<< Le sang de Jésus >>
Les faitsLe sang a une durée de vie très courte. En moyenne, le volume de sang d’un corps humain adulte est d’environ 5 à 6 litres. Le plasma est le composant liquide du sang et constitue plus de la moitié du volume total du sang. Le reste est essentiellement constitué de globules rouges qui meurent après 120 jours et qui se renouvellent donc constamment. En comparaison, l’or est l’un des matériaux les plus durables sur terre. Il n’est même pas affecté par l’eau salée – même s’il y reste pendant des siècles. Ces faits rendent un commentaire de Pierre bien étrange : « Ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés … mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1:18-19). D’un point de vue naturel, l’or est impérissable contrairement au sang. Pourtant, Pierre savait de quoi il parlait et il nous confronte avec une vérité puissante. Le monde met l’argent sur un piédestal. Mais Pierre insiste sur le fait que les richesses du monde n’ont en elles aucune valeur spirituelle. Il n’existe aucun versement en espèces pour acheter l’Esprit. Dans l’économie de Dieu, le Sang de Jésus est la seule monnaie ayant une valeur durable. Lorsque les cieux et la terre disparaîtront, la puissance rédemptrice du Sang de Christ subsistera pour l’éternité. Un sang rédempteurL’or est précieux car il est rare. Mais, il y a une puissance dans le Sang de Jésus Christ qui fait des miracles. L’apôtre Jean dit : « Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1:7). Matthieu rapporte les paroles du Christ : « Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant : ‘Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés’ » (Matthieu 26:27-28). L’Apocalypse décrit comment une multitude adore Jésus comme son Sauveur en disant : « Tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre » (Apocalypse 5:9-10). Il y a bien longtemps, la vie précieuse du Christ tomba goutte après goutte de Son cœur. Cela marqua la colline de Golgotha et grava en lettres cramoisies l’histoire de l’amour qui surpasse tout autre amour. Aujourd’hui, des centaines de millions de personnes partout dans le monde – simples ou sages, vivant dans la jungle ou dans des immeubles de bétons, travailleurs d’usine ou intellectuels – acceptent ce message comme la vérité au-dessus de toutes les vérités. Il révèle la compassion du cœur de Dieu et une sagesse qui surpasse toute ingéniosité humaine. De grands intellectuels se prosternèrent devant elle. Saul de Tarse, qui était rempli de haine, découvrit dans la croix la logique parfaite de Dieu. Il dit qu’elle était scandale pour les Juifs, folie pour les Grecs, mais puissance de Dieu pour ceux qui croient (1 Corinthiens 1:23-24). Le logo de l’amourLa mort de Christ fut Sa plus grande réalisation - et l’acte le plus grand de Dieu. La puissance de l’amour a anéanti l’amour de la puissance. Il ne s’agissait pas d’une erreur, d’un avatar ou d’un accident. Christ ne fut pas une victime martyrisée mais un puissant vainqueur, notre champion et le héros de Dieu. Le Père au Ciel L’envoya pour chasser et détruire le diable et tout mal. Un plus grand David fit face à un plus grand Goliath. Le Fils de Dieu fit tomber notre plus grand ennemi, le péché - et notre ultime ennemi, la mort. Il transforma du sang rouge en une rédemption royale. Les hommes prirent un bel arbre, le coupèrent pour en faire les poutres rigides de la croix. Ce fut leur logo de haine. Christ le prit, le tacha du Sang de Sa vie, et nous le redonna comme Son logo d’amour. Il investit une gloire dans cet arbre comme jamais personne auparavant. Son bois devint une porte d’espérance et nous rendit dignes de tout ce que nous Lui avons coûté. Le Sang de Jésus proclame la vérité sur Dieu. Et cette vérité n’est pas une fleur délicate, cultivée dans un couvent comme une fleur de lis dans une serre. La méchanceté a une odeur nauséabonde aux narines de Dieu qui ne peut pas être masquée par une poésie parfumée. Elle doit être détruite à la racine. Ainsi, Dieu ne pouvait pas traiter avec elle depuis une belle chaire confortable, mais seulement depuis le pilori romain où il a été cloué. Il a envahi le territoire du diable et l’a traqué ; de plus, il lutta contre le péché, la mort et l’enfer. Jamais une telle bataille n’aurait été possible sans effusion de sang. Le prix est payéToutes les grandes religions de ce monde nous montrent que l’être humain s’attend à payer pour ses péchés. Certains font pénitence, alors que d’autres croient qu’ils devront souffrir lors d’une réincarnation future. Beaucoup s’attendent, au jour du jugement, à la sentence d’un juge terrible qui prononcera leur destinée éternelle, tandis que d’autres s’attendent à souffrir des angoisses de purification dans les flammes du purgatoire. L’Evangile de Christ a un message différent ! Il dit : « Jésus a tout payé ». C’est la gloire incomparable de la Bonne Nouvelle – l’Evangile que Paul et Pierre ont prêché. Ils amenèrent ce message dans un monde rempli de culpabilité. Paul dit : « Sachez donc, hommes frères, que c’est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé » (Actes 13:38). Si le Sang de Jésus, le Fils de Dieu, purifie les croyants de tout péché – s’Il a déjà souffert et payé le prix pour notre dette, comme le déclare clairement l’Ecriture – alors pourquoi aurions-nous besoin de souffrir ou de payer pour cette dette à nouveau ? Tout est accompli ! Lorsque les soldats plantèrent des clous à coup de marteau dans la chair vivante du Christ, Son Sang gicla sur leurs mains. Pourtant, Jésus continua de prier : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23:34). S’ils avaient reçu Son pardon, alors ce même sang qui tâcha leurs mains, aurait lavé également leurs mains et leurs cœurs. « Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon » (Hébreux 9:22). Avant que le monde entende ce message, l’Israël antique faisait des sacrifices d’animaux à Dieu. Mais le sang de ces animaux n’était pas « précieux ». Les sacrifices « couvraient » seulement le péché du peuple. Si vous avez une table avec une tâche horrible, vous la couvrez d’une très belle nappe pour que personne ne puisse la voir. Mais la tâche existe toujours et a besoin d’être enlevée. Le peuple qui faisait des sacrifices dans le Temple aspirait à ce que ses péchés soient enlevés au lieu d’être simplement recouverts. Voilà pourquoi Jean Baptiste, le dernier des grands prophètes de cette nation, annonça une bonne nouvelle. Il vit Jésus, Le reconnut et s’écria : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1:29). Le Sang de Jésus s’attaque à ce qu’il y a « sous la nappe ». Il enlève la tache – le péché si profondément incrusté – pour tout être humain de tout âge et de toute langue. Bien à vous en Christ, Reinhard Bonnke et Daniel Kolenda Un athéiste me défia un jour lors d’une émission télévisée. « On parle du sang de Jésus depuis 2000 ans », dit-il, « et s’il y avait de la puissance dans ce sang comme vous le dites, le monde ne serait pas dans un état aussi déplorable ». Je répondis : « Monsieur, il y a sur le marché beaucoup de savons, mais les gens sont encore sales. Le savon ne rend propre personne en étant seulement là, à disposition – c’est même vrai pour ceux qui travaillent dans une usine de savons. Ce n’est pas ce que vous savez qui compte mais le savoir que vous mettez en pratique. Appliquez le Sang de Jésus sur votre vie remplie de péchés et vous vous joindrez à une multitude qui chante : ‘Il y a de la puissance et des miracles dans le sang précieux de l’Agneau’ ». Reinhard Bonnke et Daniel Kolenda
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