12 octobre 2015

Lisez | 2 Thessaloniciens 3.7-10 (1585)

Le Seigneur a appelé les chrétiens à être ses ambassadeurs auprès d’un monde perdu et souffrant. Nous devons donc l’y représenter par notre caractère, notre conduite et notre conversation dans nos interactions avec notre famille, nos amis, nos voisins et nos collègues.

Dieu s’attend à ce que nous travaillions diligemment et fidèlement. Dans notre culture égoïste et hédoniste, il est néanmoins facile de devenir paresseux. Ce péché est funeste pour le chrétien puisqu’il recèle de nombreux dangers : il peut affecter notre témoignage pour Christ, endommager nos relations et nous faire gaspiller le temps et les talents que le Seigneur nous a attribués. De plus, il peut nous transformer en personnes peu dignes de confiance.

La paresse revêt souvent la forme de la tergiversation. Nous remettons un projet à plus tard et continuons d’en retarder l’amorce. Ou nous attaquons un projet et trouvons des raisons de ne pas le compléter. À coup sûr, notre fiabilité aléatoire ternit notre témoignage. Si nous sommes négligents en nous acquittant de nos responsabilités, nous serons un piètre exemple. Nous ne devrions pas non plus nous désintéresser de nos proches ou des besoins des autres.

Un comportement insouciant représente faussement notre identité en Christ. Si vous êtes conscient de vous être relâché dans un certain domaine, confessez au Seigneur que vous n’avez pas vécu comme vous auriez dû et demandez-lui pardon. Choisissez de vous détourner de votre paresse et de votre indolence. Priez-le de vous transformer en personne persévérante qui travaille diligemment pour lui.