* JESUS REVIENT *

* JESUS REVIENT   *

" COMMENT MARCHER DANS UNE SAINTETÉ CONCRÈTE ET PRATIQUE "

Envoyé par Nicole – Source http://www.sourcedevie.com/html/C1401-saintete-concrete-pratique-p8.htm

. n°1 Comment se revêtir de l’être nouveau.

Sur le sujet que je voudrais aborder ce soir, il y aurait probablement une nuit entière de message, car vraiment le Seigneur veut nous montrer que le temps vient où nous aurons faim de la Parole du Seigneur, mais nous ne la trouverons plus. Nous aurons soif de la Parole de Dieu et nous ne la trouverons plus.

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Je voudrais vous parler de sanctification, de la sanctification sans laquelle nul ne verra le Seigneur. A première vue, ce sujet peut paraître un peu aride, un peu sévère, alors qu’il est le coeur de la Parole du Seigneur car Dieu est saint.

Dieu est saint !

Et il nous demande d’être saints parce que lui est saint.

 

 

Il veut nous admettre dans sa sainteté pour nous faire profiter, bénéficier de toute sa nature à lui. Vous savez qu’on ne peut pas s’approcher d’un Dieu saint si nous ne sommes pas sanctifiés nous-mêmes. C’est l’oeuvre du Seigneur qui le fait, mais il y a des conditions à remplir de notre part parce que Dieu ne va pas jeter ses perles aux pourceaux. Il ne va pas sanctifier ceux qui ne veulent pas être sanctifiés, car il respecte la liberté des hommes et des femmes qu’il a créés. Sa sainteté se manifeste aussi dans ses jugements parce que les jugements de Dieu sont toujours pour condamner l’impiété, l’impureté, le péché, c’est-à-dire le contraire de la nature même de Dieu. Mais nous qui sommes les enfants du Seigneur, nous ne sommes pas destinés, si nous avons un coeur de brebis, à entrer dans ses jugements, mais nous sommes destinés à entrer dans sa présence. Alléluia !

Ainsi dans toute la Parole du Seigneur, quand on parle de sanctification, aussi bien dans l’Ancien que dans le Nouveau Testament, cela signifie une totale consécration à Dieu. Quelque chose qui est sanctifié pour Dieu, c’est quelque chose qui est entièrement mis à part pour l’usage ou pour le service de Dieu. Dans l’Ancien Testament, il y avait des lieux ou des personnes qui étaient entièrement consacrés à Dieu ; ces dernières étaient saintes, sanctifiées, parce qu’elles étaient entièrement réservées pour le Seigneur, pour son service à lui. Ce qui montre à juste titre que dans l’Esprit du Seigneur, quand quelque chose ou quelqu’un lui est consacré, il n’admet aucun partage avec quelqu’un d’autre. C’est entièrement pour lui.

Le temple de Jérusalem était consacré à Dieu : Dieu y avait fait sa demeure, il y habitait, personne ne pouvait entrer dans le lieu très saint sauf le grand prêtre une fois par an, et encore ! avec tremblements parce qu’il amenait avec lui le sang des boucs et des veaux, et il faisait l’expiation une fois par an pour les péchés du peuple. Il entrait dans un lieu très saint parce que Dieu y était. Il devait lui-même être aussi parfaitement sanctifié que cela pouvait se faire à l’époque, c’est-à-dire par du sang d’animal innocent dont il se couvrait, puis il entrait dans le lieu très saint pour verser le sang devant Dieu. Cependant il y entrait en tremblant parce que lui, le souverain sacrificateur, connaissait la sainteté de Dieu mais il connaissait aussi l’état de la créature humaine.

Dans l’Ancien Testament, il n’y avait pas de disposition qui permettait que le péché soit effacé entièrement. Il était seulement couvert par le sang des animaux et des sacrifices. Ils étaient sous une alliance qui est infiniment moins bonne que la nôtre, puisque nous sommes invités à entrer en permanence librement dans le lieu très saint avec une pleine assurance, couverts non pas du sang des boucs et des veaux, mais du précieux sang de Jésus par lequel nous avons été rachetés. Par contre, ne nous imaginons pas que nous pouvons rentrer n’importe comment dans la présence de Dieu si nous ne sommes pas dans les dispositions de coeur que Dieu exige, si nous ne sommes pas saints. Rappelez-vous ceci, c’est que sainteté, sanctification signifient : se mettre dans un état de consécration totale pour le service de Dieu, sans partage, sans aucun mélange. On devient donc propriété totale de Dieu. C’est ce que nous sommes quand nous avons été rachetés par le sang de Jésus. Le sang de Jésus nous a rachetés, il nous a donné la sanctification, mais il nous a d’abord rachetés des mains de Satan. Nous étions la propriété de Satan à cause du péché, nous avions été vendus à Satan à cause du péché et Jésus a versé son sang pour nous racheter, pour que nous devenions la propriété exclusive de Dieu : mis à part entièrement pour Dieu. Dans cet état de rachetés de Dieu, le Seigneur veut nous transformer à l’image de Jésus pour que toute trace de péché, d’impureté, disparaisse de notre vie.

