* JESUS REVIENT *

Malheureux, sans espoir pour l'avenir, malades, seuls, sans abri… Ils sont une frange de la société, direz-vous. Oui, mais ils sont toujours plus nombreux, à notre honte, même dans notre pays.

Toutefois, sur le plan moral, affectif, de l'utilité de la vie, de son but, est-ce que tout être humain sans Dieu ne se trouve pas dans une indigence semblable? La Bible dit: “Nous avons tous été errants…, nous nous sommes tournés chacun vers son propre chemin” (Ésaïe 53. 6). Vivre sans Dieu, c'est vivre sans but valable. Nier son existence ôte tout véritable sens à la vie. Refuser son amour, c'est s'enfoncer dans le doute et l'amertume.

Dans la Bible quelqu'un priait: “Tout refuge est perdu pour moi; il n'y a personne qui s'inquiète de mon âme. J'ai crié vers toi, Éternel! J'ai dit: Tu es mon refuge” (Psaume 142. 4, 5).

La réponse divine à notre errance morale, c'est de nous réfugier dans la bonté de Dieu. Jésus est venu nous la faire connaître. N'a-t-il pas dit: “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28)? Celui qui met sa confiance en lui est reçu dans la famille de Dieu. “À tous ceux qui l'ont reçu (Jésus Christ), il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Croire en son nom, c'est aussi reconnaître que ma vie, jusque-là sans Dieu, a été perdue et l'a offensé. Jésus a réglé cela en allant à la croix et il nous dit: “Je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi”.