COLOSSIENS 4.2

Vous êtes‑vous déjà arrêté au fait que nous payons tous un prix élevé quand nous négligeons notre vie de prière? Le cas échéant, nous ne nous attardons généralement pas à réfléchir à ce prix.

Quand la prière n’est plus une priorité pour nous, que nous cessons de passer du temps seuls en compagnie de notre Père, nous commençons à ressentir un vide et un malaise dans notre cœur. Par contre, lorsque nous sommes en communion étroite avec Dieu, il nous enlève ces fardeaux par sa main puissante.

Le sachant, pourquoi cesserions‑nous de prier? La triste vérité, c’est que bon nombre d’entre nous se sont tellement habitués à porter leurs fardeaux et leurs soucis qu’ils se sentent perdus ou mal à l’aise sans eux. Pourtant, à continuer de vivre ainsi, nous en viendrons à ne dépendre que de nous plutôt que du Seigneur, et notre vulnérabilité nous exposera à la catastrophe.

Pour éviter ces écueils, il nous faut de toute évidence accorder la priorité à notre communion avec Dieu. Après tout, pour entendre la voix de notre Père, comprendre sa volonté et y obéir, nous devons communiquer avec lui.

Si vous vous êtes éloigné de votre Père céleste, confessez‑le‑lui dès aujourd’hui. Il nous fait la promesse suivante en 1 Jean 1.9 : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner. » En rénovant notre vie de prière, l’aspect primordial de notre marche chrétienne, nous pourrons encore une fois recevoir ce que Dieu a de mieux.

LA BIBLE EN UN AN : PSAUMES 71 – 75