* JESUS REVIENT *

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LA GRÂCE, SOURCE DE SATISFACTION ( Paul Calzada )

 

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« Nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce sur grâce » (Jean 1.16).

L’être humain est, par essence, un perpétuel insatisfait. L’herbe est toujours plus verte dans le pré à côté. Comme l’a dit Jean Rostand, avec un certain pessimisme, la seule certitude qu’il a, c’est celle de savoir que l’homme est un éternel insatisfait : « Que l’insatisfaction de l’esprit soit notre lot, qu’il faille nous résigner à vivre – et à mourir – dans l’anxiété et dans le noir, telle est une de mes certitudes ». Pour faire plus court, on pourrait dire de l’être humain qu’il n’est jamais satisfait : « plus il en a, plus il en veut ».

Pouvons-nous trouver une source qui puisse nous satisfaire pleinement ? L’apôtre Jean répond à cette question en nous parlant de plénitude apportée par la grâce constamment renouvelée.

A l’apôtre Paul qui demandait la délivrance de l’écharde qu’il portait dans sa chair, Dieu répond : « Ma grâce te suffit » (2 Corinthiens 12.9).

Paul, ayant retenu cette parole divine, des années plus tard, témoignera de cette satisfaction profonde qui l’habite, en écrivant aux Philippiens : « J’ai appris à être content dans l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance » (Philippiens 4.12). La satisfaction qui l’habitait découlait de cette grâce abondante de Dieu.

La grâce est une source inépuisable de satisfaction constante. Le légalisme peut nous amener à être satisfaits de nous-mêmes. C’est ce que nous voyons dans la parabole du pharisien et du publicain. Le pharisien est satisfait de ses œuvres, de ses actions, de ses pratiques religieuses : « Je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes… » ( Luc 18.11).

Par contre la grâce de Dieu nous permet d’être satisfaits de Dieu lui-même. Et cela, dans toutes les situations où nous nous trouvons, même lorsque ces situations sont pénibles. Lorsque Paul écrit aux Philippiens, et leur parle de son contentement, il était en prison, mais la grande grâce de Dieu lui suffit pour proclamer qu’il est comblé.

Dans la parabole du fils prodigue, nous voyons que le fils aîné, fidèle au travail et au service de son père est profondément insatisfait lorsque le père accueille son frère repentant. Ce fils aîné est l’exemple type du légaliste. Il est mécontent, il est insatisfait. Il ne sait pas se laisser saisir par la grâce du père.

Par contre le fils repentant est comblé par la grâce qui lui est accordée.

Un conseil pour aujourd’hui :

Êtes-vous insatisfaits ? Alors recevez ce conseil : Laissez-vous inonder par l’immense grâce divine, et elle produira en vous une satisfaction constante et intarissable.

 

« Nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce sur grâce » (Jean 1.16).

L’être humain est, par essence, un perpétuel insatisfait. L’herbe est toujours plus verte dans le pré à côté. Comme l’a dit Jean Rostand, avec un certain pessimisme, la seule certitude qu’il a, c’est celle de savoir que l’homme est un éternel insatisfait : « Que l’insatisfaction de l’esprit soit notre lot, qu’il faille nous résigner à vivre – et à mourir – dans l’anxiété et dans le noir, telle est une de mes certitudes ». Pour faire plus court, on pourrait dire de l’être humain qu’il n’est jamais satisfait : « plus il en a, plus il en veut ».

Pouvons-nous trouver une source qui puisse nous satisfaire pleinement ? L’apôtre Jean répond à cette question en nous parlant de plénitude apportée par la grâce constamment renouvelée.

A l’apôtre Paul qui demandait la délivrance de l’écharde qu’il portait dans sa chair, Dieu répond : « Ma grâce te suffit » (2 Corinthiens 12.9).

Paul, ayant retenu cette parole divine, des années plus tard, témoignera de cette satisfaction profonde qui l’habite, en écrivant aux Philippiens : « J’ai appris à être content dans l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance » (Philippiens 4.12). La satisfaction qui l’habitait découlait de cette grâce abondante de Dieu.

La grâce est une source inépuisable de satisfaction constante. Le légalisme peut nous amener à être satisfaits de nous-mêmes. C’est ce que nous voyons dans la parabole du pharisien et du publicain. Le pharisien est satisfait de ses œuvres, de ses actions, de ses pratiques religieuses : « Je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes… » ( Luc 18.11).

Par contre la grâce de Dieu nous permet d’être satisfaits de Dieu lui-même. Et cela, dans toutes les situations où nous nous trouvons, même lorsque ces situations sont pénibles. Lorsque Paul écrit aux Philippiens, et leur parle de son contentement, il était en prison, mais la grande grâce de Dieu lui suffit pour proclamer qu’il est comblé.

Dans la parabole du fils prodigue, nous voyons que le fils aîné, fidèle au travail et au service de son père est profondément insatisfait lorsque le père accueille son frère repentant. Ce fils aîné est l’exemple type du légaliste. Il est mécontent, il est insatisfait. Il ne sait pas se laisser saisir par la grâce du père.

Par contre le fils repentant est comblé par la grâce qui lui est accordée.

Un conseil pour aujourd’hui :

Êtes-vous insatisfaits ? Alors recevez ce conseil : Laissez-vous inonder par l’immense grâce divine, et elle produira en vous une satisfaction constante et intarissable.



02/03/2017
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