Alors ne dites pas : « Oh, je n’y suis pas encore ! » ou « J’en suis loin ! » ou « Ca ne m’arrivera jamais ! » Non, car cela fait partie du plan de Dieu. Pour nous, ses enfants, le Seigneur veut nous conférer une justice parfaite dans laquelle il n’y a ni tache, ni ride, ni rien de semblable, par sa grâce.

Dans l’Ancien Testament, vous aviez des lieux, des jours, des fêtes, des personnes qui étaient entièrement consacrés à Dieu. Et à partir du moment où on se trouvait sur ce lieu, ou à partir du moment où on entrait dans cette fête et où on la fêtait, on était soit dans un lieu parfaitement saint, parce que Dieu y était, soit dans un jour saint parce que consacré à Dieu. Il existait notamment un jour de la semaine qui était très particulier, c’était le jour du sabbat qui était un jour saint, consacré à Dieu. Durant ce jour, on ne devait faire aucune oeuvre servile, aucune oeuvre du monde, tout devait être consacré à Dieu, dans la prière, dans le culte qui était réservé à Dieu.

Pour nous Chrétiens, il n’en est pas ainsi. Ne nous imaginons pas qu’il existe un jour spécial qui serait le dimanche ou tel autre jour ou le samedi pour d’autres cultes Chrétiens, et qui seraient ainsi mis à part pour Dieu en vue d’un usage exclusif. Cela n’existe pas dans la nouvelle alliance car, grâce à celle-ci, nous sommes entièrement rachetés, mis à part pour Dieu. Tous les jours sont des jours saints pour le Seigneur, nous sommes – comme dit Hébreux 4 – entrés et nous devons entrer dans le repos du sabbat éternel de Dieu, du sabbat spirituel. Ainsi, dans cette nouvelle alliance qui est bien plus complète mais bien plus exigeante que l’ancienne, nous entrons dans le sabbat éternel de Dieu, nous entrons dans une consécration totale à Dieu, il n’y a plus de lieu particulier où se trouve la présence de Dieu. Dieu n’est plus dans des bâtiments faits de mains d’hommes, mais il vient habiter dans un temple qui est notre corps, dans lequel il veut demeurer. Sa présence dans ce corps qui est son temple fait que ce temple est saint et sacré. Il ne doit pas y avoir de mélange, d’activités qui soient en dehors des activités prévues par Dieu, dans ce temple saint et dans nos activités de tous les jours.

Par conséquent ne nous imaginons pas, bien-aimés, qu’à partir du moment où nous savons que nous sommes dans l’Epouse du Seigneur, dans l’Eglise de Christ, nous avons une partie de notre vie qui appartient au Seigneur et une partie qui nous appartient à nous. Ne nous imaginons pas qu’il y a des jours qui appartiennent au Seigneur et des jours qui appartiennent à nous, ou qu’il y a une partie de notre argent (dix pour cent) qui appartient à Dieu et le reste qui appartient à nous : ce ne sont pas des enseignements du Nouveau Testament.

Dans le Nouveau Testament, toute notre vie appartient à Dieu, tout notre temps appartient à Dieu, tout notre argent appartient à Dieu et le Saint-Esprit qui habite en nous sanctifie notre être, tout ce que nous sommes et tout ce que nous possédons, par sa présence-même, et parce que nous lui appartenons entièrement. Si nous lui appartenons entièrement, pensez-vous que des choses nous appartiendraient personnellement ? Jamais. Nous n’avons rien en propre, ni notre vie, ni quoi que ce soit sur cette terre. Nous sommes voyageurs et pélerins, rien ne nous appartient. Alors nous devons ôter de nos pensées cette idée qu’il y a quelque chose qui nous appartient, ou notre propre vie, ou notre temps, ou nos projets, ou ce que nous allons faire de notre vie. Tout appartient à Dieu. Le plan du Seigneur est de nous révéler jour après jour ce qu’il veut pour nous afin que nous puissions entrer dans sa plénitude à lui. Mais déjà maintenant, nous sommes et nous devons être entièrement consacrés à l’Eternel par Jésus-Christ. D’ailleurs dans le Nouveau Testament, chaque fois qu’on évoque des Chrétiens, on les appelle les saints : les saints qui habitent à Corinthe, les saints qui habitent à Bordeaux, à Nîmes, à Paris, nous sommes par la vertu du sacrifice de Jésus considérés par Dieu comme des saints. Quelle doit donc être la sainteté de notre conduite et de notre comportement dans cette terre en attendant le retour glorieux du Seigneur ?

