"TOUT ABANDONNER A JESUS"
Lecture : Philippiens 4/19
J'aimerais vous livrer cette anecdote qui, plus qu'un long discours, illustrera ce que doit être l'attitude de notre foi à l'égard de nos soucis :
La nuit est tombée depuis un moment déjà ; un randonneur imprudent qui s'est perdu tâche de rentrer à la maison. Il s'égare et tombe dans un précipice. Pendant sa chute, il parvient à saisir une branche et y reste suspendu, haletant, criant autant qu'il peut, plein d'angoisse ; cela dure plusieurs heures.
Finalement, ses mains lâchent prise. Dans un adieu désespéré à la vie, il se laisse tomber... cinquante centimètres plus bas ! Ses pieds viennent de toucher le sol ! Il ne savait pas qu'il était si près. S'il avait renoncé plus tôt à ses efforts, toute cette détresse lui aurait été épargnée.
Nous nous reconnaissons tous dans cet homme. Nous nous tourmentons, nous agitons, nous débattons, cherchant des solutions à nos problèmes. Avons-nous oublié les promesses de Dieu ? Ne savons-nous pas lui faire confiance ?
On raconte que le réformateur, Martin Luther, se mettait le soir à sa fenêtre et disait : « Mon Dieu, est-ce là mon propre monde ou le vôtre ? Est-ce mon Eglise ou la vôtre ? Si c'est votre monde et votre Eglise, je vous en prie, veillez sur eux. Pour moi, je suis fatigué et je vais me coucher. A demain mon Dieu. »
Aucun fardeau n'est trop lourd pour les bras tout-puissants de Dieu.
J-R P.
J'aimerais vous livrer cette anecdote qui, plus qu'un long discours, illustrera ce que doit être l'attitude de notre foi à l'égard de nos soucis :
La nuit est tombée depuis un moment déjà ; un randonneur imprudent qui s'est perdu tâche de rentrer à la maison. Il s'égare et tombe dans un précipice. Pendant sa chute, il parvient à saisir une branche et y reste suspendu, haletant, criant autant qu'il peut, plein d'angoisse ; cela dure plusieurs heures.
Finalement, ses mains lâchent prise. Dans un adieu désespéré à la vie, il se laisse tomber... cinquante centimètres plus bas ! Ses pieds viennent de toucher le sol ! Il ne savait pas qu'il était si près. S'il avait renoncé plus tôt à ses efforts, toute cette détresse lui aurait été épargnée.
Nous nous reconnaissons tous dans cet homme. Nous nous tourmentons, nous agitons, nous débattons, cherchant des solutions à nos problèmes. Avons-nous oublié les promesses de Dieu ? Ne savons-nous pas lui faire confiance ?
On raconte que le réformateur, Martin Luther, se mettait le soir à sa fenêtre et disait : « Mon Dieu, est-ce là mon propre monde ou le vôtre ? Est-ce mon Eglise ou la vôtre ? Si c'est votre monde et votre Eglise, je vous en prie, veillez sur eux. Pour moi, je suis fatigué et je vais me coucher. A demain mon Dieu. »
Aucun fardeau n'est trop lourd pour les bras tout-puissants de Dieu.
J-R P.
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