ISRAËL ET LE MONDE: VERS LE POINT DE BASCULE...
Transmis par Elisabeth777
LETTRE de PRIERE n° 241 SPECIAL ISRAËL
o Israël et le monde: vers le point de bascule
o 1967: quand la France redonnait la parole à
l’antisémitisme et à l’antisionisme
o Quand la France et l’Europe vendaient leur âme o « Intifada de voiture »: la nouvelle guerre de rue
o Reconnaissance d’un Etat palestinien: la France
va voter
o Jérusalem: pas une colonie, mais notre capitale o Il est temps de se positionner en faveur d’Israël
o Des leaders de l’église de France demandent
pardon à Israël…
Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les cieux et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au-dedans de lui :
« Voici, je ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les peuples d’alentour »
Israël et le monde: vers le point de bascule
Les affrontements quotidiens dans certains quartiers de Jérusalem-Est prennent de l’ampleur et risquent de déboucher sur une troisième Intifada en Judée-Samarie/Cisjordanie. Mais concernant le conflit israélo- palestinien et Jérusalem en particulier, la presse internationale joue un rôle important et considérable. La présence de caméras encourage les affrontements, désinforme, déforme souvent la réalité, grossit les événements, et prend partie en faveur de la cause arabe.
Plus grave encore, les médias et la communauté internationale ne condamnent pas les « terroristes solitaires », les jets de pierres et les bouteilles incendiaires lancées par des « gamins contre l’occupant », ni les chefs palestiniens appelant à la lutte armée avec la prise d’al-Aqsa sur l’« esplanade des Mosquées ». Etonnant aussi de constater que même un journal chrétien comme La Croix poursuit cette ligne rédactionnelle et ose écrire en gros caractères : « les colons juifs poursuivent leur entreprise de « judaïsation » de la ville de Jérusalem, déniant aux Palestiniens le droit d’y vivre ».
Les relations entre Israël et le monde semblent être à un tournant. Dans le naturel comme dans le spirituel, nous sommes devant la concrétisation d’un point de bascule, où nous voyons le plan de Dieu se réaliser par la manifestation de l’endurcissement des cœurs.
Les intercesseurs amis d’Israël (amis de Dieu) se confient dans la sagesse sans limite et la toute puissance de Celui qui a étendu les cieux et fondé la terre.
- Prions Dieu d’être calés sur sa Parole qui dit que « L’ami aime en tout temps, Et dans le malheur il se montre un frère ». Pr 17:17. Que par Sa grâce nous demeurions des amis indéfectibles d’Israël et du peuple Juif.
- Proclamons sur ces temps Sa sagesse: « O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! Car qui a connu la pensée du Seigneur, Ou qui a été son conseiller ? » R11:33
- Prions pour la conversion et le salut des nations, et la paix véritable selon la merveilleuse promesse d’Esaïe 2:24: la maison de l’Éternel sera fondée sur le sommet des montagnes, elle s’élèvera par-dessus les collines… Des peuples s’y rendront en foule, et diront: Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de SION sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel. Il sera le juge des nations, l’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes: une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, et l’on n’apprendra plus la guerre. »
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1967: quand la France redonnait la parole à l’antisémitisme, signant sa décadence morale et économique.
Suite à la « guerre des 6 jours », la France du général de Gaulle a rompu en 1967 ses « liens spéciaux » avec Israël. Au cours d’une conférence de presse le 27 novembre, De Gaulle -amer- fait une déclaration qui suscita alors la polémique en déclarant que les Juifs étaient restés « ce qu’ils avaient été de tous temps, un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur ». Ainsi la parole était accordée à un nouvel antisémitisme et un antisionisme libérés… par la France. ** note MAV: j’ai toujours été convaincue que c’est à cause de cette « trahison » que le Général de Gaulle a perdu peu de temps après un référendum, ce qui ‘a conduit à donner sa démission, puis à mourir très vite !L’orgueil français?…coûte cher à Israël, et à la France. L’écrivain et diplomate français Romain Gary (juif) dira affectueusement à De Gaulle, grand admirateur du peuple juif: « Votre discours a provoqué l’indignation (…) Votre seule faiblesse à cet égard, mon Général, est que, tout en n’étant pas le moins du monde antisémite, vous vouliez que les Juifs vous en soient reconnaissants et suivent vos conseils à propos du Moyen-Orient. Je suis sûr que vous vous êtes senti frustré quand ils ont interrogé les Ecritures et qu’ils en ont déduit que vous n’étiez absolument pas Moïse.
