestine ».

 

LA CONQUÊTE ARABO-MUSULMANE

Les Arabes, dans le contexte des conquêtes islamiques, s’emparèrent de la Terre d’Israël en 638, la spoliant de leurs habitants Juifs et chrétiens.

Beaucoup de sources (dont plusieurs arabes) confirment le fait que la Terre d’Israël était encore judéo-chrétienne par la population et la culture malgré la diaspora juive et la domination islamique :

– L’historien James Parker a écrit : « Pendant le premier siècle après la conquête arabe [640-740], le Calife et les gouverneurs de la Syrie et de la Terre [Sainte] ont régné entièrement sur des sujets chrétiens et juifs. Mis à part des Bédouins lors des premiers jours [du règne arabe], les seuls Arabes à l’ouest du Jourdain étaient les garnisons. »
– En 985 l’auteur arabe Muqaddasi s’est plaint qu’« à Jérusalem la grande majorité de la population est juive », et dit que « la mosquée est vide des adorateurs… ».

Quoique les Arabes aient régné sur la Terre d’Israël de 638 à 1099, ils ne sont jamais devenus la majorité de la population. La plupart des habitants étaient des chrétiens (assyriens et arméniens) et des Juifs..

Tout le monde conviendra que les Arabes ne prospérèrent pas plus pendant la période des croisades allant de 1099 à 1289. 

 L’ÈRE OTTOMANE

La seconde période de règne islamique est la seule qui reste aux Musulmans qui veulent affirmer qu’une grande nation arabo-musulmane existait en Terre Sainte avant que les Juifs viennent recréer leur État.

Voyons voir si les Juifs s’emparèrent d’une « contrée bien établie, peuplée et verdoyante » en retournant en Terre d’Israël comme les Arabes l’affirment de nos jours. Tous les récits de voyage et rapports sur la Terre d’Israël de cette époque attestent au contraire d’une région vide de l’Empire ottoman. Voici ce que plusieurs personnes ayant voyagé dans cette région on constaté :

– Ibn Khaldun, un des historiens arabes les plus crédibles, a écrit en 1377 : « La souveraineté juive sur cette terre s’est prolongée sur 1 400 ans… C’est les Juifs qui ont implanté la culture et les coutumes en s’y étant installé de manière permanente »

Après 519 ans (non consécutifs) de domination musulmane sur la Terre d’Israël, Ibn Khaldun a certifié que la culture et les traditions juives étaient encore dominantes.

 

 

– Edouard Webbe en 1590 : « Il n’y a rien à Jérusalem mis à part des vieux murs ».

– Henry Maundrell en 1697 : Nazareth« un village minuscule et sans importance », Jéricho, « une bourgade minable et sale », Acre, « une désolation ».

– L’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738 : la Terre Sainte « VIDE, désolée et manquant de tout, qui manque d’habitants ».

– Le comte François Volney en 1785 : « Nous avons du mal à reconnaître Jérusalem, on y compte environ 12 000 habitants. Le pays est désolé et ruiné. »

– Commentaires par des Chrétiens dans les années 1800 : « Les Arabes ne peuvent pas être considérés comme autre chose que des résidents temporaires. Ils ont placés leurs tentes dans un pays ruiné. Ils n’ont rien créé en Terre Sainte. Puisqu’ils sont des étrangers sur cette terre, ils ne sont jamais devenus ses maîtres. »

– Alphonse de Lamartine en 1832 : Mis à part à Jérusalem, il ne rencontra pas âme qui vive et que la Terre d’Israël était « le tombeau de tout un peuple [les Hébreux] ».

– William Thackeray en 1844 : « La région est abandonnée. Nous n’avons vu aucun animal se déplacer parmi les pierres. »

– Alexandre Keith en 1844 : « La Terre Sainte est arrivée à l’état de désolation total décrit par les prophètes. »

– Le consul britannique en Terre d’Israël, James Pinn en 1857 : « Le pays est presque inhabité, il a grand besoin d’habitants. »

– Le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862 : « Ni signes de vie ni habitations en Judée, sur des distances entières. »