Dans l’Ancien Testament, tous ceux qui profanaient quelque chose de saint étaient mis à mort sans discussion. Rappelez-vous Uzza qui a voulu simplement toucher l’arche parce qu’elle était en train de tomber. Il a été foudroyé par Dieu. Rappelez-vous les deux fils d’Aaron, Nadab et Abihu, qui ont voulu présenter à Dieu un feu étranger, un feu qui ne venait pas du ciel. Ils ont été foudroyés par le feu du ciel simplement parce qu’ils ont voulu mélanger à ce qui était parfaitement saint quelque chose qui ne venait pas de Dieu et ils ont été mis à mort par le Seigneur lui-même. Il ne faut pas nous imaginer que Dieu a changé et qu’aujourd’hui, parce qu’il nous a fait la grâce extraordinaire de venir habiter dans nos coeurs, il passe la main sur nos péchés, nos faiblesses et nos manquements en disant : « Vous êtes sous une meilleure alliance, vous pouvez donc faire ce que vous voulez, mes petits ! »

Un faux enseignement circule, une fausse grâce est annoncée, disant que nous qui sommes au bénéfice du sang de Jésus, nous pouvons vivre un peu n’importe comment, il suffit de temps en temps de demander pardon à Dieu, le sang de Jésus efface tout et on recommence comme avant. Cela c’est un enseignement qui vient de l’enfer parce qu’il aboutit finalement à détruire la vie des Chrétiens et à les faire rester dans un péché permanent, et dans un état d’enfance spirituelle permanente. Ce n’est pas la volonté du Seigneur et en plus c’est un faux enseignement qui vient de l’enfer.

Ce que Dieu désire, c’est notre sanctification sans laquelle nul ne verra le Seigneur.

On va expliquer dans la Parole de Dieu et notamment dans le Nouveau Testament ce que signifie être saint comme Dieu, parce que c’est la volonté de Dieu. Il veut que nous soyions saints comme lui parce que lui est saint.

Je ne vous donne pas toutes les références, je n’en donnerai qu’une, car il y en a des dizaines et des dizaines, par exemple Lévitique 22 : 9: « Ils observeront mes commandements de peur qu’ils ne portent la peine de leurs péchés et qu’ils ne meurent pour avoir profané les choses saintes. Je suis l’Eternel qui les sanctifie. » Vous voyez que dans l’Ancien Testament, à tous ceux qui profanaient des choses saintes, Dieu disait : Si tu t’approches de moi, c’est moi qui te sanctifie, mais prends bien garde à ne pas profaner les choses saintes, c’est-à-dire, par exemple, à ne pas manger des choses saintes alors qu’ils étaient en état d’impureté, à ne pas pénétrer dans un lieu saint alors qu’ils étaient dans un état d’impureté ou qu’ils n’étaient pas autorisés à le faire par Dieu, etc. Profaner les choses saintes, c’est désobéir aux commandements du Seigneur et à sa Parole. On profane la pure et sainte Parole de Dieu en se disant enfants du Seigneur et en désobéissant ouvertement, c’est-à-dire en marchant dans l’impureté. Le salaire du péché, dit Paul, c’est la mort. Il parle à des Chrétiens, il parle aux Romains. Il ne leur dit pas : Parce que vous êtes Chrétiens, vous pouvez pécher, vous n’en subirez aucune conséquence. Il leur dit : Si vous marchez par la chair, vous mourrez. Le salaire du péché, c’est la mort. Et il les exhorte à marcher par l’Esprit en leur expliquant comment y parvenir.

