Serviteur parfait ( Plaire au Seigneur )
Il me réveille chaque matin, il réveille mon oreille pour que j’écoute comme ceux qu’on enseigne. Le Seigneur l’Éternel m’a ouvert l’oreille, et moi je n’ai pas été rebelle, je ne me suis pas retiré en arrière.Esa 50:4,5
Esaïe présente souvent le serviteur de Dieu envoyé pour ramener le peuple d’Israël à l’Eternel, mais aussi pour apporter le salut de Dieu à toutes les nations. Pour accomplir cette mission, le Créateur du monde vient sous la forme d’un homme dont le nom est Jésus; son obéissance à Dieu sera absolument parfaite.
Pour obéir d’une manière intelligente, un serviteur doit d’abord écouter attentivement son maître afin de bien comprendre sa volonté et la manière dont elle doit être exécutée. Eh bien! Jésus, dans toute sa vie terrestre, tout en restant Dieu, se tient à l’écoute de celui qui l’a envoyé. C’est ainsi que nous le voyons, dans les évangiles, prier son Père, longtemps avant le jour. L’expression chaque matin
met l’accent, nous le comprenons, sur la régularité de ces communications et le fait qu’elles précédaient l’activité quotidienne du Serviteur.
L’obéissance ne le conduit pas dans un chemin facile. Les difficultés qu’il doit affronter et qu’il connaît dans leur détail avant qu’elles se produisent, ces difficultés décourageraient tout autre que lui. Mais, béni soit-il, librement et par amour, il ne se dérobe pas à sa mission. L’opposition des hommes s’amplifie chaque jour davantage, ainsi que la souffrance qui en découle, quand il approche de la croix. Pourtant il a été obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix
(Php 2:8).
Le Seigneur est le modèle de ses rachetés qui sont, comme lui, des serviteurs durant toute leur vie, chacun là où il est placé, là où le Maître décide de l’envoyer. Il leur ouvre les oreilles, si du moins ils sont disposés à servir fidèlement, pour leur montrer leur mission et la manière de l’accomplir.
Attention! L’obéissance peut entraîner beaucoup de souffrances. Rien de comparable à ce que le Seigneur a souffert, mais, hélas! il suffit parfois d’une petite moquerie pour que nous nous retirions en arrière. Demandons-lui son secours pour l’honorer par une obéissance qui trouve sa source et sa force dans l’amour dont il nous aimés.
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