* La vie est faite de batailles * !
“J'irai moi-même avec toi et Je t'accorderai le repos.” (Exode 33/14)
Les contes de fées se terminent avec les mots “Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants...” Pourtant la vie réelle n’est pas du cinéma.
Jésus ne nous a jamais promis que nous connaîtrions un bonheur idyllique dès notre conversion. Au contraire Il nous a avertis que Ses bénédictions s’accompagneraient de tribulations et de problèmes.
Notre manière d’aborder les difficultés de la vie dépend souvent de notre éducation, de l’exemple que nous ont inculqué nos parents par exemple.
Peut-être les vôtres vous ont-ils poussé à toujours vous dépasser, à ignorer les échecs et les déceptions et à aller de l’avant en serrant les dents.
Vous avez abordé la vie adulte en ne voyant qu’une route semée d’embûches à surmonter. Vous vous croyez forts et aguerris, comme Samson. Ou peut-être votre éducation vous a encouragé à user de feintes et de stratagèmes plus ou moins honnêtes pour atteindre vos buts.
Jacob aurait pu excuser ses actions en disant que sa mère l’avait poussé à la fourberie et au mensonge. Mais il reconnut plus tard que Dieu était l’instigateur de sa fortune et que ses méthodes douteuses ne lui avaient pas apporté le résultat escompté.
Dieu veut nous accompagner chaque jour de notre existence et nous faire entrer dans Son repos.
Même derrière les déboires de la vie nous devons chercher la main de Dieu à l’oeuvre, car “nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu'Il a appelés selon Son plan” (Romains 8. 28).
Il veut nous conduire par la main et nous aider à traverser des difficultés que nous sommes incapables de comprendre.
Quand Moïse se sentit découragé par l’ampleur de sa tâche, Dieu le rassura avec ces mots : “J'irai moi-même avec toi et Je t'accorderai le repos”. Il ne comptait pas laisser le prophète se débattre seul avec les problèmes de tous les jours.
Mais ne refusez pas l’aide de Dieu, le “repos” qu’Il tient à vous accorder, simplement à cause de préjugés néfastes. Dieu est capable et surtout désireux de nous conduire, nous encourageant si nécessaire, parce qu’Il nous aime comme un père amoureux fou de ses enfants.
Ecoutez : “C’est pourtant Moi qui avais appris à marcher à Ephraïm, les prenant par les bras, mais ils n’ont pas reconnu que Je prenais soin d’eux. Je les menais avec des attaches humaines, avec des liens d’amour, J’étais pour eux comme ceux qui soulèvent un nourrisson contre leur joue et Je lui tendais de quoi se nourrir” (Osée 11. 3-4).
Confiez-vous en Lui et laissez-Le vous apprendre à marcher avec assurance jusqu’au bout de la route !
Bob Gass
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