– Mark Twain en 1867 : « Pas un seul village dans la Vallée de Jezréel, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bédouines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 êtres humains. Déserts sans âme qui vive, collines VIDES, ruine mélancolique de Capharnaüm, stupide village de Tibériade, enterré sous six palmiers. Nous arrivâmes à Tabor sans rencontrer âme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est désolée, Jéricho est en ruine, Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une créature vivante. Un pays désolé, dont la terre serait peut-être assez riche si elle n’était abandonnée aux mauvaises herbes. Une étendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et là. Même les oliviers et les cactus, ces fidèles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment déserté le pays. »

– Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : « La population et la richesse de la « Palestine » n’a pas augmenté pendant les 40 dernières années. »

– B. W. Johnson en 1892 : « Dans la partie de la plaine entre le mont Carmel et Jaffa on voit à peine quelques villages ou autres formes de vie humaine. Caesarea est maintenant entièrement abandonné. La désolation est partout autour de nous. »

– Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 : « La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes dans vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région, sont rares et chichement peuplés. Beaucoup de villages sont désertés par leurs habitants. »

– Dawood Barakat, éditeur du journal égyptien Al-Ahram en 1914 : « Les Sionistes sont nécessaires pour le pays : l’argent qu’ils apporteront, leur connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la régénération du pays. »

Voilà pour le pays verdoyant et habité « envahi » par les Juifs. Fait historique : sous la domination turque, la terre était à l’abandon et dépeuplée. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencé à la réhabiliter.

Une seule ville arabe fut construite en Terre d’Israël : Ramleh. Toutes les autres sont des villes juives rebaptisées par eux. L’historien suisse Félix Bovet notait en 1858 : « C’est parce que les Arabes ne sont pas des autochtones qu’ils n’y construisent rien. »

 

 LE MANDAT BRITANNIQUE

Après la Grande Guerre, les Britanniques héritèrent de ce morceau de l’Empire ottoman défait. Beaucoup de citations de l’époque attestent que le pays était désolé et qu’il n’existait pas d’entité dite « palestinienne ».

– Hussein Al-Qibla, gardien des lieux saints en Arabie Saoudite en 1918 : « Les ressources du pays et le sol vierge seront développés par les immigrés juifs. […] Nous avons vu les Juifs des pays étrangers venir en « Palestine » de Russie, d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’Amérique. […] Ils ont su que le pays était pour ses fils d’origine, […] une patrie sacrée et aimée. Le retour de ces exilés à leur patrie s’avérera matériellement et religieusement [être] une expérimentation pour leurs frères [autres Juifs]. »

– Lewis French, le directeur britannique du développement de la « Palestine » en 1931 : « Nous l’avons trouvée [la « Palestine »] habitée par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sévèrement de la malaria très répandue. De grands secteurs étaient non cultivés. […] Il n’y avait presque aucune sécurité publique, Les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les bédouins. »

Voici une carte des divisions administratives de la région sous domination ottomane. La mention de « Palestine » n’apparait nulle-part. La Terre d’Israël est divisée en trois secteurs, la Syrie à l’est, Beyrouth au nord-ouest et Jérusalem au sud-ouest.

Carte des divisions administratives de la région sous domination ottomane

Le représentant arabe en « Palestine » déclara en 1919 : « Nous considérons la « Palestine » comme faisant partie de la Syrie. »

Le dirigeant arabe en Terre d’Israël Awni Bey Abdul Haadi déclara en 1937 : « Il n’y a pas de pays tel que la « Palestine ». « Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventé. Il n’y a pas de « Palestine » dans la Bible. Notre pays a fait partie de la Syrie pendant des siècles. « Palestine » nous est aliène, c’est les Sionistes qui l’ont introduits. »

Le professeur Philip Hitti, historien arabe, déclara en 1946 « Il n’y a pas de chose telle que la « Palestine » dans l’histoire, absolument pas. »

Le représentant du Haut Comité arabe aux Nations Unies déclara en 1947 : « La « Palestine » fait partie de la province de Syrie. Les Arabes vivant en Palestine ne sont pas indépendants dans le sens qu’ils ne constituaient pas une entité distincte. »

Le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies déclara en 1956 : « C’est une connaissance générale que la « Palestine » n’est rien d’autre que la Syrie du sud. »

Le roi Hussein de Jordanie répéta plus d’une fois : « Il n’y a aucune distinction entre la Jordanie et la « Palestine ». 

