* JESUS REVIENT *

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Trop lourds vos fardeaux ? (1) ( Bob Gass )

 

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“Mon joug est facile à porter et Mon fardeau léger.” Matthieu 11.30 (

Si les pressions de la vie sont trop lourdes pour vous, votre corps vous en informera rapidement. Quand Dieu nous a créés, Il a placé en nous un mécanisme pour nous avertir que les fardeaux que nous portons sont devenus insupportables. C’est pourquoi un massage de la nuque aide souvent à débloquer ces tensions. Les nouvelles technologies, comme Internet, les réseaux sociaux, les portables nous permettent de rester en contact permanent avec les sources diverses de nos fardeaux. Qui ne souffre pas aujourd’hui d’un fardeau trop lourd à porter ? Un enfant égaré, un mariage qui se délite, des soucis financiers, des pulsions malsaines, la peur de la solitude, ou tout autre “épine dans la chair” dont vous ne savez comment vous débarrasser. Trop souvent soit nous luttons avec courage pour les supporter, soit nous faisons beaucoup d’efforts pour les surmonter. Et quand nous échouons, nous sombrons dans le doute ou le désespoir. Ou nous choisissons de nous reposer un certain temps loin
de tout, nous imaginant qu’ensuite tout ira mieux. Le problème c’est que nous partons en vacances avec les mêmes fardeaux sur les épaules ! Souvenez-vous du prophète Elie s’enfuyant loin de Jézabel : quarante jours de marche pour être précis et quand il arrive à destination et rencontre Dieu, c’est pour s’entendre dire qu’il lui faut presque revenir à la case départ ! (1 Rois 19. 2-15 ( ). Quelqu’un a fait remarquer que Jésus n’a pas couru une seule fois pendant les trois ans de Son ministère.

Les Evangiles nous disent toujours qu’Il marchait d’un lieu à l’autre et faisait parfois des haltes de plusieurs jours avant de continuer Sa mission. Luc nous explique que Jésus, après l’annonce de la mort de Lazare, passa deux jours de plus de l’autre côté du Jourdain avant de se mettre en route. La précipitation, l’impatience ou la frustration sont autant d’obstacles qui nous empêchent de nous décharger de nos fardeaux. Se mettre sous le joug de Jésus exige que nous marchions à la même vitesse et dans la même direction que Lui. Deux boeufs attelés sous le même joug sont incapables de s’éloigner l’un de l’autre. Leur travail n’aura d’effet que s’ils tirent la charrue ensemble, au même rythme. Sa parole pour vous aujourd’hui est d’apprendre à marcher à la même vitesse que Jésus !



17/05/2015
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