À PROPOS DE NOËL… PAR THOMAS
(Note M.A.V.: Une polémique malsaine , indécente par ses moqueries, se déroulant actuellement sur un site connu qui, à l’évidence, n’est plus chrétien que de nom, je trouve utile de mettre cet article de Thomas, même si Noël est passé. J’ai mis en fin d’article les voeux de Thomas. Site : http://www.rencontrerdieu.com)
Que sa Grâce, sa miséricorde et sa faveur repose sur ceux qui lui appartiennent et qui craignent son nom merveilleux selon qu’il est dit : « Servez l’Eternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement » (Psaumes 2.11). Amen !
Dans cette volonté de toujours plus approcher la sagesse divine et de demeurer dans la crainte du Dieu des cieux, voici ce que disaient les réformateurs protestants au sujet de Noël :
Ce qu’enseignaient les premiers réformateurs concernant Noël, ce que dit la Saine Doctrine et ce qu’enseigne la Crainte du Seigneur
Dans un sermon intitulé « Christmas observation by Charles Spurgeon », il est très intéressant de méditer la conclusion claire et véritable au sujet de Noël de Charles Spurgeon, un célèbre prédicateur de la réforme :
« Ceux qui suivent la coutume d’observer de Noël, ne suivent pas la Bible, mais des cérémonies païennes. »
Il est instructif de constater que bon nombre de conducteurs de la Réforme protestante, y compris Calvin, Zwingli, Farel, Knox et d’autres, reconnurent qu’un retour à la Bible exigeait l’abandon de toutes sortes de pratiques étrangères à la Bible, y compris le culte des images, les vœux de célibat pour le clergé, la prière pour les morts, et oui, les différentes fêtes, telles que Noël, Épiphanie, Ascension, Assomption, et les jours consacrés aux divers saints. Jusqu’au début du vingtième siècle bon nombre de dénominations protestantes, y compris les Presbytériens, les Quakers, les Baptistes et d’autres ne marquaient pas du tout la fête de Noël. En 1871 par exemple, Charles Spurgeon, dit dans son sermon du 24 décembre:
« Nous n’avons pas d’égard superstitieux pour les temps et les saisons… nous ne trouvons aucune justification dans les Écritures pour l’observance de l’anniversaire de naissance du Sauveur; et, par conséquent, cette observance n’est qu’une superstition, n’ayant pas été autorisée par Dieu. »
Par contre, le Dieu vivant a institué un jour Sanctifié et bénis : le Shabbat (du vendredi soir au samedi soir) ainsi que plusieurs autres fêtes selon Son coeur, qu’il a commandé à ceux qui le craignent de célébrer : Pessah(pâques), Shavouot (pentecôte), fêtes des tabernacles, des trompettes, Yom Kippour, Hanoukkah (fête de la dédicace) etc. En dehors de cela, il s’agit de traditions païennes majoritairement importées par le catholicisme et venant bel et bien infecter l’huile pure de la vérité par le compromis et le paganisme selon qu’il est dit : « Ils suivirent les coutumes des nations que l’Eternel avait chassées devant les enfants d’Israël » (2 rois 17.8). « Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. Ils ne craignent point l’Eternel, et ils ne se conforment ni à leurs lois et à leurs ordonnances, ni à la loi et aux commandements prescrits par l’Eternel » (2 Rois 17.33-34).
En décembre, il existe une vraie fête non païenne et fidèle à la Torah – Hanoukkah et Yeshoua
Pour tous ceux qui aiment et craignent le Dieu unique et véritable, Ses ordonnances et Sa Parole, n’oublions pas que son calendrier et ses fêtes sont infiniment plus glorieuses et merveilleuses que les coutumes païennes présentes dans le monde et malheureusement encore présente dans une majeure partie de l’église d’aujourd’hui.