Hafez Assad (ex-Président syrien) déclara : « Il n’y a pas de peuple « palestinien », il n’y a pas d’entité « palestienne ». »

Ahmed Shuqeiri (ex-président de l’OLP) déclara : « La « Palestine » ne fut jamais rien d’autre que la Syrie du sud. »

À cette époque, les Arabes (ainsi que tout le monde) n’ont jamais soulevé la question d’un État « palestinien » car les Arabes eux-mêmes n’exigeaient pas d’État pour un peuple qui n’existait PAS !

La « Palestine » n’a jamais constitué un pays et le concept même de « Palestine » n’existait pas dans l’Empire ottoman !

 Le mot même de « Palestine » (ou mot équivalent désignant cette région) n’était quasiment pas utilisé chez les Turcs et les Arabes. Il n’y avait ni État ni peuple « palestinien ». Les Arabes vivant en Terre d’Israël se considéraient comme Syriens ou Égyptiens.

 

  

 Une pseudo-nation créée le lendemain de la Guerre des Six jours

« Pourquoi le soir du 4 juin 1967 j’étais Jordanien et le lendemain matin j’étais Palestinien ? »

« Nous ne nous sommes pas en particulier occupés du règne jordanien. L’enseignement de la destruction de l’Israel était une partie intégrale du programme d’études. Nous nous sommes considérés « Jordaniens » jusqu’à ce que les Juifs soient revenus à Jérusalem. Alors soudainement nous étions des « Palestiniens »… ils ont enlevé l’étoile du drapeau jordanien et d’un coup nous avons eu un « drapeau palestinien ». »

« Le fait est que les « Palestiniens » sont des immigrés des nations environnantes ! Mon grand-père avait l’habitude de nous dire que son village était vide avant que son père ne s’y installe. »

Walid Shoebat, ancien terroriste islamiste de l’OLP, repenti et devenu sioniste chrétien

Le drapeau Jordanien :

Le drapeau Jordanien

Le « drapeau palestinien »

Le « drapeau palestinien » proposé

Zahir Muhsin, un ancien membre du comité exécutif de l’OLP et l’ancien commandant militaire de la même organisation, déclara en mars 1977 au journal néerlandais Trouw :

« Il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les « Palestiniens », les Syriens et les Libanais. Nous faisons tous  partie de la même nation. C’est seulement pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identité « palestinienne ». L’existence d’une identité « palestinienne » distincte sert seulement un objectif tactique. La création d’un état « palestinien » est un nouvel outil dans la bataille continue contre l’Israël. »

Et encore en s’adressant à un hebdomadaire pakistanais en 2006:

« Le peuple « palestinien » n’existe pas. La création d’un État « palestinien » est seulement un moyen de continuer notre lutte contre l’État d’Israël pour l’unité arabe. En réalité aujourd’hui il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les « Palestiniens », les Syriens et les Libanais. Seulement, pour des raisons politiques et tactiques, nous parlons aujourd’hui de l’existence des « Palestiniens » pour des intérêts arabes exigeant la création d’un peuple « palestinien » pour nous opposer au sionisme. »

Vérité historique : 

le peuple « palestinien » et le pays « Palestine » n’existaient pas avant que les Arabes les inventent de toutes pièces pour éventuellement anéantir Israël.

Cette affirmation peut sembler radicale, mais je vous conseille de lire l’article suivant :

Palestinians – « Peoplehood » Based on a Big Lie [Myths and Facts]

Voici quelques passages sélectionnés :

« There is no age-old Palestinian people. Most so-called Palestinians are relative newcomers to the Land of Israel.

Like a mantra, Arabs repeatedly claim that the Palestinians are a native people. The concept of a ‘Stateless Palestinian people’ is not based on fact. It is a fabrication.

Palestinian Arabs cast themselves as a native people in « Palestine » – like the Aborigines in Australia or Native Americans in America. They portray the Jews as European imperialists and colonizers. This is simply untrue.

Aerial photographs taken by German aviators during World War I show an underdeveloped country composed mainly of primitive hamlets. Ashdod, for instance, was a cluster of mud dwellings, Haifa a fishing village. In 1934 alone, 30 000 Syrian Arabs from the Hauran moved across the northern frontier into Mandate Palestine, attracted by work in and around the newly built British port and the construction of other infrastructure projects. They even dubbed Haifa Um el-Amal (« the city of work »).

