* JESUS REVIENT *

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LA MANIFESTATION DE LA DÉLOYAUTE (3) ( Docteur André Choubeu )

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7. A SEDUCTION – L’INTOXICATION ET LA MANIPULATION

« Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées; Je t’avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu; Tu marchais au milieu des pierres étincelantes » (Ezéchiel 28.14). Il arrive toujours pour l’homme non vraiment régénéré ou l’homme en général, de croire être le meilleur en regardant ou se comparer aux autres.

Dieu à travers Ezéchiel retrace une réalité palpitante. Lorsque toute personne est placée au sommet de la gloire, l’orgueil parfois démesuré peut en découler, et s’installe au point de renverser l’échelle de valeur. Généralement, quiconque arrive à ce niveau très élevé est hanté par l’esprit de suffisance, de dictature, et pousse à l’introduction d’un culte en l’honneur de soi. Nebucadnetsar, Absalom et plusieurs autres, ont érigé un monument en leur honneur. L’orgueil est en effet le péché qui caractérise notre nature déchue. Aucune sagesse, à l’exception de celle que le Seigneur accorde, ne peut mener au bonheur ici-bas ou même, à celui du ciel.

Le prince arrogant de Tyr pensait pouvoir protéger son peuple par sa propre puissance, et se considérait égal aux créatures célestes. S’il était possible de demeurer dans le jardin d’Éden, ou même d’entrer au ciel, aucune plénitude ne pourrait exister sans humilité, ni sainteté, ni spiritualité. Tout orgueil provient du diable. Ceux qui se livrent à de tels sentiments périront inexorablement. C’est donc cette mort spirituelle dont les effets du décret dans le monde surnaturel est signé en raison de la violation des principes du gouvernement de Dieu, que sa matérialisation ou application comment ses effets par plusieurs manifestation :

  • Détournement de la pensée saine des personnes de son environnement :

Absalom était si préoccupé par son idée de révolte qu’il prépara avec une si grande minutie, qu’il ne songea ni à se marier, ni à s’impliquer dans les choses de Dieu. Plus que tout rebelle, il vient installer son bureau de destruction devant l’entrée du palais de son père. Et comme Lucifer, il orchestre sans vergogne, le putsch contre son propre père. Il saisit l’opportunité pour jouer le jeu du diable en navigant à contrecourant de la justice qu’il prétend prôner et de la rationalité. Il inverse la donne en attribuant une raison à tout mécontent, même si ce dernier disait faux. Cette stratégie exige bien au sein des églises locales, des putschistes toujours très sournoisement orchestrent en grand nombre dans le silence et injectent leur poison mortel dans les consciences de nombreuses victimes qui souvent meurent inconsciemment dans le péché, parce qu’ayant cru aux agents du diable dont le mensonge est l’essence même de sa vie.

  • Transformation des faits du mal en bien :

Dans tous les cas, les auteurs de troubles ont déjà l’âme blessée, la conscience trouble et une avancée significative dans l’aveuglement spirituel. Alors, ils ne peuvent que tordre la vérité pour se fabriquer un grain de crédibilité dans la conscience des ignorants. Et comme l’homme a toujours tendance à prendre pour chèque certifié les paroles du premier venu, il gagne significativement le terrain et installe la méfiance.

Comme Lucifer, plusieurs par leur succès séduisent constamment cherchent à détourner les yeux du Pasteur principal pour les poser sur soi afin de mieux orchestrer une division très prochaine. On créé des groupe de prière en cachette dans les quartiers sans le dire à son Pasteur. On a des personnes que l’on suit en particulier sans le dire, fabriquant des astuces pour préserver ses arrières au jour où tout pourra sembler ne plus aller comme on envisageait. Celui qui séduit est ouvrier du malin (Ezéchiel 28.17). Les dons de Dieu ne sont pas une propriété de chacun, mais la manifestation de la grâce de Dieu pour l’édification des saints. Mais très souvent, dès que nous nous en servons pour nous glorifier nous-mêmes, ils deviennent l’instrument d’une chute proportionnée à leur grandeur. Au lieu que les privilèges de Dieu en notre faveur soit une occasion pour plus d’humilité dans le service, ils ne deviennent que le moyen de satisfaire l’orgueil et faussent par cette direction égoïste, le but ultime de Dieu. Quiconque s’y aventure est sans complaisance, banni de la présence divine et des dispositions gracieuses au ciel à son endroit. , sur lesquels Dieu l’avait placé.

