* JESUS REVIENT *

Le Seigneur Jésus est “le grand Pasteur des brebis” (Hébreux 13. 20), et nous sommes “le troupeau de sa pâture” (Psaume 100. 3). Il prend grand soin de ses brebis, ayant un intérêt particulier pour chacune d'elles. Mon Berger connaît parfaitement mes circonstances, et je peux me remettre entre ses mains et tout lui confier. Si je peux dire que le Seigneur est “mon berger”, je peux toujours ajouter que “je ne manquerai de rien”.

C'est le désir de notre souverain Berger de nous amener dans de “verts pâturages”. Une brebis ne se repose pas tant qu'elle n'est pas libérée de la crainte des ennemis qui rôdent à l'extérieur du troupeau, ou d'autres brebis à l'intérieur. Nous pourrions peut-être craindre de perdre notre travail, craindre pour nos enfants ou craindre pour quelqu'un de notre famille qui est malade. Bien d'autres fardeaux peuvent aussi peser sur nous. Quel que soit le sujet de nos craintes ou de nos soucis, ceux-ci disparaissent quand nous ajoutons foi à cette promesse de notre Seigneur?: “Je ne te laisserai pas et je ne t'abandonnerai pas”. Ainsi nous pouvons dire avec hardiesse?: “Le Seigneur est mon aide?; je ne craindrai pas?: que me fera l'homme?? ” (Hébreux 13. 5, 6).

Notre souverain Pasteur veut nous conduire. Comme les brebis, nous avons tendance à aller où bon nous semble. En faisant ainsi, nous amenons de la peine et des regrets dans notre vie?; celle-ci est alors stérile et sans portée spirituelle. Si nous nous laissons conduire par notre Berger, nous trouverons la paix, la tranquillité et le repos près des “eaux paisibles”.

Dès que nous commençons à nous écarter, le Berger entre en activité pour restaurer notre âme et nous ramener de nouveau à lui. Il peut se servir des Écritures, ou bien employer le ministère d'un autre croyant, ou encore permettre qu'une épreuve nous arrive et nous amène à nous arrêter pour écouter sa douce voix. Il poursuivra son travail de restauration parce qu'il nous aime trop pour nous laisser continuer notre propre chemin. Dans son amour et sa grâce, il nous ramène à lui.

J.D. McNeil