“Il n’en est pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus jeune, et celui qui gouverne comme celui qui sert.” Luc 2:27
Dans le service, ce que l’on est compte plus que ce que l’on fait : Dieu veut moins nous apprendre à faire ceci ou cela qu’à être un serviteur semblable à son Fils Jésus, qui pouvait dire :
« Je suis au milieu de vous comme celui qui sert ».
Ainsi, Dieu ne veut pas qu’on lui rende service, mais il cherche des serviteurs selon son cœur. Ce n’est pas le service qui fait les serviteurs, c’est le cœur.
Un homme disait :
« Si je suis ce que Dieu veut que je sois, je saurai ce que Dieu veut que je sache, et je pourrai faire ce que Dieu veut que je fasse ».
Et aussi :
Quand Dieu cherche un homme pour travailler, il ne demande pas :
“A-t-il de grandes capacités naturelles ? A-t-il reçu une éducation accomplie ? Ses prières sont-elles éloquentes ? A-t-il le don de la parole ?”
Il demande plutôt :
“Son cœur est-il tourné vers moi ? Est-il saint ? Est-il résolu à marcher par la foi et non par la vue ? S’attend-il à moi pour être conseillé et cherche-t-il en tout à être conduit par mon Esprit ? Cherche-t-il à plaire aux hommes et à s’épargner de la peine, ou est-il disposé à attendre de Dieu sa seule récompense ?…”
Quand Dieu trouve un tel homme, il le prend à son service. Il y aura entre Dieu et cet homme une entente si affectueuse, un tel amour, une telle confiance, qu’il deviendra sur-le-champ ouvrier avec Dieu.
Plus nous connaîtrons Dieu, plus nous serons aptes à bien le servir !
Nos efforts doivent d’abord porter sur la communion avec Dieu, plutôt que sur une œuvre, aussi noble soit-elle. Quand je me tiens dans sa présence, avec une certaine insatisfaction à cause de résultats frustrants dans le service, Dieu me rappelle souvent la grâce de le servir. Oui, servir Dieu est une faveur et un honneur. C’est un privilège qui nous garde dans la reconnaissance envers et contre tout.