Nous rencontrons le succès dans nos entreprises lorsque les conditions des principes et attentes de Dieu pour nous et à cet effet sont bien remplis. Paul et Barnabas ont la lourde mission de s’assurer du bon état des frères qu’ils ont conduit à Christ dans leur précédent voyage missionnaire. Toutefois, avant le départ, une question d’ordre éthique s’impose. Dans la précédente mission, Jean Marc, le cousin de Barnabas qui accompagnait les deux serviteurs de Dieu les lâché pour s’occuper d’autre chose que le but de Dieu pour eux. Se souvenant que Jésus dit que si quelqu’un met la main à la charrue et regarde derrière n’est plus propre pour le royaume des cieux, Paul juge juste d’exclure Jean Marc de l’équipe. Non que Paul le livrait au diable, mais juste qu’il estime que Jean Marc, ne semble pas s’être élevé à toute la hauteur de la tâche. Mais Barnabas, conduit et retenu quelque part, par des considérations de famille, s’obstine à maintenir Jean Marc dans l’équipe.

Une compréhension profonde nous conduirait à saisir la rigueur de Paul dans sa prise de position. Une légèreté diabolique caractérise aujourd’hui les hommes de Dieu à tel point que le manque de rigueur envers eux-mêmes et les brebis instaure un régime anarchique qui fabrique des chrétiens chocolat, fantôme ou de circonstance. C’est ainsi qu’élevés dans cet atmosphère nombreux chrétiens ne connaissant pas que Dieu a des principes deviennent de potentiels rebelles de demain. Non à la légèreté et oui à la fermeté dans l’intégrité est le mot d’ordre de quiconque veut aller loin avec le Seigneur.

Beaucoup de personnes, demeurant à Antioche, ayant entendu parler du dévouement et de la piété de Paul et Barnabas, furent également au courant de leur différend et de leur séparation ; il en sera ainsi pour notre témoignage, si nous donnons un libre accès aux désaccords entre frères ici-bas. Au finish, le livre des Actes ne contient plus le nom de Barnabas. Ressaisissons-nous et revenons de notre rébellion pour être agréables à Dieu.

« L’œil qui se moque d’un père et qui dédaigne l’obéissance envers une mère, les corbeaux du torrent le perceront, et les petits de l’aigle le mangeront » (Proverbes 30.17)

Par parent, nous entendons, l’aîné, le géniteur, celui qui a une certaine responsabilité ou un droit de regard sur nous, allant du patron au lieu de service au conducteur spirituel. Ces choses peuvent se manifester par une attitude :

  • déshonorant les parents
  • entêtement et sensualité (Deut 21.20)
  • manque de respect pour les parents (Deut 27.16)
  • dédaignant leur mère (Prov 15.20)
  • maudissant leur père (Prov 30.11)
  • de querelles dans le foyer (Michée 7.6)
  • de défaut de pourvoir (Marc 7.11)
  • de désobéissance (2Tim 3.2)

La manifestation du jugement de Dieu sur les fils rebelles vise en premier les yeux en préférence à toute autre partie du corps parce qu’ils sont d’une manière toute particulière étant le miroir de l’âme, et d’autre part, ils offrent aux becs des corbeaux la proie la plus facile. Tomber dans une faute de rébellion introduit systématiquement un état d’aveuglement spirituel sans précédent qui pousse au pire.

