" Le sentier de la paix " ...
Nous avons tous des responsabilités (professionnelles, familiales, communautaires et au sein de l’Église) et parfois nous nous demandons avec raison comment nous pourrons toutes les assumer.
Quand nos obligations prennent trop d’importance, nous devenons anxieux.
Si Paul a connu un nombre démesuré d’épreuves (2 Corinthiens 11.23-28), il a quand même pu écrire: « Ne vous inquiétez de rien » (Philippiens 4.6).
Il avait compris que l’angoisse révèle un manque de foi; il est impossible de s’inquiéter tout en faisant pleinement confiance à Dieu.
L’agitation a également un prix: elle draine notre énergie et nous empêche de nous concentrer. De plus, elle fait entrave à l’efficacité de notre service pour le Seigneur puisque nous focalisons notre attention sur nous plutôt que sur Dieu.
Pour éviter que les préoccupations nous gagnent, nous devons présenter nos requêtes à Dieu (Philippiens 4.6) qui est prêt, désireux et entièrement capable de s’occuper de chacun des soucis dont nous lui parlons.
Nous le faisons:
1. En priant.
Le mot grec implique une attitude empreinte d’adoration et d’appréciation des attributs divins, par contraste avec des cris de panique lancés vers le ciel.
2. En le suppliant.
Notre appel humble démontre notre impuissance et notre dépendance du Tout-Puissant.
3. En lui rendant grâces.
Nous devons nous approcher de Dieu non pas en geignant, mais en lui étant reconnaissants de ce qu’il se servira de la difficulté pour notre bien, comme il l’a promis (Romains 8.28).
Quand nous présentons ainsi nos demandes au Seigneur, Philippiens 4.7 nous assure que nous goûterons sa paix merveilleuse et inexplicable.
Le sachant, nous devrions aller à lui en premier plutôt qu’en dernier recours.
(Magazine En Contact)
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