Par conséquent, nous Chrétiens rachetés par le sang de Jésus, si nous n’avons pas conscience de la parfaite sainteté de Dieu dans laquelle nous devons marcher, si nous nous moquons de ces choses par notre insouciance, notre ignorance ou notre incrédulité, nous allons à la mort parce que Dieu est saint. Il a beau être un Père qui nous aime de tout son coeur, nous ne pouvons pas nous approcher de Dieu dans cet état-là. Nous serons foudroyés par sa puissance et par sa sainteté. On ne pourrait même pas tenir en présence de Dieu s’il ne se passait pas quelque chose qui nous permette de répondre à son appel et de nous tenir debout devant lui. Même Jean, qui était né de nouveau, baptisé de l’Esprit, etc. quand il se trouve en présence de Jésus ressuscité qui lui apparaît, il est tout tremblant et il tombe sur sa face. Jean n’était pas un pécheur qui vivait dans le péché. Jean était un homme qui avait peut-être près de cent ans à l’époque, ou pas loin, qui avait une longue expérience d’une vie chrétienne fidèle, qui était celui qui était le plus près du coeur de Jésus, qui marchait dans l’obéissance et qui était persécuté à cause de sa foi. Quand Jésus lui apparaît, il tombe comme mort devant la sainteté de celui qui l’avait racheté par son sang. Et c’est Jésus qui le touche et qui le fortifie. Alors si le Seigneur qui apparaît à Jean dans toute sa gloire peut provoquer une telle réaction dans la vie de quelqu’un qui marche dans la sainteté, imaginons un peu la légèreté de tant de nos attitudes que nous pratiquons ouvertement alors que ce Dieu saint habite dans nos coeurs ! Le même qui apparut à Jean habite dans nos coeurs. Cela ne veut pas dire que nous devrions marcher tête basse toute la journée, ne rien faire par crainte, mais cela signifie simplement que nous devons prendre conscience de la sainteté de notre Père, de notre Dieu, de notre Seigneur et Sauveur, des exigences qu’il nous demande et de la manière dont nous devons marcher sur cette terre, dans la foi au Fils de Dieu, dans l’Esprit, dans la victoire. Nous pouvons compter sur l’aide du Seigneur si notre coeur est bien disposé. Le Seigneur peut admettre des temps d’ignorance comme il l’a fait pour tant d’autres, à condition qu’il puisse voir dans notre coeur le désir ardent d’avancer dans la sanctification. Là, la patience du Seigneur sera pour nous. Mais si nous traitons à la légère sa Parole, son appel, sa vocation, si nous laissons traîner ses commandements, que nous ne les mettons pas en pratique, ou que nous négligeons un si grand salut qu’il nous a donné, et si nous préférons les plaisirs et les choses de cette terre alors que nous savons qu’il est à la porte, à ce moment-là, nous en subirons les conséquences. Il y en a qui resteront, qui ne seront pas pris. Ceci doit non pas nous faire reculer devant la présence de Dieu, mais au contraire nous inciter à nous rapprocher de lui en recevant de lui tous les moyens précieux qu’il nous a donnés pour vivre dans la sainteté parfaite, pour atteindre cette sainteté et pour y vivre. Dieu est saint, son peuple doit l’être et son peuple doit l’être parfaitement. Parfaitement !

Dans Ephésiens 1, verset 4 : « En lui (en Christ) Dieu nous a élus (c’est-à-dire choisis) avant la fondation du monde pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui… » Pas devant les hommes, devant lui. Vous voyez ici son plan, sa volonté, c’est que nous puissions être admis devant lui, saints, c’est-à-dire totalement consacrés et purs, irréprochables, irrépréhensibles, c’est sa volonté pour toi et pour moi. Ne me dis donc pas que tu n’y arriveras jamais. C’est de l’incrédulité pure. C’est la volonté de Dieu de nous introduire en sa présence la plus intime dans un état de sainteté et de perfection absolues. Absolues ! « … nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus-Christ selon le bon plaisir de la volonté, à la louange de la gloire de la grâce qu’il nous a donnée. » Voilà la grâce de Dieu.

Nous qui étions pécheurs, perdus, impurs, mauvais, enfants de rébellion, il veut ôter toutes ces choses définitivement de nos vies, par la nouvelle naissance d’une part, par la sanctification ensuite, pour que nous puissions vraiment devenir ce qu’il veut que nous devenions : des frères et des soeurs de Jésus dans la sainteté parfaite. Et Jésus veut que ce soit le cas pour nous maintenant et non pas de l’autre côté quand nous serons au ciel. Je combats de toutes mes forces cette fausse doctrine qui dit que nous ne pourrons jamais sur cette terre être saints comme Dieu le veut, mais que nous ne le serons que quand nous serons morts ou enlevés. C’est une fausse doctrine qui empêche les Chrétiens de marcher dans la victoire, sinon nous n’aurions pas tous ces commandements du Seigneur, ni ce que Jésus lui-même a déclaré dans son sermon sur la montagne : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. Soyez saints. Obéissez à mes commandements. » C’est un ordre de Jésus pour la terre, pas pour le ciel ! Pour le ciel, nous aurons franchi la porte de la mort et nous serons dans la présence du Seigneur. Nous serons transformés en un clin d’oeil. Le péché ne nous suivra pas là-haut, terminé ! Vous comprenez le plan du Seigneur ?

Ephésiens chapitre 5 versets 25 et suivants : « Maris, aimez vos femmes comme Christ a aimé l’Eglise et s’est livré lui-même pour elle (pourquoi ?) afin de la sanctifier  (cela signifie afin de la mettre entièrement à part pour lui dans un état de pureté totale) après l’avoir purifiée par l’eau et la Parole afin de faire paraître devant lui cette église glorieuse (vous voyez : devant lui) sans tache ni ride ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable. » Rien ! Aucun défaut, aucune ride, aucune tache. Vous voyez que cela n’est pas de notre ressort car de nous-mêmes, nous ne pourrions pas. C’est impossible ! Notre foi est stimulée quand nous savons que si nous remplissons les conditions qu’il nous réclame, c’est Dieu qui le fera, c’est Dieu qui nous fera paraître devant lui et qui nous fera marcher devant lui dans un état de pureté et de sainteté absolues, pour nous, maintenant sur cette terre, ici-bas.