La séduction de l’injustice a une emprise très forte sur ceux qui périssent dans leur endurcissement, sur eux seuls, et la raison en est qu’ils n’ont pas reçu ou clairement dit, accepté l’amour de la vérité pour être sauvés. La vérité divine sauve ceux qui l’aiment, comme le mensonge perd ceux qui s’y adonnent, parce que l’un et l’autre de ces attachements constitue tout un état d’âme (2Th 2.12). L’amour de la vérité, est un état d’âme qui nous dispose à l’accueillir, ne nous est pas naturel. Nous devons recevoir l’amour de Dieu qui crée en nous un cœur nouveau (2Cor 3.14,15 ; Eph 3.16-19).

8. LA RÉBELLION OUVERTE

Que les jeunes puissent considérer Absalom, pendu à un arbre ! Il était maudit, abandonné du ciel et de la terre ; que les enfants puissent voir à quel point le Seigneur aurait horreur d’une telle rébellion contre leurs parents ! Rien ne peut préserver des hommes de la misère et du mépris, sauf la Sagesse et la Grâce merveilleuses de Dieu !

Le comportement d’Absalom laisse une marque honteuse dans la Bible : 2Sam 3.3 ; 13.29,37 ; 14.25 ; 15.2,14 ; 17.1 ; 18.9,14,33. Un sombre tableau présente Absalom dans de lugubres besognes :

Tue son frère (2Sam 13.29)

Il s’exile de la maison familiale (2Sam 13.37)

Renommé pour sa beauté physique et non spirituelle (2Sam 14.25)

Dans le refus de reconnaître sa faute et se repentir, il devient politicien (2Sam 15.2,3)

Il conspire contre David, son père (2Sam 15.13,14)

Sa fin est prématurée (2Sam 18.9)

Il y a quelques cas :

  1. Lucifer : «Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui » (Apoc 12.7).
  2. Absalom combat contre son père : « Et David dit à Abischaï et à tous ses serviteurs: Voici, mon fils, qui est sorti de mes entrailles, en veut à ma vie; à plus forte raison ce Benjamite ! Laissez-le, et qu’il maudisse, car l’Eternel le lui a dit. Peut-être l’Eternel regardera-t-il mon affliction, et me fera-t-il du bien en retour des malédictions d’aujourd’hui » (2 Sam 16.11)
  3. Absalom prend la place de son père : «On dressa pour Absalom une tente sur le toit, et Absalom alla vers les concubines de son père, aux yeux de tout Israël » (2 Sam 16.22)
  4. Judas trahit et combattît son maître : « Jésus parlait encore quand survint Judas, l’un des Douze; il était avec une grande troupe de gens armés de bâtons qui venaient de la part des grands prêtres et des anciens du peuple. Celui qui livrait Jésus leur avait donné un signe en disant: « Celui à qui je donnerai un baiser, c’est lui ; arrêtez-le ! » (Mt 26.47-48).

Le push n’a jamais été un principe de Dieu. L’ordre est un principe qui régit tout ce que Dieu fait. Il y a rébellion lorsque contestation d’autorité est manifeste. Se rebeller veut dire qu’on se place en position d’indiscipline, s’opposant aux ordres auxquels on est supposé normalement se soumettre. Refuser de se soumettre est un état d’esprit qui place quelqu’un dans une position d’autonomie, de suffisance, de capacité et d’une autorité imaginaire.

‘‘Car la rébellion est autant que le péché de divination et la résistance est autant que l’idolâtrie et les théraphins. Puisque tu as rejeté la parole de I’Eternel, il te rejette pour n’être plus roi » (1Sam 15.23).

Pour revenir de la rébellion, nous devons retenir que la repentance devant Dieu n’est pas une simple modification d’intention, mais aussi un changement de vie. Se rebeller est un réel détournement des principes fondamentaux de la société humaine. C’est aussi repousser les principes et programme de gouvernement divin dans l’application sur terre est consignée dans la Bible en ces termes : ‘‘que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel’’ (Mt 6.10). Si le règne de Dieu doit avoir lieu sur terre, nous retenons que ‘‘le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit’’ (Romains 14.17). Dans toute rébellion, il y a violation de la justice que l’on estime devenue injustice. En fait, on se rebelle contre une autorité établie à qui on a d’abord fait allégeance par le passé en lui manifestant notre soumission un tant soit peu. Lorsque la paix a d’abord existée par notre obéissance passée, la rupture de cette relation de paix et d’harmonie introduit une sorte d’anarchie qui ouvre la porte à un très grand désordre. La paix, la justice, la joie ne subsistent plus et l’ordre renversé ne peut introduire ou maintenir la volonté et la paix qui favorise l’harmonie d’antan ou glorifie Dieu.

