« Soutiens-moi selon ta promesse, et je vivrai » (Psaume 119:116)
Deux options s’offrent à toi, comme à chacun de nous.
Quand les choses ne marchent pas comme tu l’attendais, cela peut te plonger dans une perte totale de repères. Et là, tu commences à vivre un combat intérieur entre ce que tu espérais, et ce que tu vois se passer. Tu cherches ensuite à rattraper la « sauce », et à contre courant tu essayes de toutes tes forces d’avancer…
C’est un peu comme si tu faisais une super croisière au pays des fjords (Norvège par exemple), et tout à coup, tu bascules par-dessus bord dans une eau à moins de 10°c.
Le premier réflexe est de nager (après avoir crié bien sûr), pour essayer de rattraper le bateau. Mais tu vas vite te rendre compte que malgré tous tes efforts, le bateau est de plus en plus loin.
Pire selon une étude, plus tu nages, plus ton corps se refroidit. En fait, ton sang qui est contraint d’irriguer les muscles supérieurs se refroidit en circulant plus rapidement à la surface de ton corps qui est en contact avec l’eau. Cela amène irrémédiablement la température du corps à diminuer.
Pour résumer, plus tu te débats, plus tu diminues tes chances de survie…
C’est là que Dieu t’envoie sa « bouée », Sa Parole, une promesse, une pensée furtive paradoxalement positive…
Soit tu la laisses passer sans t’y attacher, et tu continues tes efforts, soit tu l’attrapes, et la serres très fort (dans ton cœur).
Si tu as choisi la deuxième option, celui qui t’a lancé la « bouée » va te hisser à bord. C’est Sa promesse. Le psalmiste l’avait compris, il savait qu’en comptant sur la promesse divine, il allait vivre.
Ce que Dieu a promis, son bras l’accomplit ? Son bras puissant va te sortir de la mer d’épreuves dans laquelle tu es plongé. Il va empêcher que tu sombres, noyé dans tes soucis. Ta part, c’est t’accrocher coûte que coûte à Ses promesses.
Ma prière en ce jour :
Seigneur je m’appuie sur tes promesses, et tu me fais vivre. Amen!