Quels que soient tes problèmes, mon frère, ma soeur, quels que soient les travers dans lesquels tu peux tomber encore, quelles que soient les difficultés qui sont les tiennes ou les péchés que tu commets encore, tu dois avoir dans le fond du coeur l’assurance que ton Dieu veut les enlever complètement si tu fais ce qu’il te demande de faire, et ce sont des choses simples. L’Evangile ne vise pas seulement les grands intellectuels et les gens bardés de diplômes, pas du tout. Il est prévu pour des enfants.

Rappelons-nous bien ceci, c’est que si Dieu qui est saint nous appelle à être saints et à marcher dans la sainteté, il ne tolérera aucune impureté dans son camp. Il prend patience quand il en voit parce qu’il nous connaît, mais dans son coeur il est décidé à ne rien tolérer comme impureté dans son camp. Il ne nous rejette pas pour autant dès que nous faisons quelque chose d’impur, au contraire il va nous persuader en nous montrant comment ôter cette impureté hors de son camp. Son camp, c’est nous. Son camp, c’est moi et son camp, c’est l’Eglise. Si Dieu voit de l’impureté, Dieu va se détourner.

Dans Deutéronome 23, verset 14, le Seigneur dit : « Car l’Eternel ton Dieu marche au milieu de ton camp (je pourrais dire au milieu de ton corps ou au milieu de ton église) pour te protéger et pour livrer tes ennemis devant toi. Ton camp devra donc être saint, afin que l’Éternel ne voie chez toi rien d’impur, et qu’il ne se détourne point de toi. » Voyez ce qu’il y a dans le coeur de Dieu ? Il veut que ses enfants soient gardés, il veut que ses enfants soient protégés, il veut que l’ennemi soit écarté. Son camp devra donc être saint. Il veut dire que si tu veux être gardé et protégé, tu dois avoir dans le coeur et dans la réalité de ta vie la sainteté du Seigneur. Ton camp devra donc être saint afin que l’Eternel ne voie chez toi rien d’impur et qu’il ne se détourne pas de toi. Nous, Chrétiens de la nouvelle alliance, nous dirions que si nous vivons dans une forme ou une autre de péché non confessé, le Seigneur se détournera de nous.

Dans 2 Chroniques 29, verset 5 : « Ecoutez-moi, Lévites (les lévites, c’est nous tous, puisque dans la nouvelle alliance, nous sommes tous prêtres et sacrificateurs, hommes et femmes) : Maintenant, sanctifiez-vous, sanctifiez la maison de l’Eternel, le Dieu de vos pères et mettez ce qui est impur hors du sanctuaire. » Sanctifiez-vous, sous-entendu comme Dieu est saint et pur : Mettez hors de ce sanctuaire, qui est notre corps ou l’Eglise, tout ce qui est impur pour Dieu. Par conséquent nous devons apprendre à connaître ce qui est pur et ce qui est impur, à discerner entre l’impur et le pur. Comment pouvons-nous mettre quelque chose d’impur hors du sanctuaire de Dieu si nous n’avons même pas conscience que cette chose est impure ? Mais Dieu qui habite dans nos coeurs nous a tout donné pour que nous en ayons conscience. Sous l’ancienne alliance, il leur avait donné la loi qui leur enseignait clairement ce qui était pur et impur, ce qu’ils devaient manger, ne pas manger, comment ils devaient s’habiller, comment ils devaient rendre un culte à Dieu, quels types d’encens ils devaient présenter à tels moments, quels types de sacrifices, tout était prévu dans le moindre détail et il suffisait qu’ils respectent ce détail pour que Dieu dise : Ça va, je ne vois rien d’impur. Et à ce moment-là, la shékina (la gloire de Dieu) resplendissait au milieu des siens.

Pour nous, c’est pareil. Si Dieu voit quelque chose d’impur, le péché au milieu de nous, Dieu se détournera. Nous aurons beau parler en langues, prophétiser, faire des miracles, guérir des malades ou évangéliser la terre entière, la présence de Dieu ne reposera pas sur nous. Vous savez pertinemment que le but de Dieu est de nous introduire en sa présence. C’est en sa présence que nous avons la joie infinie, la paix. C’est en sa présence que Dieu peut lui aussi se réjouir de voir ses enfants devant lui, sanctifiés et purifiés. En dehors de la présence de Dieu, bien-aimés, ce n’est que de la religion, il n’y a rien. Combien d’églises où il y a beaucoup de monde, de beaux cantiques, des dons spirituels, tout ce qu’on veut sauf l’essentiel, c’est-à-dire la présence de Dieu !