Lorsque les Ecritures disent "que ton règne vienne" et que ta "que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel", Dieu veut que nous sachions qu’avant de parvenir au ciel, que devons faire de la terre un ciel anticipé en accomplissant la volonté par la soumission à son gouvernement théocratique comme l’enseigne l’Eglise. Pour que l’accomplissement de la volonté de Dieu soit une éventualité de manière qu’on rende à chacun ce qui lui est dû, il fut s’assurer qu’au jour du dernier jugement, une approbation divine serait donnée à tout ce qui a été dit, pensé ou fait par nous et pour les autres.

L’église en Jésus-Christ est comme l’épouse qui s’est unie à son époux qui a fidèlement exécuté la volonté de son Père sur la terre. Le ciel et la terre sont une figure très juste de l’homme et de la femme, car la terre ne produit des fruits qu’autant qu’elle est fécondée par le ciel. Cette étape d’étude nous laisse comprendre que les difficultés que nous rencontrons sont non un moyen qui favoriserait la rébellion, mais plutôt qui nous faciliterait la transformation de notre caractère pour une adaptation de notre vie dans tout son système aux principes du gouvernement de Dieu.

Tout ce qui s’oppose à notre conception ou à notre égo n’est pas forcément un mal, mais un test révélé négatif de notre intérieur qui nécessite une reformation divine. Ainsi, nous ne demandons pas que Dieu fasse ce qu’il veut, mais que, quant à nous, nous puissions faire ce que Dieu veut. Or, il n’y a que la volonté divine pour nous rendre capables de bonnes œuvres.

Par les temps présents, convaincre les hommes de leur insubordination devient très difficile. Aussi, au sein de l’église, une obéissance humble, sincère, et entière à la volonté divine, devient sine qua non pour une marche intègre avec Dieu. Tous nos actes, paroles et pensées doivent être agréables au Seigneur dans tous nos sacrifices personnels ou diverses offrandes. Dieu étant plus honoré et glorifié par notre obéissance que par actes, soumettre notre motivation intérieure au gouvernement de Dieu serait un départ important pour échapper à la rébellion. Refuser de se soumettre à l’autorité et à la volonté divine, est une preuve de notre insubordination. Quiconque serait comme tel, non seulement est incapable de diriger les autres selon Dieu, mais est en même temps un fils de la rébellion.

9. LA DIVISION

« Il y eut de nouveau, à cause de ces paroles, division parmi les Juifs » (Jean 10.19)

Du grec schisma, σχισμα définit la division comme déchirure, schisme, dissension. Ce mot résume les faits et les conséquences de la séparation, de la désunion, lesquels introduisent de manière systématique, la dichotomie, la dislocation, la distinction, la rupture, la sécession, la différence, la barrière, la rébellion, la révolte et les querelles. Il convient de préciser que la dissension est une discorde provoquée par des opinions, des sentiments différents.

Une division n’intervient que lorsqu’il y avait union. Si donc, l’union était en Christ, le Saint-Esprit en étant le lien, une rupture de ce lien est aussi sérieuse que nous n’en pensons. Nous nous souviendrons que lors de la construction du tabernacle, il fut fermement recommandé à Moïse de faire des planches soutenues par deux socles en bronze chacune, retenus par deux barres de fer à l’extérieur et traversées par une barre de fer à l’intérieur des planches. Cette barre de fer intérieure et le lien du Saint-Esprit qui maintient unis tous les membres du corps de Christ. Prétendre détruire de soi ou sa basant ses opinion un tel lien sacré reviendrait à faire la guerre à Dieu pour séparer ce qui Dieu a uni.

