* JESUS REVIENT *

2 CORINTHIENS 12.7?10

Nous ne souffrons pas en vain. Dieu se sert de notre affliction pour notre bien (Ro 8.29). Il se peut que nous n’aimions pas ce qu’il fait et que nous n’y comprenions rien, mais connaître certains de ses objectifs nous aidera à lui faire confiance, à coopérer avec lui et à tirer profit de nos ennuis.

La protection. Après que Paul a supplié le Seigneur de lui ôter son écharde dans la chair, celui?ci lui a révélé qu’il voulait le garder de l’orgueil. Nous avons tous des points faibles qui peuvent nous entraîner vers le péché et, dans sa sagesse, Dieu sait nous en préserver. Il arrive que la douleur accomplisse ce que rien d’autre ne saurait faire.

La dépendance. En affaiblissant Paul, son écharde lui enseignait à s’appuyer sur la grâce et la force de Christ. De même, nos ennuis nous amènent souvent au bout du rouleau, de sorte que nous devons dépendre du Seigneur. Alors, nous sommes bien placés pour recevoir sa force.

Une perspective divine. Lorsque Paul a finalement compris quel but Dieu visait, il a considéré son handicap sous un jour nouveau. Il a cessé de se concentrer sur sa douleur et a choisi le contentement. L’apôtre pouvait se réjouir, car il avait reconnu que la puissance de Christ en lui importait davantage que l’absence de chagrin dans sa vie.

À moins de comprendre que Dieu accorde toujours plus d’importance à l’aspect éternel que temporel, nous ne saisirons pas la valeur des souffrances. Selon 2 Corinthiens 4.17 : « Nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au?delà de toute mesure, un poids éternel de gloire. » Ne nous décourageons donc pas.