Après le raid israélien contre le Liban, où treize avions ont été détruits, dont plusieurs appartenaient à la France, vous vous êtes exclamé (permettez-moi cette indiscrétion): «Ils m’ont désobligés» – une expression du XVIIIe. C’est comme si vous vous étiez senti personnellement offensé par l’action des Israéliens.»De Gaulle, comme beaucoup d’autres, ne vit pas la main de Dieu dans une guerre gagnée surnaturellement par Israël, que le président égyptien et l’alliance arabe avaient condamné à une disparition soudaine.
France, la chute: mai 1968. Six mois après ses propos contre Israël, De Gaulle est complètement surpris par une crise française qu’il ne prévoit pas et ne comprend pas (selon son entourage même). Subitement le monde échappe au grand visionnaire, et le stratège -hier encore admiré- épuise en vain les outils constitutionnels: un an après, il se contraint lui-même à la démission!!!
Mai 68 ouvrira la voie d’un divorce -toujours actuel- entre les autorités du pays et le peuple. Sa prospérité déclinera, ses dirigeants successifs -comme aveuglés- laisseront se détruire son tissu économique; ils gaspilleront sa trésorerie pour satisfaire une population désormais assoiffées de droits et de jouissances, toujours prête à descendre dans la rue. Une France sans Dieu prenait le pouvoir.
« Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays.» 2 Ch 7/14- Humilions-nous pour notre orgueil, régulièrement manifesté par nos autorités élues, qui nous pousse à nous faire conseillers de tous et sur tout, donneurs de leçons endurcis malgré les incessantes remarques du monde qui fustige l’arrogance française.
- Repentons-nous d’avoir jugé Israël au moment même où, menacé d’extermination soudaine, Dieu venait à son secours.
- Crions à Dieu pour que notre nation revienne à Lui, entende Sa voix tout à nouveau.
- Implorons le secours du Seigneur pour le Saint-Esprit volé, pour nos ancêtres Huguenots violés dans leur foi, brutalisés dans leur consécration, recadrés dans leur piété, remis au pas… de la
pensée du monde. - Appelons le reste -que Dieu connaît- à se lever en nouveauté de vie, afin de ramener en terre de
France la passion pour le Roi des rois. Appelons, appelons la résurrection, appelons tous les Lazare de France à sortir des tombeaux ! La mission continue, Jésus n’en n’a pas fini avec nous.
Quand la France et l’Europe vendaient leur âme… pour du pétrole
Pas de pardon! A Kippour 73 (fête juive du Grand pardon), Egyptiens et Syriens lancent une grande offensive contre Israël. Le secours (tardif…) américain à Israël finira par stopper la guerre. Les pays pétroliers décrèteront un embargo, sauf pour la France et la Grande-Bretagne, récompensés pour avoir refusé l’accès des États-Unis à leurs aérodromes… pour ravitailler Israël.
L’arme du pétrole: 400% d’augmentation en un an. Les USA dénonceront cette pression politique et conseilleront aux Européens de réagir. Dirigés par les Français, les Européens se soumettront aux pays
2pétroliers. Le président Georges Pompidou affirmera ne pas vouloir courir le moindre risque d’une coupure de pétrole, pas plus qu’il ne veut participer à aucune action politique qui pourrait provoquer une confrontation avec les Etats arabes. Ceux-ci exigeront le financement de la cause arabo-palestinienne et la reconnaissance d’un peuple palestinien, jusqu’alors peu populaire en Europe. Ainsi, le ministre du pétrole saoudien déclarait le 26 novembre 1973 à la télévision française: « si vous ne changez pas votre politique (de soutien à Israël), l’Europe va souffrir ». (Écouter ici l’émission en archive)
Le pétrole en échange du rejet d’Israël. En Septembre 1974, enhardis par leurs succès diplomatiques, les dirigeants arabes convoquent des parlementaires européens à Damas. Ils exigent que les Européens s’accordent sur 4 points comme condition préalable pour une coopération économique:
1) le retrait israélien inconditionnel aux lignes d’armistice de 1949;
2) la souveraineté arabe sur la vieille ville de Jérusalem;
3) la participation de l’OLP et d’Arafat dans les négociations;
4) la pression de la CEE pour désengager les États-Unis envers Israël et « aligner ses politiques avec ceux des pays arabes. »
L’Europe, France en tête, se pliera peu à peu à toutes ces conditions.
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