* JESUS REVIENT *

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Carter Conlon


OTER LA CONDAMNATION DE L'EGYPTE by Carter Conlon

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L'église américaine a longtemps été prisonnière de la société qui l'entoure. Le théologie de la société déchue est devenue la théologie de nombreuses personnes parmi le peuple de Dieu. Mais à présent, une nouvelle génération se lève. Des gens qui sont fatigués du désert, fatigués de l'absence de puissance, fatigués de voir le nom de Jésus foulé aux pieds.

Le Seigneur appelle les siens et leur dit : “Si vous voulez hériter de la vie que Je suis mort pour vous donner, vous devez choisir de vous détourner du péché. Vous devez refuser de vous conformer aux pratiques courantes de cette société déchue.” C'est à nouveau l'heure du miraculeux et Dieu invite chacun de nous à en faire partie. Nous sommes un type de la génération de Josué, prête à rentrer dans le Pays Promis, mais nous ne pouvons pas y aller tant que la condamnation de l’Égypte n'a pas été ôtée, tant que nous n'avons pas clairement été marqués comme étant le peuple de Dieu.

C'est pour cette raison que Paul dit, à la fin de sa lettre aux Corinthiens : “Examinez-vous vous-mêmes pour savoir si vous êtes dans la foi ; mettez-vous vous-mêmes à l’épreuve. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut-être que vous ne soyez disqualifiés” (2 Corinthiens 13:5). Examinez-vous vous-mêmes !

Comment faire ? C'est simple : commence par te poser quelques questions.

Est-ce que je vis dans la victoire ? Ai-je tout pouvoir sur le péché, ou est-ce le péché qui a tout pouvoir sur moi ? Est-ce que j'essaye d'argumenter pour justifier mes pratiques pécheresses ? Souviens-toi que Jésus a donné son Saint-Esprit à ceux qui croient en Lui pour le pardon des péchés, promettant que le péché n'aurait plus de pouvoir sur eux. Il a déclaré que les choses anciennes ont été arrachées jusqu'à la racine et, bien qu'elles puissent sembler être en vie, elles sont mortes. A leur place, il y a une vie nouvelle, une puissance nouvelle, une victoire nouvelle, un nouvel espoir et un nouvel avenir.

Demande-toi : ma vie est-elle un témoignage vivant de Christ ? Les gens me demandent-ils d'où me vient cette espérance qui est en moi ? Suis-je tiré en avant par une intime conviction de ce que les plans que le Seigneur a pour moi sont pour mon bonheur et non pour mon malheur ? Qu'ils ont pour but de m'amener dans un endroit que j'ai longtemps rêvé d'atteindre, un endroit auquel mon cœur aspire depuis toujours ?

Si tu es décidé à suivre le chemin de Dieu, Il va te donner la grâce dont tu as besoin. Tu trouveras la vie et tu la trouveras en abondance.

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07/03/2015
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RUN, RUN, RUN, COUREZ, COUREZ, COUREZ, ( PAR CARTER CONLON )

Armande m’envoie cette vidéo. Je l’avais déjà mis il y a plusieurs années, mais elle m’avait si profondément marquée que je trouve juste de la remettre en ces temps d’apostasie, devenus encore bien pires en 13 ans


04/11/2014
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" Ce n'est pas pour vous-mêmes " ...

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Les Écritures nous disent qu’Anne, au moment où elle était le plus désespérée, a finalement « fait un vœu, en disant : Éternel des armées ! si tu daignes regarder l'affliction de ta servante, si tu te souviens de moi et n'oublies point ta servante, et si tu donnes à ta servante un enfant mâle, je le consacrerai à l'Éternel pour tous les jours de sa vie, et le rasoir ne passera pas sur sa tête » (1 Samuel 1 : 11).

C’était exactement ce que Dieu attendait ! Tu vois, souvent, lorsque nous recevons une réponse trop rapidement, notre tendance naturelle est de garder la réponse pour nous. Bien sûr, nous pourrons témoigner de la fidélité de Dieu et de combien Il nous a bénis, mais au final, nous allons prendre la bénédiction et la consommer pour nous-mêmes. C’est la raison pour laquelle Dieu doit souvent attendre jusqu’à ce que nous soyons aussi désespérés qu'Anne, c’est-à-dire à un lieu où, dans notre cœur, nous décidons de prendre cette réponse et de la rendre au Seigneur pour Sa gloire.

A ce moment, Anne n’avait aucune idée que son saint désespoir était la solution que Dieu mettait en place pour Son propre peuple, Sa réponse au péril auquel son pays était confronté. Ce qu’elle savait, cependant, c’était que son vœu aurait un coût. Imagine combien cela a pu être difficile, sachant que les prêtres étaient complètement rétrogrades et que la nation était sur le déclin, de choisir quand même d’amener son fils - le désir de son cœur pour lequel elle avait si longtemps prié - pour l’engager dans le temple.
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Je peux me représenter ce que les voisins d'Anne ont dû lui dire alors qu’elle allait pour la dernière fois au temple avec son petit garçon : « Que fais-tu Anne ? Dieu a enfin répondu à ta prière et t’a donné cet enfant ! ». C'est ce même genre de choses que Toi et moi auront à combattre le long du chemin : les faux raisonnements, les conseils de ceux qui n’auraient jamais suivi un tel chemin.

D’une certaine manière, Anne avait le sentiment de savoir que la vie dont Christ nous bénit n’est pas pour nous seulement mais plutôt pour les autres. C’est quelque chose qu’elle a réalisé dans le temple quand elle a fait ce vœu au Seigneur, en Lui promettant de Lui rendre la vie qu’Il lui donnerait. En fait, c’est à ce moment que Anne n’a plus eu de traces de tristesse sur son visage (voir 1 Samuel 1 : 18).
                                                             Carter  Colon

12/07/2014
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