* JESUS REVIENT *

MATTHIEU 18.1?7

Nous pourrions croire que nos péchés ne concernent que nous, mais cela est faux. Que nous en soyons conscients ou non, nous influençons les autres par notre comportement. Jésus nous a d’ailleurs mis en garde dans les termes les plus forts en affirmant qu’il vaudrait mieux pour la personne qui en scandalise une autre qu’on suspende à son cou une meule de moulin et qu’on la jette au fond de la mer (Mt 18.6).

Les gens nous observent, et qui parmi nous peut se dire sans faute? Nous pourrions excuser notre péché en prétendant qu’il est anodin, que notre entourage ne le remarquera donc pas et que, par conséquent, il ne saurait en souffrir. Réfléchissons cependant à certains écarts de conduite communs et à leurs conséquences néfastes.

• Notre ressentiment pourrait motiver un ami ou un proche à se liguer avec nous et à refuser de pardonner à un coupable.

• Nos enfants peuvent imiter nos accès de colère et penser qu’ils ont aussi le droit d’exprimer leur agacement quand bon leur semble.

• Quand nous mentons pour nous tirer d’embarras, les enfants, en particulier, comprennent qu’il est optionnel de dire la vérité et que les circonstances peuvent justifier le mensonge.

• Les médisances peuvent salir la réputation de notre prochain et inciter nos auditeurs à répandre de faux bruits.

Prenons les avertissements du Seigneur au sérieux. Envisageons les conséquences de nos actions, repentons?nous de nos péchés et confessons?les. Quand nous le lui demandons, Dieu nous accorde sa grâce et la force de marcher dans ses voies et d’influencer les autres à faire le bien.