Pour ceux qui auraient quelques difficultés à abandonner la fête païenne et commercial de Noël, sachez qu’en décembre, durant 8 jours, il existe une merveilleuse fête approuvée de Dieu et bien plus glorieuse que Noël : Hanoukkah qui est la fête de la dédicace ou fête des lumières, fête que le peuple juif observait notamment depuis le 2ème siècle avant J.-C, qu’ils observent toujours, fête que Yéshoua et ses disciples respectaient (voir Jean 10.22).
Cette fête commémore un miracle incroyable : le combat d’une poignée de « craignant Dieu » avec à leur tête Juda Maccabé (2eme siècle avant Yéshoua). Juda ou Yéoudah en Hébreux, prend pour nom Maccabi, acronyme en hébreux du verset « qui est comme toi, Dieu ! ». Cette histoire se trouve dans les livres des Maccabés. Juda et les siens se battirent contre l’oppression et la persécution des Grecs pour garder la Sainte Torah de Dieu (l’horreur des persécutions atteignaient leur comble et les Grecs tuaient quiconque voulait observer la Loi de Dieu). Mais cela se termina par la victoire des « peu nombreux sur la multitude, des faibles sur les puissants » car le Dieu d’Israël fut avec les guerriers de Juda selon qu’il est dit : « Car j’honorerai celui qui m’honore » (1 Samuel 2.30). Juda et les siens donnèrent donc la victoire à Israël car Dieu combattait avec eux et le temple fut de nouveau remis en état et Israël en sécurité.
Quantité de miracles eurent lieu durant cette guerre pour la vérité et la saine doctrine mais un miracle particulier fut retenu pour des raisons aussi riches que profondes (que je ne détaillerais pas ici) : Une fois la victoire remportée et le temple retrouvé, au moment d’allumer la ménorah dans le temple, il ne restait qu’une petite fiole d’huile pure normalement juste suffisante pour allumer la ménorah durant une journée. Elle dura miraculeusement 8 jours, le temps de fabriquer la nouvelle huile… En souvenir de ce miracle, chaque soir de Hanoukkah, pendant 8 jours, nous allumons les lumière de la fête à la nuit tombé. Nous commençons par une unique flamme et en ajoutons une nouvelle chaque soir. montrant ainsi que, même si la lumière peut sembler parfois bien petite, elle grandit toujours jusqu’à illuminer la Ménorah et chasser les ténèbres qui l’entourent. Il n’est évidemment pas interdit d’offrir des présents à ce moment là…
Hannoukka, qui est donc la fête du zèle du combat pour garder la Torah de Dieu, trouve une belle signification en Notre Sauveur Yéshoua : Tout comme Juda combattit pour garder la Torah de Dieu contre l’influence Grec Païenne, de même, le Lion de la tribu de Juda, notre Messie Yeshoua, est « venu comme une lumière dans le monde » en gardant la Torah de Dieu jusqu’à offrir sa vie en sacrifice afin de restaurer et de purifier le temple de nos vies par ce miracle merveilleux de la régénération. Yéshoua a été écrasé et broyé sur la croix du calvère, donnant ainsi l’huile du Salut pour faire brûler la Ménorah de nos coeurs dans le temple de nos corps. Yeshoua purifie notre temple et y fait briller la lumière du Salut ! Ainsi, pour quiconque croit dans le Messie Yéshoua et l’honore, l’huile pure de la vérité alimente cette flamme dans les coeurs régénérés de ceux qui lui appartiennent et, à l’image d’Hanoukkah, cette flamme va en grandissant jusqu’à la pleine lumière : c’est la sanctification ! Petite cerise sur le gâteau : l’ensemble additionné de la valeur numérique de Yéshoua en hébreux donne : 8 comme ces 8 jours de lumières de Hanoukkah ! (YESHOUA (yud10 + shin300 + vav6 + ayin70) = 386 = 3+8+6 = 17 et 1+7 = 8). Mais attention : Une seule chose peut éteindre de nouveau cette lumière du Salut : la profanation spirituelle et physique du temple et la pollution de l’huile sainte par la transgression de la Torah et le compromis avec le monde et les traditions païennes qui est une souillure. Une chose permet de continuer à faire brûler la flamme du Salut sur cette Ménorah posée dans le temple de nos corps : la repentance régulière, la crainte de Dieu, la piété, la sanctification, la fidélité à la saine doctrine ! La crainte de Dieu est une composante importante de cette huile selon qu’il est dit :