Satan mène beaucoup de gens à la ruine spirituelle, en leur faisant tourner en dérision la Parole de Dieu et ses ordonnances. Les hommes n’aiment pas que l’on se moque de leur nourriture, nécessaire à la vie, cependant ils acceptent de se moquer eux-mêmes de l’essentiel qui est la nourriture spirituelle, en la déshonorant pour la satisfaction de leurs intérêts.

Si notre zèle et notre ferveur pour la cause de Christ, dans notre ministère pour conduire ses brebis dans sa bergerie, provoquent des insultes, nous avons intérêt de ne pas en prendre la garde. Notre Maître, souvenons-nous a été traité avec mépris. A plus forte raison nous ! Nous constatons que les pharisiens s’opposaient aux paroles de Jésus (Jean 9.40) et persistaient dans leur inimitié et l’exprimaient par des injures.

Lorsque les esprits de la division hantent et possèdent quelqu’un, il est revêtu malicieusement des caractères de la passion la plus violente et de la malice la plus obstinée. Devenu impie par son obstination à une fausse liberté et à la folie de la grandeur dans son libertinage parce se hisse aux nombreux « Je » comme exprimé par Satan dans Esaïe 14, son arrogance ferme ses yeux à la vérité, et ce qui devrait les toucher et l’amener à la raison ne fait que l’endurcir davantage parce qu’il est tombé dans l’étreinte de la séduction de l’iniquité. Dès lors, il fera tous les efforts pour rendre suspect les éventuels témoignages de Dieu sur celui qu’il quitte.

Généralement, lorsque survient la révolte et la division, c’est celui qui se sépare qui parfois se dresse à la hauteur spirituelle de son leader qu’il quitte, ce allant jusqu’à l’excommunier. Ceci est une faute spirituelle très grave car un fils n’a pas qualité, ni hier, ni aujourd’hui, ni demain de mettre sous discipline son père. Il m’est souvent arrivé d’entendre les dissident dirent de celui qui les a enseigné, formé, encadré et ordonné, « après tout, il est un serviteur comme nous ». S’imaginer être à la dimension spirituelle de son père est une insulte à l’éthique et à la vérité divine. L’attitude Moïse devait nous inspirer grandement. Il se prosterna devant son beau-père, de l’imminent serviteur de Dieu qu’il était. Quelle leçon très frappante pour nous ! Bien qu’Eli fût spirituellement aveugle, son expérience du service de Dieu fut mise à profit pour l’éducation bénéfique de Samuel.

Pendant la période de division, l’aveuglement de tous ceux qui sont dans le camp de la rébellion, regardent comme des ignorants, ceux qu’ils quittent, étant obscurcie d’entendement et égarés dans leur pensées. A tous ceux qui aiment la vérité et que le monde persécute, le Seigneur leur accorde de nouvelles illuminations dans leur entendement spirituel et de nouveaux dons pour plus d’excellence dans le ministère, pendant que ceux qui se présument d’eux-mêmes et qui rejettent avec obstination la vérité, lorsqu’elle se présente à eux, demeurent dans leur incrédulité et périssent dans leurs ténèbres.

Le camp des putschistes qui ont organisés la rébellion agissent toujours comme on le fit pour le Seigneur : « à ce moment même s’approchèrent quelques pharisiens qui dirent à Jésus : pars et va-t’en d’ici, parce qu’Hérode veut te tuer » (Luc 13.31).

Au-delà de toute machination des instruments de Satan qui sont actifs pour la déchirure, il convient de dire comme Jésus : « aujourd’hui, demain et le jour suivant, je dois poursuivre ma route ; il ne convient pas qu’un prophète meure hors de Jérusalem » (Luc 13.33).

Toute déloyauté conduit à l’aveuglement et finalement l’égarement (2Théss 2.8-10).

Absalom est l’illustration d’une manifestation de rébellion ouverte (2 Sam 15.22-23) et nous n’ignorons pas quel a été sa fin.

Dr. André CHOUBEU



03/05/2015
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