* JESUS REVIENT *

Lisez | ÉPHÉSIENS 2.1-10 (1507)

Le salut, c’est être libéré par Dieu de l’esclavage du péché et être intégré à sa famille. Cette délivrance s’opère seulement par son Fils, Jésus, mort à notre place pour nous réconcilier au Père (Col 1.22). Or, cet énoncé génère souvent des interrogations :

Si je mène une vie morale, en étant un bon employé et en prenant soin de ma famille, Dieu ne m’acceptera-t-il pas? Cette question révèle que nous présumons être sauvés en vertu de nos œuvres. Nous lisons néanmoins en Romains 3.10 : « Il n’y a point de juste, pas même un seul. » Selon Dieu, même notre justice est comme un vêtement souillé (És 64.5). Le Juste ne transige pas avec des injustes, sauf par l’intermédiaire du Sauveur, Jésus-Christ.

Dieu ne m’acceptera-t-il pas parce qu’il est bon? Dieu est bon et aimant, mais il est également juste. Il ne peut ignorer le péché, même si nous le croyons petit. L’orgueil nous fait rejeter notre besoin de pardon et de purification.

Si je sers mon Église ou les pauvres au nom de Dieu, est-ce que je ne fais pas partie de sa famille? Les bonnes œuvres ne résolvent pas le problème du péché et ne nous réconcilient pas avec Dieu; seul Jésus le fait (Ro 5.1). Celles-ci résultent du salut, mais n’en sont pas le fondement. 

Le salut découle de la grâce de Dieu et non d’efforts humains. Quand nous répondons aux incitations du Saint-Esprit, que nous croyons en Jésus et que nous naissons de nouveau en tant qu’enfants de Dieu (Jn 3.3), nous sommes assurés d’avoir une place au ciel. En êtes-vous certain?

LA BIBLE EN UN AN : Ézéchiel 40 – 42