* JESUS REVIENT *

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Réjouissez-vous de vos épreuves ! ( Bob Gass )

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A l’école, a fait remarquer quelqu’un, nous apprenons des leçons puis nous passons une épreuve pour vérifier que nous les avons bien assimilées, tandis qu’à l’école de la vie nous subissons d’abord les épreuves puis nous en tirons les leçons ! Nous rencontrons des difficultés qui nous paraissent souvent incompréhensibles, nous crions à Dieu pour Lui en demander la raison, et nous luttons contre ce qui nous paraît un “manque de réponse” de Sa part. Job a crié : “Je n’ai rien fait de mal, je suis innocent, pourquoi T’acharnes-Tu sur moi ?” Vous retrouvez-vous dans sa réaction ? Philip Yancey a écrit : “En général les chrétiens ne savent pas comment interpréter leur souffrance. Si vous parveniez à les mettre au pied du mur, beaucoup admettraient qu’ils considèrent la souffrance comme une erreur divine. Vraiment Il aurait dû trouver un meilleur moyen pour nous avertir des dangers de la vie terrestre !” Paul en savait quelque chose. Une bonne partie du livre des Actes est un liste des difficultés qu’il rencontra au cours de ses voyages. Et si cela ne suffisait pas, il donne un résumé de tout ce qu’il a souffert dans l’une de ses lettres aux habitants de Corinthe (2 Co 11. 23-27). Mais Dieu voulait qu’il tire une leçon importante : “Ma grâce te suffit”.

Leçon que nous devons aussi tirer de nos épreuves. Dr H. Sala rapporte que le livre chrétien qui a eu le plus d’influence en Chine, après la Bible, est un petit traité intitulé “Streams in the desert” (Des ruisseaux à travers le désert). Ecrit par Lettie Cowman et couvrant les six années pendant lesquelles son mari missionnaire était gravement malade, il dévoile la souffrance morale du couple face à leur incapacité physique à continuer le travail qui leur tenait tant à coeur. Vers la fin de la cinquième année Cowman déclara : “Les meilleures heures que j’ai vécues pendant ma maladie sont celles où les souffrances les plus intenses brûlaient mon corps, car c’est alors que je ressentais le mieux la force immense de mon Seigneur m’environner et me remplir.” C’est quand nous sommes au plus bas du désespoir que nous découvrons le mieux la puissance de Dieu en nous. Une grande leçon à retenir !

 

 


29/12/2016
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