* JESUS REVIENT *

“Faute morale”, a déclaré l'ensemble de la classe politique pour désigner les mensonges d'un ministre. De quelle morale s'agit-il? D'un côté il est de bon ton de se moquer de la morale, de rejeter toute référence chrétienne, et de l'autre on prend soudain conscience de l'utilité d'une morale reconnue. On l'invoque comme une formule magique. Un mensonge apparaît tout à coup choquant à cause de son énormité seulement, alors qu'il est monnaie courante en politique et dans la vie de tous les jours. Certains mensonges seraient-ils des fautes, et d'autres non?

“Je hais toute voie de mensonge” (Psaume 119. 104), dit le croyant qui désire vivre selon la pensée de Dieu. En effet, Dieu condamne le mensonge. “L'Éternel Dieu est vérité” (Jérémie 10. 10). Il s'est révélé en Jésus Christ, qui a dit: “Je suis le chemin, et la vérité, et la vie” (Jean 14. 6). “C'est pour ceci que je suis venu dans le monde, pour rendre témoignage à la vérité (c'est-à­dire à tout ce que Dieu communique). Quiconque est de la vérité écoute ma voix” (Jean 18. 37), a-t­il aussi déclaré devant Pilate. “Mais moi, c'est parce que je dis la vérité que vous ne me croyez pas” (Jean 8. 45). Les hommes influents de l'époque ne l'ont pas cru, et puisque la vérité révélait leurs “fautes morales”, ils ont condamné à mort le messager de Dieu. Aujourd'hui encore la Bible nous dit que “le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné une intelligence afin que nous connaissions le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, c'est-à­dire dans son Fils Jésus Christ: lui est le Dieu véritable et la vie éternelle” (1 Jean 5. 20).