Est-ce que nous sommes capables de reconnaître dans une réunion, dans un Chrétien, la présence de Dieu ? Je veux dire la présence manifestée, parce que Dieu est présent partout. Est-ce que la présence, l’onction, la gloire de Dieu reposent sur nous, sur notre église, sur notre groupe, sur notre vie personnelle, parce que nous avons compris ce qui est saint, et que nous avons attaché notre coeur à connaître la loi de Dieu et à mettre notre vie en accord avec sa loi, comme Esdras qui avait appliqué son coeur pendant des années à sonder la Parole, à la mettre en pratique et à l’enseigner au peuple.

Ce que Dieu demande donc, c’est que nous soyons purs et que nous ne nous contentions pas d’une demi-purification, mais que nous soyons totalement purs et saints pour lui. Ce qui signifie aussi que nous devons nous abstenir de nous souiller, ou en tout cas, s’il nous arrive de nous souiller par le péché, qu’immédiatement nous sachions ce qu’il convient de faire pour nous purifier. Cela veut dire aussi ne jamais oser s’approcher de Dieu quand on n’est pas pur. Rappelez-vous l’avertissement que Paul donne aux Corinthiens (1 Cor. 11 :27-30) : « C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement… C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. » Pourquoi ? Parce qu’ils se sont approchés de Dieu en prenant le pain et le vin, c’est quelque chose de sacré. Tout est sacré pour nous, Chrétiens, mais là, dans cette ordonnance particulière où nous commémorons la mort de Jésus, le Seigneur dit bien : Si tu t’approches indignement, tu prends un jugement sur toi. Tu peux être enfant de Dieu, tu peux dire Dieu est ton Papa chéri, si tu t’approches indigement du pain et du vin, tu reçois un jugement, c’est-à-dire une maladie, une infirmité ou la mort prématurée. C’est clair et net, c’est dit dans la Parole. Ça ne veut pas dire que tous les malades au milieu de nous sont des gens qui ont pris la cène indignement, il ne faut pas tomber dans cette conséquence-là. Ça peut être une attaque du diable à laquelle il faut résister par la foi, ça peut être tout autre chose, mais en tout cas, ceux qui prennent la cène indignement, Chrétiens de la nouvelle alliance, sont jugés par Dieu parce qu’il est saint et nous devons nous approcher du pain et du vin avec un coeur saint, purifié.

Frères et soeurs, nous avons tous un service à faire pour Dieu, un ministère. Nous pouvons témoigner à notre voisin, évangéliser dans la rue, exercer un grand ministère international, mais nous avons tous un ministère pour Dieu et des dons à exercer pour Dieu. Avant d’exercer quoi que ce soit comme service pour Dieu, nous devons veiller à ce que le préalable soit fait, c’est-à-dire être consacrés et oints avant de servir. Trop de Chrétiens se lancent dans le service de Dieu, évangélisent, témoignent etc. alors que leur vie est dans la désobéissance et dans le péché. Rappelez-vous que dans l’Ancien Testament tous ceux qui étaient consacrés au service de Dieu (les lévites, les prêtres et notamment le grand sacrificateur), avant tout service, devaient se purifier, ils recevaient l’aspersion du sang et ils recevaient l’onction d’huile. Cela signifie qu’avant de commencer quoi que ce soit dans le service de Dieu, même brûler de l’encens ou tuer une vache ou un agneau, ils devaient soigneusement veiller à se trouver purs et saints et ils recevaient l’onction. A l’époque, c’étaient l’aspersion du sang et une onction d’huile qui leur permettaient de s’approcher de Dieu sans être jugés.

Cela a une signification pour nous. Enfants du Seigneur, n’oublions jamais que tout service de Dieu qui est fait en dehors de la consécration et de l’onction du Saint-Esprit est une abomination pour Dieu. Il vaudrait mieux qu’on ne fasse rien. C’est une abomination, même la prière du pécheur est une abomination pour Dieu, sauf la prière du pécheur qui veut se repentir, bien-sûr. Mais quelqu’un qui vit dans le péché et qui vient devant Dieu faire de belles prières pour l’Afrique, pour l’Amérique, ou pour ses voisins, c’est une abomination aux oreilles du Seigneur. Par conséquent, cela nécessite de notre part un désir ardent de marcher dans la sainteté et d’être constamment à l’écoute du Saint-Esprit en nous. Le Saint-Esprit nous guide et nous sanctifie pour nous montrer l’état de notre coeur, afin que nous puissions constamment marcher au bénéfice du sang de Jésus, de l’Esprit du Seigneur et de sa Parole.

