DEUX VALENT MIEUX QUUN: EN VÉRITÉ JE VOUS DIS: EN QUOI TE FRUSTRONS NOUS?
DEUX VALENT MIEUX QU'UN
Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon; mais malheur
à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever!
Ecclésiaste 4:9-10
Un jour qu’il faisait particulièrement froid et qu’il neigeait, le Sadou Sundar Singh parcourait la montagne avec un Tibétain. Ils souffraient tous deux de la température excessive et se sentait à peu près gelés, si bien qu’ils désespéraient d’atteindre le but de leur course.
En chemin ils trébuchèrent sur un homme qui risquait d’être enseveli par la neige, inconscient et à moitié mort. Le Sadou proposa de porter cet homme jusqu’à un abri, mais le Tibétain refusa de l’aider, disant qu’ils avaient suffisamment à faire pour eux-mêmes; et il continua sa route.
Alors le Sadou, avec beaucoup de peine, réussit à charger l’homme sur ses épaules; puis, grâce à cet effort supplémentaire, il commença à se réchauffer, et peu à peu, l’homme à moitié gelé se réchauffa lui-même par ce contact.
Ils arrivèrent plus loin sur le corps du Tibétain gelé, et quand le Sadou atteignit le village, l’homme à moitié mort avait repris connaissance.
EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS DIS QUE CELUI QUI ENTEND MA PAROLE
et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas
en jugement; mais il est passé de la mort à la vie.
Jean 5:24
Une vieille inscription de la cathédrale de Lubeck
Vous m’appelez Créateur, et ne m’obéissez pas.
Vous m’appelez Lumière, et ne me voyez pas.
Vous m’appelez Chemin, et ne me suivez pas.
Vous m’appelez Vie, et ne me désirez pas.
Vous m’appelez Sagesse, et ne m’imitez pas.
Vous m’appelez Bon, et ne m’aimez pas.
Vous m’appelez Riche, et ne me demandez rien.
Vous m’appelez Eternel, et ne me recherchez pas.
Vous m’appelez Clément, et ne vous confiez pas.
Vous m’appelez Grand, et ne me servez pas.
Vous m’appelez Puissant, et ne m’honorez pas.
Si je vous condamne, ne me blâmez pas.
EN QUOI TE FRUSTRONS-NOUS?
Malachie 3:8
Un prédicateur chinois parlait du fait que nous ne laissons pas à Dieu la place qui lui revient dans nos vies, et que nous le frustrons dans ce que nous lui devons.
Il appuya son dire par cette image.
Un homme allant au marché vint à passer avec sept pièces de monnaies.
Voyant un mendiant qui demandait l’aumône, il lui donna six pièces et en garda une pour lui.
Le mendiant au lieu d’être reconnaissant, suivit son bienfaiteur et lui vola encore la septième.
Le misérable! Direz-vous.
Oui! Voudriez-vous vous à qui Dieu a donné six jours, lui voler aussi le septième?
De même, voudriez-vous voler à Dieu l’argent, le temps, les capacités qu’il vous a confié?
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