« La crainte de l’Eternel est une source de vie, Pour détourner des pièges de la mort. Elle enseigne la sagesse, mène à la vie, la crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse et de la science. Oui, Mieux vaut peu, avec la crainte de l’Eternel, Qu’un grand trésor, avec le trouble. » (Livre des Proverbes)
Quiconque craint l’Éternel ne prend pas à la légère ses commandements. La crainte de L’Éternel nous donne d’abandonner les commandements d’homme et autres traditions païennes selon qu’il est dit : « Ainsi parle l’Eternel : N’imitez pas la voie des nations » (Jérémie 10.2). afin de ne pas entendre ce terrible reproche du Seigneur : « Un fils honore son père, et un serviteur son maître. Si je suis père, où est l’honneur qui m’est dû ? Si je suis maître, où est la crainte qu’on a de moi? Dit l’Eternel des armées à vous, sacrificateurs, Qui méprisez mon nom, Et qui dites : En quoi avons-nous méprisé ton nom ? » (Malachie 1:6)
Puissions-nous tous faire avec David, cette merveilleuse prière : « Enseigne-moi tes voies, ô Eternel ! Je marcherai dans ta fidélité. Dispose mon coeur à la crainte de ton nom. » (Psaumes 86:11)
En cette période de fin d’année, je vous souhaite à tous le meilleur dans vos vies ! Je veux glorifier l’Éternel pour ses bontés et sa miséricorde et vous bénir tous abondamment par cette prière + quelques joyaux de vérités sortis du grand trésor de l’Éternel !
Que la vérité et l’amour selon Dieu viennent jeter de profondes racines dans vos coeurs ! Que l’Éternel des armées, le Dieu d’Israël, le Dieu de toute vie, le Dieu de toute chair, le Dieu éternel, invisible et 3 fois Saints soit glorifié au nom de son précieux Messie Yeshoua, l’empreinte de sa personne, le reflet sublime de sa Gloire ! Son nom est grand, Saint et redoutable, Il est paré de majesté et de Gloire, il étend sa bonté sur les petits, les faibles et les humbles du pays, sur ceux qui le craignent et qui gardent fidèlement son alliance, ses préceptes, ses ordonnances et toutes paroles qui sortent de la bouche du Roi des rois !
Notre Dieu abaisse l’orgueil des hautains et il brise tous leurs appuis, il les couvre de confusion et leurs pensées périt, Mais il élève les humbles, guérit les cœurs brisés, contrits, humiliés et repentants et il les rempli d’une joie ineffable en leur faisant goûter aux fruits exquis du Salut et à l’huile pure de sa Sagesse. Oui, notre Dieu est vivant et il fait de grandes choses en tout temps pour ceux qui ont le coeur tout entier à Lui ! Il fait connaitre des trésors antiques à ceux qui le craignent et qui gardent ses commandements avec un coeur vrai mais il a en horreur les coeurs doubles, les piétés d’apparences et ceux qui pratiquent la médisance en ayant de mauvaises pensées envers leur prochain ! Celui qui veut se perdre agit de la sorte, il abandonne la crainte de l’Éternel en suivant les fables de son coeur, il prend les pensées de son coeur pour celles de Dieu et suit toute sorte de commandements d’homme sans savoir qu’il se dirige vers le séjour des morts. De tels hommes ont la légèreté à la bouche et le mal dans leur coeur Mais la Crainte de Dieu et l’amour de son prochain sont un rempart pour les fils de l’homme et un parfum de bon odeur qui monte devant le trône du tout puissant.
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