Alors comment être saint et comment marcher dans la sainteté ? La Parole du Seigneur est claire. Le Seigneur nous dit que nous sommes saints par la foi en la vérité et nous marchons dans la sainteté par l’obéissance à la vérité. Ceci semble très simple. Je vais vous lire quelques versets qui le montrent.

Nous sommes saints par la foi en la vérité et cette foi en la vérité nous donne une sainteté totale et parfaite en Jésus-Christ. Ça, c’est la sainteté légale ; la sainteté absolue que nous recevons par la foi en Christ et la foi en l’oeuvre de Christ. La foi en Christ, la foi en l’oeuvre de Christ nous confère une justice et une sainteté en Christ qui est absolue et totale. Mais elle implique une connaissance et une révélation de la Parole de Dieu qui nous est donnée par le Saint-Esprit ; parce qu’il ne suffit pas de lire un verset en disant : « Oui, le sang de Jésus nous sanctifie, le sacrifice de Jésus nous justifie devant Dieu et maintenant, Dieu me confère une justice et une sainteté totales et absolues. Il faut vraiment que cette vérité entre dans le coeur, que nous la saisissions par la foi et qu’elle devienne une réalité totale pour nous. Il faut que si je te pose la question : « Mon frère, ou ma soeur, es-tu saint devant Dieu maintenant ? » tu puisses me répondre immédiatement et sans hésitation : – Oui, mon frère. Mais en vérité, pas en hésitant : « Eh bien, j’essaye, je m’efforce et puis Dieu le voit… Enfin, bon, je ne sais pas trop… » Parce que ma question, ce n’est pas ça, ma question c’est : « Est-ce que tu es saint, maintenant devant Dieu ? » Si tu as compris, la réponse doit être immédiate : « Oui ! Non pas par mes oeuvres, non pas par mes efforts, non pas par quoi que ce soit que je peux accomplir, mais par ma foi en l’oeuvre de Jésus et en l’oeuvre de la Croix. »

C’est la première des réalités à comprendre, la foi en la vérité. C’est la foi qui sauve, c’est la foi qui justifie, c’est la foi qui donne la sainteté parce que Jésus a payé pour nous. Il a payé pour mon péché, il a versé son sang pour me purifier. Puisqu’il a payé à la Croix pour moi (l’oeuvre de la Croix est complète, totale), je me trouve devant Dieu dans une situation de justification totale par la foi en Christ, par la foi dans le sang et dans l’oeuvre de Christ à la Croix. Ça ne veut pas dire que j’ai acquis immédiatement la capacité de marcher dans la sainteté tous les jours de ma vie, dans tous les actes de ma vie. Ça, c’est l’obéissance de la foi dans la marche concrète de tous les jours. Mais cette obéissance de la foi ne pourra pas produire d’effet si déjà au départ, je n’ai pas compris ma position en Christ. Et le problème de beaucoup de Chrétiens, c’est qu’ils n’ont pas compris leur position en Christ et qu’ils essayent de marcher dans la sanctification sans jamais y arriver parce que c’est un effort de volonté, ce n’est pas une compréhension spirituelle de notre position en Christ.

En Christ, nous sommes assis dans les lieux célestes, lavés et purifiés. Le plus grand pécheur du monde qui arrive au Seigneur, qui reçoit dans son coeur le message de l’Evangile, qui le comprend par le Saint-Esprit, qui donne sa vie au Seigneur, qui se repent et qui ouvre son coeur à la grâce du Seigneur, à la puissance du sang de Jésus et de l’oeuvre de la Croix, est immédiatement lavé, purifié, justifié, sanctifié de tous ses péchés passés, comme s’il n’avait jamais péché. Il y a encore tant de Chrétiens qui traînent un fardeau de culpabilité de leur vie passée en disant : « Mais oui, je sais que Dieu m’a pardonné, mais enfin quand même, c’était tellement lourd, tellement gros, ces péchés que j’ai fait, que… » Ils ont du mal à accepter par la foi que Dieu a effacé, par le sang de Jésus, tous leurs péchés passés comme s’ils n’avaient jamais existé. C’est merveilleux de le comprendre ! Cela doit réjouir nos cœurs ! « Seigneur, j’ai confessé tous mes péchés de tout mon coeur, et à l’instant où je te parle, Seigneur, ton sang a la puissance de tout effacer. Et de tout effacer en permanence, tant que je marche dans cette foi en la puissance de l’oeuvre de la Croix. »