The fallacy of Arab claims that most Palestinians were indigenous to Palestine – not newcomers – is also bolstered by a 1909 vintage photograph of Nablus, today an Arab city on the West Bank with over 121 000 residents. Based on the number of buildings in the photo taken from the base of Mount Gerizim, the population in 1909 – Muslim Arabs and Jewish Samaritans – could not have been greater than 2 000 residents.

Family names of many Palestinians attest to their non-Palestinian origins. Just as Jews bear names like Berliner, Warsaw and Toledano, modern phone books in the Territories are filled with families named Elmisri (Egyptian), Chalabi (Syrian), Mugrabi (North Africa). Even George Habash – the arch-terrorist and head of Black September – bears a name with origins in Abyssinia or Ethiopia, Habash in both Arabic and Hebrew.

Palestinian nationality is an entity defined by its opposition to Zionism, and not its national aspirations. This point is admirably illustrated in the following historic incident :

« In 1926, Lord Plumer was appointed as the second High Commissioner of Palestine. The Arabs within the Mandate were infuriated when Plumer stood up for the Zionists’ national anthem Hatikva during ceremonies held in his honor when Plumer first visited Tel Aviv. When a delegation of Palestinian Arabs protested Plumer’s ‘Zionist bias’, the High Commissioner asked the Arabs if he remained seated when their national anthem was played, ‘wouldn’t you regard my behavior as most unmannerly ?’ Met by silence, Plumer asked : ‘By the way, have you got a national anthem ?’ When the delegation replied with chagrin that they did not, he snapped back, ‘I think you had better get one as soon as possible’. » But it took the Palestinians more than 60 years to heed Plumer’s advice, adopting Anthem of the Intifada two decades after Israel took over the West Bank and Gaza in 1967 – at the beginning of the 1987 Intifada. »

 

Six décennies après la déclaration d’indépendance d’Israël, nous pourrions nous attendre à ce que les Arabes arrêtent de jouer les victimes qui se font dérober leurs terres, mais non, le mythe perdure. On nous rappelle sans cesse dans les médias que les « colons » israéliens « occupent » la Judée-Samarie, qu’ils volent la propriété des « Palestiniens » et qu’ils y construisent incessamment des nouvelles « colonies ».

En fait, de 1950 à 1967, plus de 250 colonies arabes ont été fondés en Judée-Samarie et de 1967 à 2002, 261 autres colonies furent fondées par les Arabes (incluant Jérusalem et Gaza). Durand cette seconde période, seulement 144 « colonies » juives ont été fondées (incluant Jérusalem et Gaza).

À ce jour, les Arabes continuent toujours à faire immigrer des milliers de colons en Israël. En 1998, Yasser Arafat déclare « Dans 5 ans, nous aurons 6 millions d’Arabes vivant en « Cisjordanie » et à Jérusalem. Nous pouvons importer des Arabes. » Le gouvernement israélien avoue avoir permis à 240 000 (mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé) « travailleurs » arabes d’entrer dans les territoires depuis 1993, ces « travailleurs » sont restés dans les territoires et sont devenus des colons.

Gaza ne comptait pas plus de 80 000 habitants « indigènes » en 1951. Comment est-il possible qu’en seulement 54 ans la population ait augmenté de 80 000 à plus de 1 300 000 habitants ? Ces Arabes de Gaza sont-ils capables de procréer d’une manière surnaturelle ? L’immigration massive est la seule explication plausible pour une augmentation démographique si forte. L’occupation arabe entre 1948 et 1967 était une occasion avantageuse pour les chefs arabes. Ils favorisèrent l’immigration. Les immigrés venaient de chaque pays arabe, principalement l’Égypte, la Syrie, le Liban, l’Irak et la Jordanie.

Il est impossible de connaître le nombre de colons arabes ayant immigrés en Judée-Samarie/Gaza depuis 1952, mais une chose reste certaine : la majorité  des « Palestiniens » n’ont aucun héritage en « Palestine » avant la guerre d’indépendance d’Israël (et le reste ont, pour la grande majorité d’entre eux, aucune racine dans la région avant 1917, et la faible minorité restante n’en a aucune avant le 19e siècle).

La « Palestine » n’est qu’une région géographique ; elle n’est ni un peuple, ni une nation, on ne peut donc en faire un État.

Mis en ligne par Gally


21/07/2015
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