Mais ça ne suffit pas pour me faire marcher concrètement tous les jours dans la perfection de la sanctification. Il faut que j’aille plus loin, tout en gardant tout ce que j’ai reçu au début, c’est-à-dire la foi dans le sang et dans l’oeuvre de la Croix. Il me faut apprendre à marcher journellement dans une sanctification pratique, au bout de laquelle le Seigneur ne trouvera plus le moindre petit défaut manifesté en moi ; donc pas seulement la justification qui m’est donnée par la foi en Christ, mais un apprentissage que Paul appelle le dépouillement du vieil homme. Puis je dois apprendre à marcher concrètement dans l’homme nouveau, renoncer aux oeuvres de la chair et marcher dans celles de l’Esprit, renoncer à des choses telles que la division, l’impureté, pour marcher par la foi dans le fruit de l’Esprit : l’amour, la paix, la joie, de manière permanente. S’il m’arrive de chuter, j’ai immédiatement le sang de Jésus, l’oeuvre de la Croix et ma repentance qui me remettent d’aplomb devant Dieu et qui me permettent de retrouver cette communion avec Dieu.

Mais le Seigneur ne va pas s’arrêter là. Il veut que je marche dans la sainteté concrète ; que toutes mes pensées, toutes mes paroles, tous mes gestes, tout mon comportement, toute ma vie, soient entièrement imprégnés de la sainteté de Dieu qui se manifestera dans toute ma vie. Je vais vous dire pourquoi l’Eglise marche mal. L’Eglise s’arrête à la puissance du sang de Jésus, qui est extraordinaire. Je ne diminue absolument pas la puissance de Jésus, mais trop de Chrétiens se confient en permanence et uniquement en la puissance du sang de Jésus en disant : « Après tout, ce n’est pas si grave, si je marche dans une vie qui n’est pas sanctifiée puisque je peux toujours avoir la puissance du sang de Jésus pour me rétablir ». Donc ils ne font pas ce qu’il faut pour marcher dans la sanctification. Il va leur manquer quelque chose dans leur témoignage chrétien parce qu’ils ne vont absolument pas refléter la gloire du Seigneur. Certes, ils vont refléter la joie de celui qui a été pardonné, mais dans la vie de tous les jours, les païens vont dire : « D’accord, tu es pardonné, c’est bien, mais quand je te vois marcher, quand je t’entends parler, quand je te vois vivre et que je te vois fonctionner à côté de moi, mais où est la différence entre toi et moi, à part le fait que tu me dises que ton péché est effacé ? Ah, c’est un peu trop facile ! » Souvent on entend ce genre de propos.

Notre problème, c’est d’apprendre à marcher dans la sainteté après avoir reçu par la foi la révélation de notre position en Christ, qui est permanente et qui doit le rester. Mais il faut que cette foi véritable produise des actions correspondantes sinon ce n’est pas la foi. Si tu dis que tu as reçu par la foi la sanctification et que tu ne marches pas dans cette sanctification, il y a un problème encore dans la réalité de ta foi et de la révélation que tu as reçue. Ce n’est pas un jugement ni une critique, c’est le fait de constater qu’il y a encore des progrès à faire et que tu dois t’approcher de Dieu pour avoir une révélation plus profonde, davantage de foi, davantage de compréhension de l’oeuvre de Jésus pour pouvoir marcher concrètement par l’Esprit.

En ce qui concerne le premier point (c’est-à-dire nous sommes sanctifiés en Jésus), je vais vous lire dans 1 Corinthiens, au chapitre 1, au verset 1 : « Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Sosthène, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints, et à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre. » Ici vous avez tout le programme en un seul verset « Ceux qui ont été sanctifiés en Jésus » qui est la position en Christ par le sacrifice de Jésus, « et appelés à être saints », c’est-à-dire appelés à marcher concrètement tous les jours dans cette sainteté qui a été donnée. Vous avez bien ici les deux aspects.

Dans 1 Corinthiens, au chapitre 1, et au verset 30 : « Or, c’est par lui (c’est-à-dire Dieu) que vous êtes en Jésus-Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption, afin, comme il est écrit, que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur. » Jésus a été fait pour moi sanctification, ce qui signifie qu’il a manifesté totalement la perfection d’une marche absolue dans l’obéissance et il l’a fait pour moi si je reste en lui. Si je reste en Christ et si j’ai toujours conscience de ma position en lui, il a été fait sanctification pour moi, il a vaincu dans tous les domaines de la vie. Il a vaincu toutes les tentations. Vous ne voyez jamais Jésus faire un faux pas, une chute, une parole de travers, se mettre en colère de manière charnelle. Jamais ! Il a marché dans une perfection absolue pour toi et pour moi si je reste en lui et si je reçois de lui l’apprentissage qu’il veut me donner, je vais marcher comme lui dans une perfection absolue, comme grâce que je reçois de lui, puisqu’il a été fait sanctification pour moi.

 

 

 

 

En live, par audio:



03/08/2014
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